International
La Colombie met fin au décret sur le socle de protection sociale

21 novembre |
Le ministère colombien du travail et les trois centrales syndicales (CUT, CTC et CGT) ont volontairement accepté de mettre fin au décret sur le « socle de protection sociale », une plainte déposée il y a plus de trois ans auprès de l’Organisation internationale du travail (OIT).
Selon le ministère du travail, la plainte était fondée sur le non-respect des conventions 03, 12, 17, 24, 25 et 144, relatives au socle de protection sociale.
L’accord a été signé par la ministre du travail, Gloria Inés Ramírez Ríos, et les trois centrales syndicales (CUT, CTC et CGT).
« Nous sommes parvenus à un accord en présence de l’OIT, une conciliation volontaire pour la première fois dans les Amériques, dans lequel cette plainte est retirée et le gouvernement national s’engage expressément à abroger le décret 1174 du plancher de protection sociale, qui était déjà inactif sur la base de l’arrêt 276 de la Cour constitutionnelle. Ce gouvernement s’engage à continuer à aller de l’avant, nous continuerons à tenir des réunions régulières pour contrôler et suivre le décret d’abrogation et, surtout, les mesures qui favorisent les travailleurs colombiens », a souligné le ministre Ramírez.
Selon les syndicats, ce décret limitait les droits des travailleurs colombiens, en particulier ceux dont les revenus sont inférieurs au salaire minimum et qui n’ont pas accès à une pension décente.
C’est pourquoi le ministère du travail, avec la nouvelle direction, a souligné l’importance de cet accord comme une opportunité d’améliorer de manière significative les conditions des travailleurs colombiens en termes de sécurité sociale et de droit à une pension décente.
La ministre du Travail, Gloria Inés Ramírez Ríos, a souligné l’importance de cet accord comme une opportunité d’améliorer significativement les conditions des travailleurs colombiens en termes de sécurité sociale et de droit à une pension décente.
Pour leur part, les confédérations syndicales ont exprimé leur satisfaction face à cet accord qui met fin à la plainte déposée auprès de l’OIT.
Pour le président de la Central Unitaria de Trabajadores (CUT), Fabio Arias, l’esprit de concertation avec le gouvernement a été très positif, c’est pourquoi il a salué l’accord.
Pour sa part, le président de la Confédération générale du travail (CGT), Percy Oyola, a souligné l’importance de l’abrogation du décret 1174, une question qui était présente lors de la grève nationale.
Comme Arias et Oyola, le dirigeant de la Confédération des travailleurs colombiens, Jorge Peña, a souligné que l’accord conclu lundi est très important, « parce qu’il constitue une revendication des trois confédérations syndicales devant l’OIT ».
International
Trump n’exclut pas une intervention au Venezuela face aux tensions croissantes avec Caracas

Le président des États-Unis, Donald Trump, a averti ce dimanche que son pays n’excluait pas une intervention sur le territoire vénézuélien, dans un contexte de tensions croissantes entre Washington et Caracas.
« Nous verrons ce qui se passera. Écoutez, le Venezuela nous envoie des membres de gangs, des trafiquants de drogue et des stupéfiants. C’est inacceptable », a déclaré Trump à la presse depuis le New Jersey, avant de rentrer à Washington.
« Nous n’aimons pas ce que le Venezuela nous envoie : ni ses drogues, ni ses gangs. Nous n’aimons pas cela, pas du tout », a ajouté le président américain.
Ces déclarations interviennent après le déploiement de huit navires militaires et d’un sous-marin américain dans la mer des Caraïbes, dans le cadre d’opérations censées renforcer la lutte contre le narcotrafic. Dans ce contexte, les États-Unis ont récemment annoncé avoir abattu une embarcation qui, selon leurs autorités, transportait de la drogue et onze présumés membres du Tren de Aragua, un groupe criminel d’origine vénézuélienne.
Le gouvernement de Nicolás Maduro a rejeté cette version et condamné l’attaque. Interrogé sur la légalité de l’opération, Trump a réaffirmé la position ferme de son administration.
International
Une explosion dans un bar de Madrid provoque l’effondrement partiel d’un bâtiment

Au moins 21 personnes ont été blessées après une explosion ayant provoqué l’effondrement partiel d’un immeuble à Madrid, capitale de l’Espagne, samedi après-midi, selon les autorités locales.
L’explosion s’est produite vers 15h00 dans un bar du sud de Madrid, d’après la chaîne de télévision locale TeleMadrid. Les services d’urgence ont indiqué que trois des blessés se trouvent dans un état grave.
Des unités de pompiers, des ambulances ainsi que des agents de police locaux et nationaux ont été dépêchés sur place. Les pompiers ont travaillé à retirer les débris de l’immeuble endommagé.
Une enquête est en cours, et les premiers rapports suggèrent une fuite de gaz possible comme cause de l’explosion.
International
Delcy Rodríguez accuse l’Équateur d’être le principal exportateur de cocaïne vers les États-Unis et l’Europe

La vice-présidente exécutive du Venezuela, Delcy Rodríguez, a de nouveau désigné jeudi l’Équateur comme le « principal exportateur de cocaïne » vers les États-Unis et l’Europe, tout en qualifiant le président équatorien, Daniel Noboa, de « narcoprésident ». Elle l’accuse d’être associé à une entreprise qui expédierait cette drogue de manière « dissimulée » vers ces destinations.
Lors d’un congrès du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), retransmis par la chaîne publique Venezolana de Televisión (VTV), Rodríguez a affirmé que la quasi-totalité de la cocaïne produite principalement en Colombie, ainsi qu’au Pérou et en Bolivie, transite par l’Équateur, d’où elle serait envoyée dans des conteneurs de bananes.
« Qui est associé à la principale entreprise de transport de bananes d’Équateur ? Son président. C’est pourquoi ils ont eu besoin de la fraude électorale contre la présidente Luisa González (ancienne candidate correíste), car c’est le principal centre d’exportation de cocaïne vers le Nord, les États-Unis et l’Europe », a-t-elle déclaré.
La ministre des Hydrocarbures a ajouté que la cocaïne est cachée dans les conteneurs avec la marchandise, transitant par le Panama avant de continuer vers l’Europe et les États-Unis.
Lundi dernier, Rodríguez avait accusé les États-Unis d’avoir fait de la Colombie le premier producteur mondial de cocaïne et affirmé qu’aujourd’hui le principal exportateur est l’Équateur, mentionnant également la récente visite du secrétaire d’État américain, Marco Rubio, dans ce pays.
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