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International

Le ministère public péruvien va convoquer les ministres de Boluarte pour qu’ils témoignent contre lui

Le ministère public péruvien va convoquer les ministres de Boluarte pour qu'ils témoignent contre lui
Photo: Présidence du Pérou

13 septembre |

Le ministère public du Pérou a annoncé mardi qu’il convoquerait 40 citoyens pour témoigner dans le cadre de l’enquête en cours contre la présidente désignée Dina Boluarte pour des décès survenus en décembre 2022 et février 2023 à la suite de manifestations antigouvernementales.

Parmi les citoyens appelés à témoigner figurent des membres actuels du gouvernement qui doivent coopérer à l’enquête menée par le ministère public péruvien et le bureau du procureur général.

Pour l’instant, le ministère public examine les témoignages de 16 personnes, estimant que 24 d’entre elles « manquent d’utilité et de pertinence », bien que ces témoignages émanent de hauts fonctionnaires de l’État.

La liste des témoignages comprend les ministres de l’économie et des finances, Alex Contreras ; du développement et de l’inclusion sociale, Julio Demartini ; et des affaires étrangères, Ana Cecilia Gervasi.

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La liste comprend également les noms des anciens ministres Luis Adrianzén (Travail), Óscar Becerra (Éducation), Nelly Paredes del Castillo (Développement agraire et irrigation), Paola Lazarte (Transports et communications) et Rosa Gutiérrez (Santé).

La chancelière Ana Cecilia Gervasi, Alex Contreras, responsable du portefeuille de l’économie et des finances, et Julio Dermatini, du portefeuille du développement et de l’inclusion sociale, étaient également présents.

Pour l’instant, il n’y a pas de date précise pour la convocation des 40 témoins qui devront s’exprimer dans le délai de 45 jours fixé par le ministère public dans le cadre de l’enquête contre le président péruvien.

Pour sa part, la présidente Dina Boluarte nie les faits pour lesquels elle fait l’objet d’une enquête.

Si elle est reconnue coupable, elle pourrait être accusée de génocide, d’homicide aggravé et de lésions corporelles graves.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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