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Perquisition au domicile du juge qui a rétabli les droits politiques de Jorge Glas en Équateur

Perquisition au domicile du juge qui a rétabli les droits politiques de Jorge Glas en Équateur
Photo: @FiscaliaEcuador

12 juin |

Le bureau du procureur général et la police nationale de l’Équateur ont effectué des perquisitions afin de localiser le juge John Rodriguez, accusé de prévarication.

« Le bureau du procureur, avec le soutien des unités spéciales de la police équatorienne, dirige l’exécution de plusieurs perquisitions, y compris la propriété du juge John R. à Milagro, qui a rétabli les droits politiques du condamné Jorge G. et qui fait l’objet d’une enquête pour prévarication présumée », a reconnu le bureau du procureur sur son compte Twitter.

L’avocat aurait commis ce crime en restituant les droits politiques à Jorge Glas, ancien vice-président équatorien poursuivi dans l’affaire dite de corruption.

L’avocat fait l’objet d’une enquête pour un délit qui se produit lorsqu’un membre du pouvoir judiciaire ou un fonctionnaire investi de ce pouvoir prend des mesures arbitraires ou illégales dans une affaire judiciaire ou administrative.

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En Équateur, la prévarication est passible d’une peine de trois à cinq ans de prison, ainsi que d’une interdiction d’exercer la profession pendant au moins six mois.

Glas a été vice-président de l’Équateur pendant deux mandats, entre 2013 et 2018. Accusé et condamné pour corruption présumée, l’ancien vice-président a purgé une peine de prison jusqu’à sa libération conditionnelle en 2022.

Dans un rapport de 16 pages, le juge John Rodriguez s’est prononcé en faveur de M. Glas et a rétabli ses droits à exercer une fonction politique, afin qu’il puisse participer à la course à la présidence lors des élections anticipées prévues pour le 20 août.

M. Glas était le candidat élu à la tête du parti Revolución Ciudadana, mais il a décliné l’offre et le duo sera désormais composé de Luisa González à la présidence et d’Andrés Arauz, ancien candidat à la présidence, à la vice-présidence.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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