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International

Bolivie: suspension des manifestations régionales au bout de 36 jours

| Par AFP 1

La région de Santa Cruz, capitale économique de la Bolivie et fief de l’opposition, a suspendu samedi les manifestations, parfois violentes, qu’elle menait depuis 36 jours contre le gouvernement pour exiger la tenue anticipée d’un recensement crucial en vue des élections.

Romulo Calvo, leader du Comité civique départemental, un puissant conglomérat civil et patronal, a déclaré que « dès maintenant, nous faisons un quatrième entracte, nous levons la grève et les blocages, sans suspendre notre lutte ». « Aujourd’hui est un jour historique (car) la démocratie a gagné », a-t-il ajouté dans une déclaration à la presse.

Auparavant dans la même journée, la Chambre des députés avait adopté le projet de loi du gouvernement prévoyant de garantir la tenue du recensement en mars 2024, une répartition des ressources économiques et la réaffectation des sièges avant l’élection présidentielle de 2025. La chambre basse a transmis le projet au Sénat.

Santa Cruz avait commencé ses manifestations le 22 octobre avec des blocages de rues, d’avenues et de routes interdépartementales pour exiger que le président de gauche Luis Arce effectue un recensement de la population d’ici 2023, car la distribution de fonds publics et l’attribution de sièges au Parlement dépendent de la population des régions.

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La région de Santa Cruz, gouvernée par l’opposition de droite, estime être défavorisée par un recensement obsolète datant d’il y a plus de dix ans. Elle craignait que sa représentation ne soit pas actualisée à temps pour le scrutin de 2025.

Des violences ont émaillé ce mois de protestations, entre les opposants au pouvoir et ses partisans, faisant quatre morts et plus de 170 blessés, selon le gouvernement.

L’exécutif a refusé la demande de Santa Cruz, estimant qu’il était techniquement impossible d’organiser le recensement en 2023, et l’a fixé à mars 2024.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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International

Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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