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International

L’ancien vice-président Glas entre à l’ambassade du Mexique en Équateur

Photo: Vice-présidence Flickr

18 décembre |

Le ministère mexicain des Affaires étrangères (SRE) a confirmé que l’ancien vice-président de l’Équateur, Jorge Glas, est entré ce dimanche au siège de son ambassade à Quito (capitale) et y reste en tant qu’invité.

Le ministère mexicain des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué que l’ancien vice-président (2013-2018) s’est présenté à la légation diplomatique « pour demander son entrée et sa sauvegarde, exprimant des craintes pour sa sécurité et sa liberté personnelle ».

Le SRE a expliqué que, conformément au cadre juridique mexicain, « Glas Espinel a été autorisé à entrer en tant qu’invité ».

Il a ajouté que si l’ancien fonctionnaire formule une demande d’asile politique, « le gouvernement mexicain l’analysera attentivement et recueillera les informations nécessaires pour agir en conséquence, conformément aux traités internationaux pertinents auxquels le Mexique et l’Équateur sont parties et au droit international coutumier en la matière ».

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Le SRE a ajouté qu’il était dans la meilleure disposition pour maintenir le dialogue et la collaboration avec les autorités équatoriennes afin de recueillir toutes les informations nécessaires sur la situation de Glas.

Le bureau du procureur général de l’Équateur a ordonné samedi la localisation, l’immobilisation et le transfert de l’ancien vice-président du gouvernement de Rafael Correa dans le cadre d’une enquête sur des malversations présumées.

M. Glas a purgé deux peines de prison de six et huit ans pour corruption présumée. En novembre 2022, il a été libéré de prison après qu’un juge lui ait accordé une mesure de précaution en sa faveur.

L’ancien vice-président équatorien a répété à plusieurs reprises qu’il était innocent des faits qui lui sont reprochés.

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International

Texas : des migrants vénézuéliens détenus forment un SOS visible par drone

Les détenus du centre de rétention pour migrants de Bluebonnet, situé dans la petite ville d’Anson au Texas, ont adressé cette semaine un message d’alerte au monde extérieur : SOS.

Le lundi, 31 hommes ont formé ces lettres dans la cour poussiéreuse du centre alors qu’un drone de l’agence Reuters survolait la zone.

Dix jours auparavant, des dizaines de Vénézuéliens incarcérés dans ce centre avaient reçu des avis des autorités migratoires les accusant d’être membres du gang Tren de Aragua, les rendant ainsi passibles d’expulsion selon une loi d’époque de guerre, d’après des documents montrés à Reuters, des appels vidéo enregistrés et des procédures judiciaires en cours.

Les familles de sept détenus interrogées par Reuters ont affirmé qu’ils ne faisaient pas partie du gang et qu’ils avaient refusé de signer ces documents. Malgré cela, le vendredi 18 avril, ils ont été embarqués dans un bus en direction de l’aéroport régional d’Abilene, selon l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) et leurs proches, avant d’être ramenés au centre de détention.

Le soir même, la Cour suprême a suspendu temporairement les expulsions. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) n’a pas souhaité commenter cette décision.

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Il s’agit d’un sursis pour le groupe de Vénézuéliens détenus à Bluebonnet, qui risquent toujours — si la Cour suprême lève le blocage — d’être envoyés au CECOT, la tristement célèbre prison de haute sécurité au Salvador, où l’administration de l’ex-président Donald Trump aurait déjà transféré au moins 137 Vénézuéliens sous l’égide de la Loi sur les ennemis étrangers de 1798.

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International

Colombie : près de 100 femmes libérées grâce à une loi en faveur des mères détenues

En Colombie, environ 99 femmes incarcérées pour des délits mineurs liés à la drogue ont été libérées afin de purger leur peine en dehors des prisons, en vertu d’une loi promulguée par le président Gustavo Petro, selon le ministère de la Justice.

Cette loi, approuvée en 2023, s’adresse aux mères de famille à faibles revenus, et vise à désengorger les prisons tout en changeant l’approche de la lutte antidrogue, que le président de gauche considère comme un « échec ».

Les bénéficiaires doivent obtenir l’autorisation d’un juge et effectuer un travail social en échange de leur peine pour trafic de drogue, dans un pays qui reste le plus grand producteur mondial de cocaïne.

« L’un des projets les plus importants pour la Colombie est de protéger les femmes cheffes de famille », a déclaré mardi la ministre de la Justice, Ángela María Buitrago, lors d’un événement à la prison El Buen Pastor à Bogotá, en présence de dizaines de détenues.

Selon la Commission interaméricaine des droits de l’homme, les infractions liées à la drogue sont la principale cause d’incarcération des femmes en Amérique. En Colombie, les femmes représentent 13 % de la population carcérale.

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International

Charles III évoque son cancer : une expérience « décourageante et parfois effrayante »

Le roi britannique Charles III s’est exprimé ce mercredi sur le diagnostic de cancer dont il est atteint, qualifiant cette expérience de « décourageante et parfois effrayante », tant pour le patient que pour ses proches. Il l’a déclaré dans un message écrit destiné aux invités d’une réception au palais de Buckingham.

Après avoir quitté l’hôpital à la suite d’une intervention visant à corriger une hypertrophie de la prostate, Charles a été diagnostiqué avec un cancer en février 2024. Bien que les mises à jour sur son état de santé soient rares, une source du palais avait assuré en décembre dernier que le traitement évoluait favorablement.

Lors de cet événement, organisé en remerciement aux organisations qui soutiennent les personnes atteintes de cancer, le monarque de 76 ans a également déclaré : « Les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion. »

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