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International

Dina Boluarte reçoit la plus grande désapprobation de son administration au Pérou

Dina Boluarte reçoit la plus grande désapprobation de son administration au Pérou
Photo: La República

27 novembre |

Selon l’Institut d’études péruviennes (IEP), la présidente désignée du pays, Dina Boluarte, a obtenu en novembre 2023 la plus grande désapprobation de son administration gouvernementale, comme le montre un rapport réalisé par le chercheur ce mois-ci.

« Seulement 8 % des personnes interrogées approuvent l’administration de la présidente. Il s’agit du taux d’approbation le plus bas depuis qu’elle a accédé à la présidence », indique l’enquête.

Le taux de désapprobation est le plus élevé parmi les personnes ayant un statut socio-économique inférieur (87 %) et parmi celles qui s’identifient comme étant de gauche (93 %).

Le sondage indique que 85 % des Péruviens désapprouvent la façon dont Boluarte dirige son gouvernement, ce qui représente plus de quatre cinquièmes de la population.

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Le sondage a eu lieu du 18 au 23 novembre et a été réalisé avec des marges d’erreur de 2,8 points au-dessus et au-dessous de chaque résultat présenté.

« La tendance à la baisse de l’approbation du président Boluarte s’accentue, et si l’on compare l’approbation de novembre à celle observée en juillet, on constate une réduction statistiquement significative », note l’IEP.

De même, les experts ont déduit que « la désapprobation du président Boluarte persiste dans sa tendance à la hausse et enregistre une augmentation statistiquement significative par rapport au mois d’août ».

La population interrogée désapprouve également le travail du Congrès. Près de 91 % de l’échantillon a exprimé son rejet ou sa désapprobation, ce qui signifie que neuf personnes sur dix sont d’accord avec cette perception négative.

En ce sens, la clôture de l’enquête a coïncidé avec la journée de protestation des secteurs de l’éducation et de la santé, qui ont exigé du gouvernement qu’il respecte les accords conclus avec les travailleurs.

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Le Syndicat unitaire des travailleurs de l’éducation du Pérou (Sutep) a déclaré que les enseignants se sentent offensés et indignés par les mensonges du gouvernement dirigé par Boluarte.

D’autre part, ce samedi, le mouvement Nuevo Peru s’est mobilisé, déclarant que « nous vivons dans un gouvernement autoritaire qui représente le pire du patriarcat et du machisme, et que ce qui nuit à la démocratie nuit également aux femmes et à leur vie ».

International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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