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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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MARN1

International

Trump conserve le contrôle de la Garde nationale en Californie, selon une cour d’appel

Une cour fédérale d’appel a statué jeudi que le président Donald Trump pouvait continuer à exercer le contrôle de la Garde nationale à Los Angeles pour faire face aux manifestations contre sa politique migratoire, malgré l’opposition des autorités de l’État de Californie.

Trump avait ordonné ce mois-ci le déploiement de milliers de soldats de la Garde nationale et de centaines de Marines dans la ville californienne, en réponse à des manifestations parfois marquées par des actes de violence contre les opérations de répression de l’immigration clandestine.

La semaine dernière, un juge avait ordonné au président de restituer le contrôle de la Garde nationale au gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, opposé à cette décision. Mais jeudi, la cour d’appel a jugé que Trump avait agi dans les limites de ses compétences légales en ordonnant le déploiement de 4 000 membres de la Garde nationale pendant 60 jours, afin de « protéger le personnel exerçant des fonctions fédérales et de défendre les biens fédéraux ».

« GRANDE VICTOIRE », s’est félicité le président sur son réseau Truth Social à l’annonce de la décision.

« Partout aux États-Unis, si nos villes ou nos citoyens ont besoin de protection, c’est à nous de la leur fournir, surtout si la police locale ou étatique n’est pas en mesure d’assurer cette mission, quelle qu’en soit la raison », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Guatemala défend la souveraineté du Maroc face à une prise de position controversée

Une récente déclaration du vice-président du Groupe Parlementaire de Gauche (GPI) du PARLACEN, le Nicaraguayen José Antonio Zepeda, a suscité une vive controverse au sein de l’organisme régional, après son soutien exprimé au mouvement séparatiste du Front Polisario. Cette prise de position a été immédiatement rejetée par la délégation du Guatemala, qui a fermement défendu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

La réponse guatémaltèque, menée par l’ancien président Alejandro Giammattei, s’est traduite par un communiqué officiel qualifiant de déplacée et idéologisée la déclaration du GPI. Les députés y ont souligné la coopération exemplaire entre le Maroc et le Parlement centraméricain, en insistant sur le rôle stratégique du royaume dans le renforcement des liens entre l’Afrique et l’Amérique centrale.

La délégation guatémaltèque a également exhorté la présidence du PARLACEN à veiller à ce que les futures déclarations institutionnelles soient le fruit d’un consensus, et non d’expressions personnelles susceptibles de compromettre la neutralité de l’organisme.

Cet incident intervient dans un contexte où le président du PARLACEN, Carlos Hernández, avait réaffirmé en mai dernier, lors d’une visite à Laâyoune, la position officielle du Parlement en faveur de l’intégrité territoriale du Maroc. À cette occasion, le PARLACEN avait renouvelé son engagement envers les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires internes des États.

Alors que le Maroc continue de rallier un soutien international à son initiative d’autonomie pour résoudre le différend sur le Sahara, certaines voix dissidentes tentent de promouvoir des positions qui ne reflètent pas le consensus du bloc centraméricain.

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International

Netanyahou réclame des bombes GBU-57 et tente de rallier Trump à sa guerre contre l’Iran

Selon le New York Times, citant des sources anonymes à Washington, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a demandé en avril à Donald Trump de fournir à Israël des bombes américaines GBU-57, connues pour leur capacité à détruire des bunkers profondément enfouis. Ces bombes sont les seules capables de neutraliser les installations nucléaires iraniennes souterraines. Les États-Unis ont toutefois refusé de livrer ces armes.

Depuis le début des frappes israéliennes contre l’Iran le 13 juin, Netanyahou tente de convaincre le président Donald Trump — ainsi qu’une opinion publique américaine plutôt réticente — de s’engager aux côtés d’Israël dans sa guerre contre Téhéran.

Lors de ses appels téléphoniques avec Trump et à travers ses déclarations médiatiques, Netanyahou multiplie les marques de respect envers le président américain et insiste sur le fait que les attaques contre l’Iran servent aussi les intérêts des États-Unis.

« Vous voulez que ces gens aient des armes nucléaires et d’autres moyens de vous bombarder ? », a-t-il lancé dans une interview à la chaîne Fox News.

« Aujourd’hui c’est Tel-Aviv. Demain ce sera New York », a-t-il déclaré le lendemain sur ABC News, affirmant que l’Iran développe des missiles à longue portée capables d’atteindre le territoire américain.

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Les échanges entre les deux dirigeants n’ont cependant pas toujours été harmonieux, bien que Netanyahou ait été reçu deux fois à la Maison Blanche depuis l’entrée en fonction de Trump en janvier.

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