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International

Le Mexique appelle à la paix après l’attaque américaine contre l’Iran

Le gouvernement du Mexique a lancé ce samedi un appel urgent à la paix, après l’annonce du président américain Donald Trump concernant une attaque « réussie » contre trois installations nucléaires en Iran.

« Le Secrétariat des Relations Extérieures (SRE) lance un appel urgent au dialogue diplomatique en faveur de la paix entre les parties impliquées dans le conflit au Moyen-Orient », a déclaré la chancellerie mexicaine via son compte officiel sur X.

Ce communiqué réaffirme les principes constitutionnels de la politique étrangère du Mexique et sa tradition pacifiste, appelant à une désescalade des tensions dans la région, aggravées par les bombardements américains contre les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan. Il s’agit de la première intervention directe des États-Unis dans le conflit actuel entre Israël et l’Iran.

La SRE a également précisé que ses ambassades dans la région restent en contact permanent avec les ressortissants mexicains résidant ou voyageant au Moyen-Orient, afin de leur fournir assistance et protection consulaire.

Dans une allocution télévisée depuis la Maison Blanche, Trump a déclaré que l’attaque avait été « un grand succès », précisant que l’objectif était de « détruire la capacité d’enrichissement de l’uranium de l’Iran et d’éliminer la menace nucléaire militaire ».

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Selon la chaîne Fox News, l’opération a mobilisé entre cinq et six bombes antibunkers larguées par des bombardiers B-2, ainsi qu’une trentaine de missiles Tomahawk lancés depuis des sous-marins et des destroyers américains.

Trump avait déjà évoqué, quelques jours plus tôt, la possibilité d’une offensive pour empêcher l’Iran de développer une arme nucléaire. L’opération de samedi confirme sa décision de recourir à l’action militaire.

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International

Téhéran envisage de fermer le détroit d’Ormuz en réponse aux frappes américaines

Le Parlement iranien envisage de fermer le détroit d’Ormuz, l’une des voies maritimes les plus stratégiques pour le commerce mondial du pétrole, en représailles aux récentes frappes des États-Unis contre des installations nucléaires en Iran. La décision finale sur cette potentielle rupture géopolitique revient au guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.

La proposition, formulée officiellement par l’Assemblée consultative islamique, fait écho à une pression croissante au sein du pays pour adopter une réponse ferme face à ce que Téhéran considère comme une agression directe de Washington. Le général Esmaeil Kousari, membre de la Commission de la sécurité nationale du Parlement, a confirmé que la Chambre avait atteint un consensus sur la fermeture du détroit, tout en précisant que la décision définitive appartient au Conseil suprême de sécurité nationale, qui conseille directement le guide suprême.

Le détroit d’Ormuz, situé entre l’Iran et Oman, est une voie de passage essentielle par laquelle transite environ 20 % du pétrole mondial. Un éventuel blocage aurait des répercussions immédiates sur les marchés énergétiques mondiaux, affectant des puissances économiques comme la Chine, l’Inde et l’Union européenne, toutes fortement dépendantes de ce flux pétrolier.

L’Iran, qui produit environ 3,3 millions de barils de pétrole par jour et en exporte près de la moitié, dépend largement de ses revenus pétroliers. La fermeture du détroit serait donc à la fois un acte de force symbolique et une décision à haut risque pour l’économie iranienne et ses relations commerciales avec l’Asie et l’Europe.

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International

Brésil : huit morts dans le crash d’une montgolfière enflammée à Santa Catarina

Huit personnes ont perdu la vie ce samedi dans le sud du Brésil après l’incendie et la chute d’une montgolfière, a annoncé le gouverneur de l’État de Santa Catarina, où s’est produit l’accident. Il s’agit du deuxième accident mortel impliquant une montgolfière dans le pays en l’espace de quelques jours.

Le gouverneur Jorginho Mello a confirmé via son compte sur le réseau social X que 21 personnes se trouvaient à bord du vol touristique, y compris le pilote. Le bilan fait état de huit morts et treize survivants.

Des vidéos filmées par des témoins et diffusées par la télévision brésilienne montrent la montgolfière prenant feu en plein vol au-dessus de la ville de Praia Grande. La nacelle s’est détachée et a chuté en flammes depuis une grande hauteur.

Une porte-parole des pompiers de Santa Catarina a déclaré que l’état de santé des survivants n’est pas encore connu. Tous sont actuellement pris en charge et évalués dans les hôpitaux de la région.

Les causes de l’accident font toujours l’objet d’une enquête, bien que les conditions météorologiques semblaient favorables, selon les images.

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Le président Luiz Inácio Lula da Silva a exprimé sa solidarité avec les familles des victimes et assuré que le gouvernement se tient prêt à leur apporter toute l’aide nécessaire.

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International

Des bombardiers furtifs américains survolent le Pacifique dans un contexte de tensions avec l’Iran

Ce samedi, plusieurs bombardiers furtifs américains ont survolé l’océan Pacifique, selon des données de suivi et des rapports de presse, alimentant les spéculations sur leur destination alors que le président Donald Trump envisage de rejoindre l’offensive israélienne contre l’Iran.

Plusieurs bombardiers B-2 ont décollé d’une base située au centre des États-Unis pendant la nuit et ont ensuite été repérés en vol devant la côte californienne, accompagnés d’avions ravitailleurs, rapportent The New York Times et des sites spécialisés dans le suivi des aéronefs. Le B-2 est capable de transporter les charges utiles les plus lourdes des États-Unis, dont la bombe anti-bunker GBU-57, une ogive de 13 607 kg capable de pénétrer jusqu’à 61 mètres sous terre avant d’exploser.

On ignore si Israël possède cette bombe, seule arme capable de détruire des installations nucléaires iraniennes enterrées en profondeur.

Contacté pour un commentaire, le Pentagone a renvoyé l’AFP à la Maison Blanche, qui n’a pas répondu immédiatement.

Trump, qui passe rarement ses week-ends à Washington, prévoit de revenir à la Maison Blanche samedi soir pour une « réunion de sécurité nationale » dont les détails n’ont pas été précisés.

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Le président a déclaré vendredi que l’Iran disposait d’un délai « maximal » de deux semaines pour éviter d’éventuelles frappes aériennes américaines, suggérant qu’une décision pourrait intervenir avant l’échéance qu’il avait annoncée la veille.

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