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International

Appel à une plus grande coopération internationale dans les opérations de secours en Haïti

Appel à une plus grande coopération internationale dans les opérations de secours en Haïti
Photo: EFE

21 juin |

La République dominicaine et le Canada se sont engagés mercredi à continuer à travailler ensemble et avec le soutien de la communauté internationale pour résoudre la crise en Haïti, et ont surmonté l’impasse dans laquelle se trouvaient leurs relations bilatérales sur cette question.

Dans un communiqué publié par leurs ministères des affaires étrangères respectifs, les deux pays ont déclaré qu’ils soutiendraient une solution à long terme à la crise actuelle en Haïti, menée par les Haïtiens eux-mêmes.

Ils ont déclaré que, compte tenu de l’ampleur de la crise haïtienne, « une plus grande coopération internationale est nécessaire pour traiter les questions de développement, d’aide humanitaire et de sécurité ».

Ils ont reconnu que des efforts sont faits pour fournir des fonds à la nation caribéenne, tels que ceux du Bureau intégré des Nations unies en Haïti (Binuh), du Canada et d’autres partenaires, qui tentent de mobiliser des fonds supplémentaires.

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Dans le même ordre d’idées, ils ont indiqué que la République dominicaine a répondu aux demandes des autorités haïtiennes pour consolider la sécurité dans ce pays, faciliter l’accès aux biens stratégiques tels que le carburant et soutenir la sécurité du personnel diplomatique qui y est stationné.

En outre, ils ont souligné la coopération entre les Nations unies, les gouvernements régionaux et les autorités haïtiennes, ainsi que les efforts déployés par les États-Unis, la Communauté des Caraïbes (Caricom) et d’autres parties, dans le but de rétablir l’État de droit et de réduire l’insécurité alimentaire.

Ils ont annoncé qu’ils renforceraient « la coordination en Haïti, au Canada, en République dominicaine et ailleurs si nécessaire, notamment par une présence diplomatique accrue dans les ambassades canadiennes de Port-au-Prince et de Saint-Domingue ».

D’autre part, ils ont clairement indiqué que leurs relations bilatérales étaient solides, surmontant ainsi une impasse survenue il y a quelques jours, lorsque la ministre canadienne des affaires étrangères, Mélanie Joly, a révélé par l’intermédiaire des médias canadiens que son gouvernement souhaitait mettre en place un centre en République dominicaine pour coordonner l’assistance internationale en matière de sécurité à Haïti.

Suite à cet incident, le ministre dominicain des Affaires étrangères, Roberto Álvarez, a assuré que son pays « n’a pas discuté, ni accepté, ni accordé d’autorisation pour l’installation sur notre territoire d’un bureau de coordination de l’appui à la police nationale haïtienne ».

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Par l’intermédiaire de son porte-parole (Homero Figueroa), la présidence de la nation caribéenne a affirmé qu’elle n’avait accepté « ni n’acceptera à l’avenir aucune initiative affectant la souveraineté dominicaine » et qu’elle continuera à « plaider en faveur de la participation de la communauté internationale à la recherche d’une solution définitive ».

International

Maduro accuse l’opposition d’être responsable du sort d’une fillette séparée de sa mère aux États-Unis

Le président vénézuélien Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat à la suite de sa réélection controversée, a tenu pour responsables plusieurs opposants, dont María Corina Machado, de tout ce qui pourrait arriver à une fillette de deux ans que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement depuis les États-Unis.

« Je tiens publiquement responsables Mme María Machado, Leopoldo López, Carlos Paparoni, Carlos Vecchio et Juan Guaidó de ce qui pourrait arriver à la petite Maikelys Espinoza, en raison de la séparation qu’elle subit », a déclaré Maduro lors d’un défilé à Caracas pour la Journée internationale des travailleurs, auquel ont assisté la mère et la grand-mère de l’enfant, Yorely Bernal et Raida Inciarte.

Le chef de l’État a accusé ce groupe d’opposants d’être responsable des sanctions, du blocus, des trafiquants (« coyotes ») qui ont détourné des milliards de dollars, ainsi que de la persécution des migrants vénézuéliens aux États-Unis.

La manifestation a parcouru plusieurs avenues de la capitale, avec la participation de travailleurs de divers ministères et entreprises publiques, brandissant des pancartes demandant la « libération » de la fillette. Sur la scène, aux côtés de Maduro, se trouvaient également des proches de plus de 200 migrants vénézuéliens récemment expulsés des États-Unis vers une prison de haute sécurité au Salvador, accusés d’appartenir au groupe criminel transnational Tren de Aragua, né dans une prison vénézuélienne.

Maduro a appelé ses partisans à prier Dieu pour avoir la sagesse et l’intelligence nécessaires afin que la fillette puisse bientôt retourner dans les bras de sa mère au Venezuela, ainsi que les 252 migrants détenus au Salvador.

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« La justice triomphera plus tôt que prévu, et nos jeunes reviendront libres, sains et saufs », a-t-il déclaré.

Le président a également défendu les migrants vénézuéliens, les qualifiant de personnes nobles, honnêtes et travailleuses qui ont contribué au développement des pays où ils se sont installés.

Mardi, le procureur général Tarek William Saab a annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il a qualifié d’« enlèvement brutal » de la fillette par les autorités américaines.

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

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