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Amérique centrale

Bernardo Arévalo appelle à des marches pour la démocratie au Guatemala

Photo: EFE

5 décembre |

Le président élu du Guatemala, Bernardo Arévalo, a appelé à une marche dans la capitale du pays le 7 décembre « pour la défense de la vérité, de la justice et de la démocratie ».

Sur les réseaux sociaux, Bernardo Arévalo a indiqué qu’il était nécessaire de mettre un terme aux « habituels corrompus qui ont blessé les fibres les plus sensibles de la société, en niant la liberté de choisir ».

Le président élu a souligné que la mobilisation visera à impliquer la société guatémaltèque tout en dénonçant les actes de corruption.

Bernardo Arévalo a affirmé que le pays traverse un moment qui exige clarté et décision, et qu’il ne peut accepter le silence complice ou l’ambiguïté.

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Selon le président élu, la mobilisation du 7 décembre sera pacifique et il a lancé un appel à toutes les forces démocratiques du pays d’Amérique centrale et aux dirigeants des différents secteurs de la société.

La marche convoquée par Bernardo Arévalo bénéficie du soutien des 48 cantons de Totonicapán, qui ont organisé des manifestations et des actions de rue en faveur du président élu.

La marche du 7 décembre commencera à 8 heures du matin par un rassemblement devant la Cour suprême de justice. Au cours de la marche, les manifestants se rendront ensuite à la Cour constitutionnelle, puis au siège du ministère public.

Le lundi 4 décembre, les autorités ancestrales du pays ont organisé une marche pour rejeter le budget 2024 approuvé par le Congrès guatémaltèque et pour exiger la démission de la procureure générale Consuelo Porras et d’autres fonctionnaires.

L’appel de Bernardo Arévalo à cette marche s’inscrit dans le contexte de l’annonce selon laquelle les États-Unis encouragent l’Organisation des États américains (OEA) à intensifier sa réponse à ce qu’ils considèrent comme des « attaques » contre la démocratie au Guatemala, en référence aux actions du bureau du procureur général à l’encontre du président élu.

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Amérique centrale

Le ministre équatorien de l’Intérieur visite la méga-prison Cecot au Salvador

Le ministre de l’Intérieur de l’Équateur, John Reimberg, accompagné d’autres autorités gouvernementales du pays sud-américain, a visité le Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot), une méga-prison devenue symbole de la « guerre » contre les gangs au Salvador, selon un communiqué de la présidence salvadorienne publié ce mercredi.

Le responsable équatorien s’est rendu sur place mardi soir afin de « découvrir de première main le fonctionnement de ce centre de détention de haute sécurité », que le gouvernement salvadorien considère comme « une référence mondiale ».

Le rapport précise que la délégation équatorienne a pu observer les protocoles de sécurité à l’entrée, les salles d’audiences virtuelles, les systèmes de contrôle et les modules où sont détenus les prisonniers.

Par ailleurs, la présidence a affirmé que, malgré les protocoles stricts de sécurité, « les droits humains fondamentaux des détenus sont garantis ».

Le ministre Reimberg rejoint ainsi d’autres hauts responsables ayant visité le Cecot, comme le ministre de la Justice et de la Paix du Costa Rica, Gerald Campos Valverde, en avril dernier, ou encore la secrétaire à la Sécurité nationale des États-Unis, Kristi Noem.

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La délégation équatorienne a également tenu des réunions avec des autorités de la sécurité salvadorienne, notamment le ministre de la Justice, Gustavo Villatoro, pour discuter du Plan de Contrôle Territorial.

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Amérique centrale

Le cardinal Brenes écarte l’idée d’un pape centre-américain et mise sur la prière

Le cardinal nicaraguayen et archevêque de Managua, Leopoldo José Brenes Solórzano, a déclaré ce lundi qu’il préférait qu’un nouveau chef de l’Église catholique soit choisi « ailleurs », en remplacement du pape François récemment décédé, et qu’il se sentait « tranquille » au Nicaragua.

Interrogé par des journalistes à Managua sur la possibilité qu’un pape centre-américain soit élu parmi les deux cardinaux de la région qui participeront au conclave dans la chapelle Sixtine, Brenes a répondu :
« Non, mais mieux vaut chercher ailleurs, je suis tranquille ici au Nicaragua, je travaille avec notre peuple, je vis proche des gens et je suis bien installé dans le quartier d’Altagracia ».

Il a ensuite nuancé : « Il y a un dicton qui dit que tous les ‘papables’ qui entrent au conclave en sortent comme cardinaux ».

Brenes a également exhorté les fidèles à « avoir une grande confiance » quant au successeur de François, car « la décision n’est pas exclusivement humaine, il y a tout un climat de prière ».
« Avant le conclave, il y a quelques jours de retraite, de silence entre les cardinaux, et surtout une grande force dans la prière que tout le peuple catholique offrira pour ce moment », a-t-il souligné.

« On ne peut pas dire que ce sera untel ou untel, car l’Esprit Saint nous surprend toujours », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Salvador salue les réformes durables du pape François

Le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez a exprimé lundi son souhait de voir les réformes initiées par le pape François au sein de l’Église catholique devenir « irréversibles ».

Nommé cardinal par François en 2017, Rosa Chávez n’est pas éligible pour lui succéder en raison de son âge. Il a rappelé qu’au cours d’une rencontre avec les évêques salvadoriens, le pape leur avait affirmé : « Ces réformes sont irréversibles ».

« C’est ce que nous souhaitons, que ce soit le cas. Que ce qu’il nous a offert avec tant de courage, de clarté et d’espérance devienne réalité », a déclaré le cardinal sur les ondes de la radio locale YSKL.

Durant son pontificat, François a lancé des réformes importantes, notamment dans la gestion économique du Vatican, la lutte contre la pédocriminalité au sein de l’Église et l’écoute des victimes. Il a également permis une plus grande inclusion des femmes dans des postes de responsabilité. Sous son impulsion, l’Église a commencé à adopter un discours plus ouvert envers les personnes homosexuelles et les divorcés remariés.

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