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International

Environ 9 000 patients ont besoin d’une évacuation médicale urgente de Gaza

Quelque 9 000 patients dans la bande de Gaza doivent être évacués d’urgence pour recevoir un traitement, car le territoire palestinien ne compte que 10 hôpitaux qui fonctionnent tous au minimum, a déclaré samedi le chef de l’OMS.

« Avec seulement 10 hôpitaux fonctionnant au minimum à #Gaza, des milliers de patients ne reçoivent toujours pas de soins médicaux », a averti le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans X.

Avant la guerre, Gaza comptait 36 hôpitaux, selon les chiffres de l’OMS.

« Envira 9 000 patients doivent être évacués d’urgence à l’étranger pour bénéficier de services de santé vitaux, notamment pour traiter le cancer, les blessures causées par les bombardements, la dialyse rénale et d’autres maladies chroniques », a-t-il souligné.

Il s’agit de 1 000 patients de plus que lors du dernier recensement de l’OMS au début du mois de mars.

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Le territoire est soumis à un blocus presque complet et des organisations non gouvernementales comme l’ONU accusent Israël de ne pas faciliter l’arrivée de l’aide humanitaire dont dépendent la plupart des 2,4 millions d’habitants qui vivent encore à Gaza et sont principalement concentrés dans le sud de la ville de Rafah et ses environs.

L’attaque du Hamas le 7 octobre a entraîné la mort d’au moins 1 160 personnes, principalement des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes.

Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé samedi un nouveau bilan de 32 705 morts dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre et 75 190 blessés. La plupart des victimes sont des femmes et des enfants.

Tedros a indiqué que jusqu’à présent « plus de 3 400 patients ont été transférés à l’étranger via Rafah ».

« Mais il faut évacuer beaucoup d’autres. Nous exhortons Israël à accélérer l’approbation des évacuations afin que les patients critiques puissent être soignés », a-t-il ajouté.

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International

Trente Mexicains détenus dans le “Alcatraz des alligators” en Floride

Un total de 30 Mexicains se trouvent actuellement au centre de détention pour migrants d’Everglades, situé dans une zone marécageuse du sud des États-Unis et surnommé « l’Alcatraz des alligators », a annoncé la présidente Claudia Sheinbaum.

Lors de sa conférence de presse habituelle, la cheffe de l’État a indiqué que ces ressortissants reçoivent déjà une assistance consulaire sur place. Ce centre de Floride fait l’objet de dénonciations de la part de défenseurs des droits humains, qui y signalent des abus contre les migrants.

« J’ai reçu ce matin [mercredi] une note indiquant qu’il y a 30 Mexicains avec lesquels [le consul à Miami] a eu un contact et qu’ils reçoivent un soutien », a déclaré Sheinbaum, évoquant une visite effectuée par le diplomate Rutilio Escandón.

Un rapport du gouvernement Sheinbaum, daté du 21 juillet, faisait état de deux frères mexicains détenus dans ce centre et précisait que leur demande de déportation avait été adressée par note diplomatique.

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International

La Croix-Rouge alerte : les victimes d’explosifs ont doublé en Colombie en 2025

Le nombre de victimes d’attaques à l’explosif en Colombie a doublé au cours des premiers mois de 2025, un phénomène alimenté par « l’usage intensif » de drones, a averti jeudi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui craint « les pires conditions humanitaires depuis une décennie » d’ici la fin de l’année.

Le pays traverse sa plus grave crise sécuritaire depuis la signature de l’historique accord de paix de 2016, qui avait conduit au désarmement de la majeure partie des FARC, autrefois la guérilla la plus puissante du continent.

Selon le rapport semestriel du CICR sur la Colombie, la situation des communautés terrorisées par la violence « s’est considérablement aggravée » cette année, dans un contexte de combats entre guérillas, groupes de narcotrafiquants et forces de sécurité.

Entre janvier et mai, l’organisation a documenté 524 victimes de dispositifs explosifs, soit une hausse de 145 % par rapport à la même période l’an dernier.

Les trois quarts des victimes sont des civils, et plus de 10 % sont des mineurs. Cette augmentation est en partie due à « l’usage intensif » d’engins explosifs « de fabrication artisanale » et de drones armés, a précisé le CICR.

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La plupart des attaques ont été recensées dans les départements de Cauca, Huila (sud-ouest), Antioquia (nord-ouest) et Norte de Santander (nord-est), où opèrent des dissidents des FARC, l’Armée de libération nationale (ELN) et le Clan du Golfo, le plus grand cartel de narcotrafic du pays.

« Alors que les besoins humanitaires ne cessent de croître, l’accès humanitaire devient de plus en plus difficile dans certaines régions du pays », a déclaré Patrick Hamilton, délégué du CICR en Colombie, dans une vidéo publiée par l’organisation.

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International

Séisme au Kamtchatka : Équateur en alerte tsunami pour les îles Galápagos

Le Centre national d’alerte aux tsunamis d’Équateur a lancé ce mardi une alerte en raison de la « forte probabilité » d’un tsunami susceptible d’affecter les îles Galápagos, à la suite du séisme de magnitude 8,8 enregistré sur la péninsule russe du Kamtchatka.

Pour les côtes continentales de l’Équateur, une vigilance est maintenue, selon le Centre national de tsunamis, rattaché à l’Institut océanographique et hydrographique de la Marine équatorienne.

« En cas de confirmation d’un impact plus important sur la côte continentale, les sirènes du Système d’alerte précoce aux tsunamis, installées en points stratégiques du littoral, seront activées », a indiqué la Secrétariat national de gestion des risques dans un communiqué.

Si un tsunami atteignait l’Équateur, les premières vagues frapperaient les Galápagos vers 10h00 heure locale et la côte continentale vers 11h00 (16h00 GMT). Les zones les plus éloignées pourraient être touchées vers 13h00 (18h00 GMT).

Les Galápagos, formées de treize grandes îles, se situent à 1 000 kilomètres des côtes continentales de l’Équateur.

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L’alerte recommande de suspendre les activités maritimes, d’évacuer les plages, jetées et zones basses, et demande aux habitants et visiteurs des côtes menacées de rester attentifs aux instructions des autorités.

Les autorités équatoriennes ont rappelé que les temps d’arrivée peuvent varier et que la première vague n’est pas nécessairement la plus haute. « Un tsunami est une série d’ondes », ont-elles insisté, expliquant que l’intervalle entre deux vagues peut varier de cinq minutes à une heure et que le danger peut durer plusieurs heures.

La NOAA (Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique) a également émis mardi une alerte tsunamipour Hawaï et certaines zones d’Alaska, tout en plaçant le reste de la côte ouest des États-Unis en état de vigilance.

Cette série d’alertes fait suite à un séisme survenu à 23h25 GMT mardi, au large des côtes sud du Kamtchatka(Russie), initialement mesuré à magnitude 8, puis réévalué à 8,8 par l’Agence météorologique japonaise (JMA).

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