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International

Un tribunal équatorien envisage de légaliser l’euthanasie

Un tribunal équatorien envisage de légaliser l'euthanasie

13 novembre |

La Cour constitutionnelle de l’Équateur (CCE) a fixé une audience au 20 novembre pour discuter de l’éventuelle légalisation de l’euthanasie dans le pays, en réponse à la demande de l’Équatorienne Paola Roldán, qui souffre de sclérose latérale amyotrophique (SLA).

C’est la première fois que la Haute Cour examine un recours visant à légaliser l’euthanasie comme moyen pour les personnes atteintes de maladies ou de lésions graves et incurables d’exercer leur droit à une mort digne.

Le CEC a reconnu l’importance de l’affaire, et l’on s’attend à ce que l’audience soulève les arguments nécessaires pour ouvrir la voie à la pratique légale de l’euthanasie pour les personnes souffrant de maladies en phase terminale.

L’action intentée par Paola Roldán contre elle fait appel à l’article 144 du Código Orgánico Integral Penal (COIP), qui est en contradiction avec les principes constitutionnels. Parmi ceux-ci, l’autonomie personnelle, la dignité humaine et le droit à une mort digne.

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Dans sa demande, cette Equatorienne de 42 ans propose l’euthanasie comme moyen d’exercer son droit à une mort digne et de mettre fin à ses souffrances.

L’audience du 20 novembre sera présidée par le juge constitutionnel Enrique Herrería, qui devra s’assurer de la présence de toutes les parties.

Après l’audience, le CEC prendra deux à trois semaines pour rendre sa décision sur l’euthanasie.

En Amérique latine, seule la Colombie a dépénalisé l’euthanasie en 1997. Les parlements de l’Uruguay et du Chili examinent des projets de loi sur le sujet, tandis qu’au Mexique, il existe une loi dite de « bonne mort », qui autorise le patient ou sa famille à demander que la vie ne soit pas prolongée par des moyens artificiels.

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International

Texas : des migrants vénézuéliens détenus forment un SOS visible par drone

Les détenus du centre de rétention pour migrants de Bluebonnet, situé dans la petite ville d’Anson au Texas, ont adressé cette semaine un message d’alerte au monde extérieur : SOS.

Le lundi, 31 hommes ont formé ces lettres dans la cour poussiéreuse du centre alors qu’un drone de l’agence Reuters survolait la zone.

Dix jours auparavant, des dizaines de Vénézuéliens incarcérés dans ce centre avaient reçu des avis des autorités migratoires les accusant d’être membres du gang Tren de Aragua, les rendant ainsi passibles d’expulsion selon une loi d’époque de guerre, d’après des documents montrés à Reuters, des appels vidéo enregistrés et des procédures judiciaires en cours.

Les familles de sept détenus interrogées par Reuters ont affirmé qu’ils ne faisaient pas partie du gang et qu’ils avaient refusé de signer ces documents. Malgré cela, le vendredi 18 avril, ils ont été embarqués dans un bus en direction de l’aéroport régional d’Abilene, selon l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) et leurs proches, avant d’être ramenés au centre de détention.

Le soir même, la Cour suprême a suspendu temporairement les expulsions. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) n’a pas souhaité commenter cette décision.

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Il s’agit d’un sursis pour le groupe de Vénézuéliens détenus à Bluebonnet, qui risquent toujours — si la Cour suprême lève le blocage — d’être envoyés au CECOT, la tristement célèbre prison de haute sécurité au Salvador, où l’administration de l’ex-président Donald Trump aurait déjà transféré au moins 137 Vénézuéliens sous l’égide de la Loi sur les ennemis étrangers de 1798.

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Colombie : près de 100 femmes libérées grâce à une loi en faveur des mères détenues

En Colombie, environ 99 femmes incarcérées pour des délits mineurs liés à la drogue ont été libérées afin de purger leur peine en dehors des prisons, en vertu d’une loi promulguée par le président Gustavo Petro, selon le ministère de la Justice.

Cette loi, approuvée en 2023, s’adresse aux mères de famille à faibles revenus, et vise à désengorger les prisons tout en changeant l’approche de la lutte antidrogue, que le président de gauche considère comme un « échec ».

Les bénéficiaires doivent obtenir l’autorisation d’un juge et effectuer un travail social en échange de leur peine pour trafic de drogue, dans un pays qui reste le plus grand producteur mondial de cocaïne.

« L’un des projets les plus importants pour la Colombie est de protéger les femmes cheffes de famille », a déclaré mardi la ministre de la Justice, Ángela María Buitrago, lors d’un événement à la prison El Buen Pastor à Bogotá, en présence de dizaines de détenues.

Selon la Commission interaméricaine des droits de l’homme, les infractions liées à la drogue sont la principale cause d’incarcération des femmes en Amérique. En Colombie, les femmes représentent 13 % de la population carcérale.

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Charles III évoque son cancer : une expérience « décourageante et parfois effrayante »

Le roi britannique Charles III s’est exprimé ce mercredi sur le diagnostic de cancer dont il est atteint, qualifiant cette expérience de « décourageante et parfois effrayante », tant pour le patient que pour ses proches. Il l’a déclaré dans un message écrit destiné aux invités d’une réception au palais de Buckingham.

Après avoir quitté l’hôpital à la suite d’une intervention visant à corriger une hypertrophie de la prostate, Charles a été diagnostiqué avec un cancer en février 2024. Bien que les mises à jour sur son état de santé soient rares, une source du palais avait assuré en décembre dernier que le traitement évoluait favorablement.

Lors de cet événement, organisé en remerciement aux organisations qui soutiennent les personnes atteintes de cancer, le monarque de 76 ans a également déclaré : « Les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion. »

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