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Amérique centrale

Spirale de violence dans le département de Zacapa au Guatemala

Spirale de violence dans le département de Zacapa au Guatemala
Photo: Prensa Libre

20 juin |

Le département de Zacapa, au nord-est du Guatemala, est aujourd’hui l’épicentre d’une spirale de violence qui, en 19 jours au mois de juin, a coûté la vie à 11 hommes et 5 femmes.

Parmi eux, 14 ont été abattus et deux ont été poignardés à mort, tandis que les crimes dans la période se sont produits dans les municipalités de Zacapa, Gualán et La Unión, la plupart d’entre eux dans la capitale municipale de Zacapa, a rapporté Prensa Libre.

Au cours des six premiers mois de l’année, 95 personnes ont perdu la vie dans des actes de violence, selon le journal, qui s’appuie sur les registres des organisations de la région.

Les chiffres actuels montrent une augmentation de la terreur dans la région, par rapport aux 125 morts de la même manière en 2022, selon le rapport.

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De janvier à mai dernier, 77 personnes sont décédées de mort violente à Zacapa, selon l’Institut national des sciences médico-légales.

Des sources de la Police Nationale Civile (PNC) ont déclaré que les crimes à Zacapa sont associés au trafic de drogue, aux meurtres contractuels et à certaines extorsions.

Une mission d’observation de la campagne du dimanche 25 a signalé trois assassinats dans la capitale, à Zacapa et à Jalapa, quatre tentatives d’assassinat à Baja Verapaz et à Jutiapa, ainsi qu’un nombre similaire de points chauds, qui pourraient donner lieu à des actes de violence électorale.

Face à cette situation, les habitants de Zacapa s’attendent à une plus grande présence des agents de la PNC en raison du risque élevé que représente le conflit pour le pouvoir électoral.

Le Guatemala figure parmi les 15 pays les plus violents du monde, avec plus de 60 000 meurtres au cours de la dernière décennie, selon les organisations internationales.

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Amérique centrale

Le ministre équatorien de l’Intérieur visite la méga-prison Cecot au Salvador

Le ministre de l’Intérieur de l’Équateur, John Reimberg, accompagné d’autres autorités gouvernementales du pays sud-américain, a visité le Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot), une méga-prison devenue symbole de la « guerre » contre les gangs au Salvador, selon un communiqué de la présidence salvadorienne publié ce mercredi.

Le responsable équatorien s’est rendu sur place mardi soir afin de « découvrir de première main le fonctionnement de ce centre de détention de haute sécurité », que le gouvernement salvadorien considère comme « une référence mondiale ».

Le rapport précise que la délégation équatorienne a pu observer les protocoles de sécurité à l’entrée, les salles d’audiences virtuelles, les systèmes de contrôle et les modules où sont détenus les prisonniers.

Par ailleurs, la présidence a affirmé que, malgré les protocoles stricts de sécurité, « les droits humains fondamentaux des détenus sont garantis ».

Le ministre Reimberg rejoint ainsi d’autres hauts responsables ayant visité le Cecot, comme le ministre de la Justice et de la Paix du Costa Rica, Gerald Campos Valverde, en avril dernier, ou encore la secrétaire à la Sécurité nationale des États-Unis, Kristi Noem.

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La délégation équatorienne a également tenu des réunions avec des autorités de la sécurité salvadorienne, notamment le ministre de la Justice, Gustavo Villatoro, pour discuter du Plan de Contrôle Territorial.

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Amérique centrale

Le cardinal Brenes écarte l’idée d’un pape centre-américain et mise sur la prière

Le cardinal nicaraguayen et archevêque de Managua, Leopoldo José Brenes Solórzano, a déclaré ce lundi qu’il préférait qu’un nouveau chef de l’Église catholique soit choisi « ailleurs », en remplacement du pape François récemment décédé, et qu’il se sentait « tranquille » au Nicaragua.

Interrogé par des journalistes à Managua sur la possibilité qu’un pape centre-américain soit élu parmi les deux cardinaux de la région qui participeront au conclave dans la chapelle Sixtine, Brenes a répondu :
« Non, mais mieux vaut chercher ailleurs, je suis tranquille ici au Nicaragua, je travaille avec notre peuple, je vis proche des gens et je suis bien installé dans le quartier d’Altagracia ».

Il a ensuite nuancé : « Il y a un dicton qui dit que tous les ‘papables’ qui entrent au conclave en sortent comme cardinaux ».

Brenes a également exhorté les fidèles à « avoir une grande confiance » quant au successeur de François, car « la décision n’est pas exclusivement humaine, il y a tout un climat de prière ».
« Avant le conclave, il y a quelques jours de retraite, de silence entre les cardinaux, et surtout une grande force dans la prière que tout le peuple catholique offrira pour ce moment », a-t-il souligné.

« On ne peut pas dire que ce sera untel ou untel, car l’Esprit Saint nous surprend toujours », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Salvador salue les réformes durables du pape François

Le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez a exprimé lundi son souhait de voir les réformes initiées par le pape François au sein de l’Église catholique devenir « irréversibles ».

Nommé cardinal par François en 2017, Rosa Chávez n’est pas éligible pour lui succéder en raison de son âge. Il a rappelé qu’au cours d’une rencontre avec les évêques salvadoriens, le pape leur avait affirmé : « Ces réformes sont irréversibles ».

« C’est ce que nous souhaitons, que ce soit le cas. Que ce qu’il nous a offert avec tant de courage, de clarté et d’espérance devienne réalité », a déclaré le cardinal sur les ondes de la radio locale YSKL.

Durant son pontificat, François a lancé des réformes importantes, notamment dans la gestion économique du Vatican, la lutte contre la pédocriminalité au sein de l’Église et l’écoute des victimes. Il a également permis une plus grande inclusion des femmes dans des postes de responsabilité. Sous son impulsion, l’Église a commencé à adopter un discours plus ouvert envers les personnes homosexuelles et les divorcés remariés.

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