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International

Equateur: référendum sur la sécurité, la politique et l’environnement le 5 février

Photo: TELAM

| Par AFP |

Le président de l’Equateur Guillermo Lasso a annoncé mardi avoir fixé au 5 février la date à laquelle aura lieu un référendum sur des questions sécuritaires, politiques et environnementales, pour permettre notamment l’extradition d’Équatoriens liés au crime organisé.

Le scrutin, qui doit également permettre de réduire la taille du Congrès monocaméral, aura lieu en même temps que des élections locales.

Le Conseil national électoral a indiqué sur Twitter que la campagne pour le référendum débutera le 3 janvier pour se terminer le 2 février.

Le président équatorien avait convoqué fin novembre par décret ce référendum qui comportera pas moins de huit questions.

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Le chef de l’Etat, un conservateur qui a pris ses fonctions en mai 2021, propose ainsi en matière de sécurité l’extradition d’Équatoriens impliqués dans le narcotrafic et le crime organisé international.

Servant de porte de sortie à la cocaïne produite en Colombie et au Pérou voisins, l’Équateur a connu ces dernières années une augmentation spectaculaire de la violence criminelle liée au trafic de drogue. En 2021, le pays a saisi un record de 210 tonnes de drogues.

En Colombie, premier producteur mondial de cocaïne, l’extradition vers les Etats-Unis s’est avérée une arme particulièrement dissuasive contre les trafiquants.

Sur le plan politique, le président Lasso (dont le parti ne dispose que de 13 des 137 députés à l’Assemblée nationale) propose de réduire la taille de l’Assemblée nationale, avec un nombre minimum de membres pour chaque parti politique.

M. Lasso entend également réduire les pouvoirs du Conseil de la participation citoyenne et du contrôle social (CPCCS), qui est chargé notamment de nommer diverses autorités comme le procureur général, le contrôleur de l’Etat, le médiateur et les membres du conseil électoral.

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Concernant l’environnement, le gouvernement propose notamment d’offrir une compensation d’Etat aux communautés ou aux peuples autochtones qui fournissent des services environnementaux.

Le 5 février, les électeurs équatoriens sont appelés, en même temps que le référendum, à élire les membres du CPCCS, ainsi que les maires et gouverneurs de province.

International

Maduro accuse l’opposition d’être responsable du sort d’une fillette séparée de sa mère aux États-Unis

Le président vénézuélien Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat à la suite de sa réélection controversée, a tenu pour responsables plusieurs opposants, dont María Corina Machado, de tout ce qui pourrait arriver à une fillette de deux ans que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement depuis les États-Unis.

« Je tiens publiquement responsables Mme María Machado, Leopoldo López, Carlos Paparoni, Carlos Vecchio et Juan Guaidó de ce qui pourrait arriver à la petite Maikelys Espinoza, en raison de la séparation qu’elle subit », a déclaré Maduro lors d’un défilé à Caracas pour la Journée internationale des travailleurs, auquel ont assisté la mère et la grand-mère de l’enfant, Yorely Bernal et Raida Inciarte.

Le chef de l’État a accusé ce groupe d’opposants d’être responsable des sanctions, du blocus, des trafiquants (« coyotes ») qui ont détourné des milliards de dollars, ainsi que de la persécution des migrants vénézuéliens aux États-Unis.

La manifestation a parcouru plusieurs avenues de la capitale, avec la participation de travailleurs de divers ministères et entreprises publiques, brandissant des pancartes demandant la « libération » de la fillette. Sur la scène, aux côtés de Maduro, se trouvaient également des proches de plus de 200 migrants vénézuéliens récemment expulsés des États-Unis vers une prison de haute sécurité au Salvador, accusés d’appartenir au groupe criminel transnational Tren de Aragua, né dans une prison vénézuélienne.

Maduro a appelé ses partisans à prier Dieu pour avoir la sagesse et l’intelligence nécessaires afin que la fillette puisse bientôt retourner dans les bras de sa mère au Venezuela, ainsi que les 252 migrants détenus au Salvador.

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« La justice triomphera plus tôt que prévu, et nos jeunes reviendront libres, sains et saufs », a-t-il déclaré.

Le président a également défendu les migrants vénézuéliens, les qualifiant de personnes nobles, honnêtes et travailleuses qui ont contribué au développement des pays où ils se sont installés.

Mardi, le procureur général Tarek William Saab a annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il a qualifié d’« enlèvement brutal » de la fillette par les autorités américaines.

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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