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International

Albares dit que les États-Unis « respectent » la position de l’Espagne sur la reconnaissance de la Palestine

Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, a déclaré vendredi que le secrétaire d’État américain. Les États-Unis, Antony Blinken, « respecte » la position de l’Espagne sur la reconnaissance de la Palestine en tant qu’État.

Lors d’une conférence de presse après la réunion bilatérale avec Blinken, qui a duré près d’une heure et demie, Albares a noté que le secrétaire d’État américain n’avait pas exprimé d’opinion à ce sujet lorsque, en examinant la situation au Moyen-Orient, il lui a partagé la position de l’Espagne sur la Palestine.

« À aucun moment, je n’ai remarqué qu’une quelconque divergence surgnait », a ajouté Albares.

Le ministre espagnol a également souligné que la réunion était prévue depuis longtemps et qu’il ne s’était pas rendu à Washington pour rendre compte de la décision sur la Palestine, ajoutant que Blinken ne comprenait pas non plus qu’une demande d’ »acquiescence » était en cours.

Aux questions des journalistes, Albares n’a pas voulu confirmer si la date à laquelle l’Espagne reconnaîtra la Palestine comme État sera le 21 mai et a souligné que l’important n’est pas le jour, mais que la décision est déjà prise.

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Le ministre a souligné l’ampleur de la rencontre « très productive » avec le secrétaire d’État américain, qui considère l’Espagne – a-t-il déclaré – comme un « partenaire ami et allié » qu’il écoute et avec lequel il collabore pour un contexte international plus stable et plus sûr.

En ce qui concerne la résolution adoptée vendredi à l’ONU, où une écrasante majorité de 143 États sur les 193 membres a de nouveau demandé à l’Assemblée générale de reconsidérer l’intégration de la Palestine en tant qu’État à part entière, Albares a souligné que l’Espagne a voulu aller plus loin et co-parrainer la résolution.

Il l’a fait aux côtés d’autres pays – a-t-il indiqué – comme l’Irlande, la Norvège et la Belgique.

La rencontre a également parlé de la guerre d’Ukraine, pays que les deux pays continueront à soutenir aussi longtemps que nécessaire, et des travaux de nettoyage à Palomares (Huelva), dont les terres ont été contaminées par l’accident nucléaire survenu en 1966.

Sur ce point, Albares a assuré qu’il avait informé Blinken des travaux que les équipes techniques développent pour analyser la meilleure façon de retirer les terres contaminées.

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International

Cuba accueille 89 migrants expulsés par les États-Unis

Cuba a accueilli ce mercredi 89 migrants irréguliers expulsés par les États-Unis, dans le cadre de la sixième opération de ce type depuis le début du second mandat du président américain Donald Trump, entamé le 20 janvier dernier.

Le groupe – composé de 76 hommes, 12 femmes et un mineur – est arrivé par voie aérienne à La Havane. Cette opération s’inscrit « dans le cadre des accords migratoires bilatéraux » signés entre les gouvernements de La Havane et de Washington, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur (Minint) diffusé dans les médias officiels cubains.

L’une des personnes rapatriées a été remise aux autorités judiciaires, car elle se trouvait en liberté conditionnelle au moment de sa sortie illégale du pays, précise la note.

Avec cette nouvelle opération, ce sont désormais 20 rapatriements collectifs qui ont été effectués depuis différents pays de la région en 2025, pour un total de 676 personnes renvoyées à Cuba.

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International

Colombie : la justice suspend le décret de Petro sur une consultation populaire

Le Conseil d’État de Colombie a suspendu mercredi un décret du président Gustavo Petro qui visait à convoquer une consultation populaire pour réformer la législation du travail, arguant que cette mesure n’avait pas reçu l’autorisation préalable du Sénat.

Surnommée le « décrétazo » par l’opposition, cette initiative présidentielle a suscité de vives tensions politiques avec le Congrès. Plusieurs parlementaires l’ont qualifiée de tentative de coup d’État et de remise en cause directe de la séparation des pouvoirs.

« L’avis favorable du Sénat de la République est requis, ce qui, en l’espèce, fait défaut », a indiqué la décision du Conseil d’État, instance judiciaire compétente pour résoudre les conflits entre les citoyens et l’État.

Ironie du calendrier, le Sénat avait approuvé mardi une réforme du travail visant à améliorer les conditions des travailleurs, alors même que le président Petro s’apprêtait à consulter la population par voie de référendum pour faire adopter son projet.

Petro a déclaré qu’il pourrait retirer sa convocation à la consultation populaire si le texte adopté par le Sénat, après un processus de conciliation avec la Chambre des représentants, répondait effectivement aux attentes des travailleurs.

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International

Une taxe américaine sur les remises pourrait priver le Mexique de 2,25 milliards de dollars, selon l’IMCP

L’Institut mexicain des comptables publics (IMCP) a déclaré ce mercredi que l’impôt de 3,5 % sur les envois de fonds proposé par les États-Unis pourrait entraîner une baisse de jusqu’à 2,25 milliards de dollars des transferts vers le Mexique, en plus de favoriser l’émergence d’un « marché noir ».

« Nous estimons que l’impact total de cette taxe pourrait représenter 2,25 milliards de dollars qui ne parviendraient plus au Mexique », a expliqué Ernesto O’Farrill, président de la Commission d’analyse économique de l’IMCP, une estimation proche de celle de BBVA, qui prévoit une diminution pouvant aller jusqu’à 2 milliards de dollars d’ici 2025.

Lors de la réunion mensuelle de l’institut, le vice-président fiscal de l’IMCP, Rolando Silva Briceño, a souligné que « sur la base des données macroéconomiques, le déficit budgétaire pourrait même augmenter d’un point si aucune mesure adéquate n’est prise ».

Outre la baisse des envois — qui mettrait fin au record atteint en 2024 de 64,745 milliards de dollars — l’IMCP alerte également sur une probable migration vers des circuits informels de transfert d’argent, similaires à ceux utilisés par le passé, afin d’éviter la taxe.

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