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Amérique centrale

L’ex-président panaméen Martinelli et sa famille interdits d’entrée aux Etats-Unis

Photo: Gabriel Rodriguez / AFP

26 janvier | Par AFP |

L’ancien président panaméen Ricardo Martinelli est interdit d’entrée aux Etats-Unis, tout comme sa famille, en raison des « pots-de-vin » qui lui ont été versés par le groupe brésilien de BPT Odebrecht, a annoncé mercredi le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken.

L’ex-président « a accepté des pots-de-vin en échange de l’adjudication de manière irrégulière de contrats publics durant son mandat présidentiel », ce qui rend « M. Martinelli et les membres de sa famille immédiatement inéligibles à l’entrée aux Etats-Unis », a indiqué M. Blinken dans une déclaration transmise par l’ambassade américaine à Panama.

Cette décision intervient le jour de l’expulsion des Etats-Unis vers le Panama des deux fils de l’ex-président, qui ont effectué deux ans et demi détention pour corruption.

La justice américaine les avait également condamnés à une amende de 250.000 dollars dans cette affaire. 

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Ils avaient été reconnus coupables d’avoir perçu 28 millions de dollars de pots-de-vin de la part du groupe brésilien Odebrecht, dont 19 millions de dollars ont transité par des comptes bancaires aux Etats-Unis. 

Au Panama, l’ex-président et ses deux fils ont été inculpés de blanchiment d’argent présumé dans cette affaire ainsi que dans le scandale connu sous le nom de « Blue Apple » (« Pomme bleue »), un système de perception de commissions sur le montant de projets réalisés sous le gouvernement Martinelli (2009-2014).

Les deux fils ont décollé de l’aéroport de Newark, près de New York, escortés par des policiers de l’immigration (ICE), a précisé à l’AFP leur avocat, Carlos Carrillo. Selon lui, ils ont été accueillis par des fonctionnaires judiciaires à leur descente d’avion et se sont vus notifier les charges qui pèsent sur eux. Mais ils attendront leur procès en liberté sous caution.

Les deux frères ne seront pas autorisés à quitter le territoire panaméen et devront se rendre à toutes les convocations judiciaires pour les affaires en cours, a ajouté leur avocat.

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Amérique centrale

Le ministre équatorien de l’Intérieur visite la méga-prison Cecot au Salvador

Le ministre de l’Intérieur de l’Équateur, John Reimberg, accompagné d’autres autorités gouvernementales du pays sud-américain, a visité le Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot), une méga-prison devenue symbole de la « guerre » contre les gangs au Salvador, selon un communiqué de la présidence salvadorienne publié ce mercredi.

Le responsable équatorien s’est rendu sur place mardi soir afin de « découvrir de première main le fonctionnement de ce centre de détention de haute sécurité », que le gouvernement salvadorien considère comme « une référence mondiale ».

Le rapport précise que la délégation équatorienne a pu observer les protocoles de sécurité à l’entrée, les salles d’audiences virtuelles, les systèmes de contrôle et les modules où sont détenus les prisonniers.

Par ailleurs, la présidence a affirmé que, malgré les protocoles stricts de sécurité, « les droits humains fondamentaux des détenus sont garantis ».

Le ministre Reimberg rejoint ainsi d’autres hauts responsables ayant visité le Cecot, comme le ministre de la Justice et de la Paix du Costa Rica, Gerald Campos Valverde, en avril dernier, ou encore la secrétaire à la Sécurité nationale des États-Unis, Kristi Noem.

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La délégation équatorienne a également tenu des réunions avec des autorités de la sécurité salvadorienne, notamment le ministre de la Justice, Gustavo Villatoro, pour discuter du Plan de Contrôle Territorial.

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Amérique centrale

Le cardinal Brenes écarte l’idée d’un pape centre-américain et mise sur la prière

Le cardinal nicaraguayen et archevêque de Managua, Leopoldo José Brenes Solórzano, a déclaré ce lundi qu’il préférait qu’un nouveau chef de l’Église catholique soit choisi « ailleurs », en remplacement du pape François récemment décédé, et qu’il se sentait « tranquille » au Nicaragua.

Interrogé par des journalistes à Managua sur la possibilité qu’un pape centre-américain soit élu parmi les deux cardinaux de la région qui participeront au conclave dans la chapelle Sixtine, Brenes a répondu :
« Non, mais mieux vaut chercher ailleurs, je suis tranquille ici au Nicaragua, je travaille avec notre peuple, je vis proche des gens et je suis bien installé dans le quartier d’Altagracia ».

Il a ensuite nuancé : « Il y a un dicton qui dit que tous les ‘papables’ qui entrent au conclave en sortent comme cardinaux ».

Brenes a également exhorté les fidèles à « avoir une grande confiance » quant au successeur de François, car « la décision n’est pas exclusivement humaine, il y a tout un climat de prière ».
« Avant le conclave, il y a quelques jours de retraite, de silence entre les cardinaux, et surtout une grande force dans la prière que tout le peuple catholique offrira pour ce moment », a-t-il souligné.

« On ne peut pas dire que ce sera untel ou untel, car l’Esprit Saint nous surprend toujours », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Salvador salue les réformes durables du pape François

Le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez a exprimé lundi son souhait de voir les réformes initiées par le pape François au sein de l’Église catholique devenir « irréversibles ».

Nommé cardinal par François en 2017, Rosa Chávez n’est pas éligible pour lui succéder en raison de son âge. Il a rappelé qu’au cours d’une rencontre avec les évêques salvadoriens, le pape leur avait affirmé : « Ces réformes sont irréversibles ».

« C’est ce que nous souhaitons, que ce soit le cas. Que ce qu’il nous a offert avec tant de courage, de clarté et d’espérance devienne réalité », a déclaré le cardinal sur les ondes de la radio locale YSKL.

Durant son pontificat, François a lancé des réformes importantes, notamment dans la gestion économique du Vatican, la lutte contre la pédocriminalité au sein de l’Église et l’écoute des victimes. Il a également permis une plus grande inclusion des femmes dans des postes de responsabilité. Sous son impulsion, l’Église a commencé à adopter un discours plus ouvert envers les personnes homosexuelles et les divorcés remariés.

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