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International

Biden va labourer le terrain en Pennsylvanie, Etat-clé des prochaines législatives

AFP

Trois visites en moins d’une semaine: Joe Biden va multiplier les déplacements en Pennsylvanie, un Etat-clé des prochaines élections législatives, où il promet notamment un discours jeudi sur « la bataille qui se poursuit pour l’âme de la nation » américaine.

Le démocrate de 79 ans, natif de cet Etat du nord-est, a donc décidé de se lancer avec détermination dans la campagne pour les élections de novembre, qui renouvellent l’ensemble des sièges de la Chambre des représentants et un tiers du Sénat.

Il ira à Wilkes-Barre mardi, pour vanter sa politique de lutte contre l’insécurité et la violence par armes à feu, puis à Pittsburgh lundi 5 septembre, pour célébrer la fête du Travail et « la dignité des travailleurs américains ». Il doit lors de cette étape rencontrer le candidat démocrate au Sénat, John Fetterman.

Surtout, entre ces deux déplacements, il se rendra jeudi à Philadelphie,  grande ville de Pennsylvanie considérée comme le berceau de l’Amérique, pour un déplacement lourd en symboles.

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Non loin de l’endroit où ont été adoptées la Déclaration d’indépendance puis la Constitution des Etats-Unis, il livrera selon un communiqué de la présidence américaine un discours en « primetime » sur « la bataille qui se poursuit pour l’âme de la nation », reprenant un thème qu’il avait déjà scandé pendant sa campagne.

L’ancien président Donald Trump est lui attendu le 3 septembre à Wilkes-Barre – là même où va Joe Biden mardi – pour soutenir le républicain candidat au Sénat, Mehmet Oz.

Le résultat de l’élection à venir en Pennsylvanie pourrait décider à lui tout seul si le parti démocrate conserve le contrôle de la chambre haute du Congrès pour les deux prochaines années, ou si le Sénat bascule du côté républicain.

Cet Etat, connu autant pour ses grands centres urbains comme Philadelphie ou Pittsburgh que pour ses industries en déclin, est donc au coeur des campagnes des deux camps.

Au plus mal dans les sondages au printemps et au début de l’été, le président américain et son parti ont retrouvé des couleurs ces dernières semaines, alors qu’approchent ces élections traditionnellement défavorables au parti installé à la Maison Blanche.

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Plusieurs facteurs expliquent ce retour en grâce: l’inquiétude de l’opinion publique sur le droit à l’avortement, une succession de réformes de Joe Biden votées au Congrès, une inflation qui se calme, ainsi que l’accumulation de procédures et révélations contre Donald Trump.

Les démocrates ont axé leur campagne sur la défense des acquis de société et sur la lutte pour la démocratie elle-même, tandis que Joe Biden pilonne régulièrement les conservateurs les plus radicaux, qu’il a accusés tout récemment d’adhérer à une idéologie de « semi-fascisme ».

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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

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Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

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International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

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