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International

Une vague de chaleur pourrait toucher plus de la moitié du Brésil

Une vague de chaleur pourrait toucher plus de la moitié du Brésil
Photo: @AndreteleSUR

14 novembre |

Le Brésil connaît actuellement une vague de chaleur dans une grande partie du pays, selon les relevés de l’Institut de météorologie, qui a noté qu’il fera 5°C de plus que la moyenne pour la période. Ce lundi, Rio de Janeiro a enregistré un refroidissement éolien de 52°C à 08H00 heure locale.

La chaleur extrême, qui a déjà touché le sud-est et le Midwest depuis la fin de la semaine dernière, devrait s’étendre à certaines parties du pays.

Ce lundi, l’Institut météorologique national (Inmet) a publié une nouvelle version de l’alerte aux températures extrêmes. L’énorme bande de risque rouge couvre déjà une partie du sud, du nord et du nord-est.

Selon le rapport de l’Inmet, la vague de chaleur a augmenté en durée et devrait se poursuivre au moins jusqu’à vendredi. Plus de 2 700 municipalités sont en situation de risque élevé en raison des températures élevées. Des milliers de municipalités sont également en alerte de faible humidité.

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L’alerte Inmet précédente prévoyait des températures extrêmement élevées dans cinq États et dans le district fédéral.

La liste comprenait São Paulo, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais et Goiás. Selon la mise à jour de lundi, les régions de Paraná, Rio de Janeiro, Espírito Santo, Bahia, Piauí, Tocantins, Amazonas et Rondônia figurent également sur la liste.

L’Inmet prévient que, dans toutes ces régions, les températures peuvent être jusqu’à 5 degrés au-dessus de la moyenne, ce qui pose des risques pour la santé. L’institut conseille à la population de contacter la protection civile en cas de problème. La population doit se protéger du soleil, boire de l’eau et éviter les exercices et les efforts physiques prolongés, en particulier pendant les heures les plus chaudes de la journée.

Bien que l’alerte générale de l’agence prévoie que le phénomène météorologique persistera jusqu’à vendredi, MetSul Meteorology a signalé que, dans certains endroits, le phénomène pourrait durer jusqu’à deux semaines.

D’après les mesures effectuées dans le cadre de l’initiative, les conditions météorologiques pourraient s’apparenter aux records enregistrés dans certains des endroits les plus chauds du monde, tels que les déserts du sud-est des États-Unis et du Moyen-Orient.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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