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International

Les mobilisations pour les prestations sociales se poursuivent au Pérou

Les mobilisations pour les prestations sociales se poursuivent au Pérou
Photo: EFE

11 octobre |

Les organisations syndicales se poursuivent ce mardi au Pérou pour une durée indéterminée afin d’exiger le respect des conventions collectives de travail et le paiement de divers accords salariaux, ainsi que contre les politiques inefficaces de la présidente Dina Boluarte.

Dans le cadre de la grève, au moins 150 syndicats regroupant environ 25 000 travailleurs participent à la grève, exigeant que le ministère du travail respecte les conventions collectives de travail.

Pour sa part, le secrétaire général de la Fédération des travailleurs de la sécurité sociale (FedcuT), Wilfredo Ponce, a déclaré qu’une réunion était en cours d’organisation avec le ministre du travail.

Parmi les revendications, M. Ponce a expliqué qu’il exigeait le paiement des travailleurs du régime 276, qui « partent à l’âge de 70 ans et il faut plus d’un an pour les payer. Il s’agit d’une assurance chômage qui doit être payée dans les 48 heures. Le passage au régime 728 n’a pas encore été mis en œuvre ».

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Le représentant de la FedCut a également critiqué la réticence et le retard du président exécutif à donner une validité juridique à la convention collective et à la loi sur les processus supplémentaires.

Par conséquent, la convention collective qui accorde, entre autres, le Bono de Cierre de Pliego, qui devrait être accordé sans changer sa dénomination et sans laisser l’interférence du Fondo Nacional de Financiamiento de la Actividad Empresarial del Estado (Fonafe).

« Le ministère du travail, par l’intermédiaire du ministre, doit garantir la légalité et certifier que la convention collective est valide, que l’acte de procédure supplémentaire est valide et qu’il doit être respecté. L’ingérence de Fonafe ne doit pas être acceptée », a déclaré M. Ponce.

La Conférence péruvienne des travailleurs (CTP) a exhorté les autorités de l’assurance maladie sociale (Essalud), les ministères du travail et de l’économie et la présidence du Conseil des ministres à rechercher une solution immédiate à la demande d’Essalud et de la FedcuT.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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