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International

Le président péruvien nomme un nouveau ministre de l’intérieur

Photo: @presidenciaperu

22 novembre |

La présidente péruvienne Dina Boluarte a nommé mardi le nouveau ministre de l’Intérieur de son pays au sein de son cabinet exécutif, en remplacement de Vicente Romero, qui avait démissionné de son poste plus tôt dans la journée à la suite d’une censure du Congrès.

Le poste de ministre de l’intérieur sera occupé par le général Víctor Torres Falcón, retraité de la police nationale péruvienne (PNP).

La cérémonie de nomination du nouveau ministre de l’intérieur s’est déroulée dans la salle Elespuru du palais du gouvernement, situé au centre de Lima, la capitale péruvienne.

La cérémonie a été dirigée par la présidente Dina Boluarte, accompagnée du train ministériel, dont l’ancien ministre de l’intérieur Vicente Romero.

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Lors d’une activité organisée peu après, au cours de laquelle elle a dressé le bilan de son gouvernement, Mme Boluarte a estimé que Torres Falcón « a une tâche difficile » à la tête du ministère, mais s’est dite sûre qu’il « saura répondre aux demandes des citoyens et du Pérou tout entier ».

Il convient de noter que Torres Falcón, général à la retraite de la police nationale et ancien membre de la garde civile, a été nommé en 2011 à la tête du Commandement spécial unifié de la vallée des fleuves Apurímac, Ene et Mantaro (Vraem).

Contexte du changement de ministre de l’intérieur
Le nouveau ministre a pris ses fonctions après le départ de Romero, qui a été censuré par le Congrès le 15 novembre pour avoir fait preuve « d’incapacité et de manque de leadership dans la lutte contre la criminalité » dans le pays au cours de son mandat.

Les critiques à l’encontre du désormais ex-ministre se sont concentrées sur les résultats de l’état d’urgence que le gouvernement a déclaré en septembre dernier dans quatre districts de l’agglomération de Lima et dans sept districts du département septentrional de Piura afin de lutter contre la criminalité dans ces zones.

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International

Texas : des migrants vénézuéliens détenus forment un SOS visible par drone

Les détenus du centre de rétention pour migrants de Bluebonnet, situé dans la petite ville d’Anson au Texas, ont adressé cette semaine un message d’alerte au monde extérieur : SOS.

Le lundi, 31 hommes ont formé ces lettres dans la cour poussiéreuse du centre alors qu’un drone de l’agence Reuters survolait la zone.

Dix jours auparavant, des dizaines de Vénézuéliens incarcérés dans ce centre avaient reçu des avis des autorités migratoires les accusant d’être membres du gang Tren de Aragua, les rendant ainsi passibles d’expulsion selon une loi d’époque de guerre, d’après des documents montrés à Reuters, des appels vidéo enregistrés et des procédures judiciaires en cours.

Les familles de sept détenus interrogées par Reuters ont affirmé qu’ils ne faisaient pas partie du gang et qu’ils avaient refusé de signer ces documents. Malgré cela, le vendredi 18 avril, ils ont été embarqués dans un bus en direction de l’aéroport régional d’Abilene, selon l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) et leurs proches, avant d’être ramenés au centre de détention.

Le soir même, la Cour suprême a suspendu temporairement les expulsions. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) n’a pas souhaité commenter cette décision.

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Il s’agit d’un sursis pour le groupe de Vénézuéliens détenus à Bluebonnet, qui risquent toujours — si la Cour suprême lève le blocage — d’être envoyés au CECOT, la tristement célèbre prison de haute sécurité au Salvador, où l’administration de l’ex-président Donald Trump aurait déjà transféré au moins 137 Vénézuéliens sous l’égide de la Loi sur les ennemis étrangers de 1798.

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International

Colombie : près de 100 femmes libérées grâce à une loi en faveur des mères détenues

En Colombie, environ 99 femmes incarcérées pour des délits mineurs liés à la drogue ont été libérées afin de purger leur peine en dehors des prisons, en vertu d’une loi promulguée par le président Gustavo Petro, selon le ministère de la Justice.

Cette loi, approuvée en 2023, s’adresse aux mères de famille à faibles revenus, et vise à désengorger les prisons tout en changeant l’approche de la lutte antidrogue, que le président de gauche considère comme un « échec ».

Les bénéficiaires doivent obtenir l’autorisation d’un juge et effectuer un travail social en échange de leur peine pour trafic de drogue, dans un pays qui reste le plus grand producteur mondial de cocaïne.

« L’un des projets les plus importants pour la Colombie est de protéger les femmes cheffes de famille », a déclaré mardi la ministre de la Justice, Ángela María Buitrago, lors d’un événement à la prison El Buen Pastor à Bogotá, en présence de dizaines de détenues.

Selon la Commission interaméricaine des droits de l’homme, les infractions liées à la drogue sont la principale cause d’incarcération des femmes en Amérique. En Colombie, les femmes représentent 13 % de la population carcérale.

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International

Charles III évoque son cancer : une expérience « décourageante et parfois effrayante »

Le roi britannique Charles III s’est exprimé ce mercredi sur le diagnostic de cancer dont il est atteint, qualifiant cette expérience de « décourageante et parfois effrayante », tant pour le patient que pour ses proches. Il l’a déclaré dans un message écrit destiné aux invités d’une réception au palais de Buckingham.

Après avoir quitté l’hôpital à la suite d’une intervention visant à corriger une hypertrophie de la prostate, Charles a été diagnostiqué avec un cancer en février 2024. Bien que les mises à jour sur son état de santé soient rares, une source du palais avait assuré en décembre dernier que le traitement évoluait favorablement.

Lors de cet événement, organisé en remerciement aux organisations qui soutiennent les personnes atteintes de cancer, le monarque de 76 ans a également déclaré : « Les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion. »

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