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Amérique centrale

Le Panama nie être proche d’un accord autour de la plus grande mine de cuivre d’Amérique centrale

11 janvier | Par AFP |

Le Panama a démenti mardi être proche d’un accord avec First Quantum Minerals pour poursuivre l’exploitation de la plus grande mine de cuivre d’Amérique centrale, comme l’avait affirmé quelques heures plus tôt la société canadienne. 

« Il y a plus que +quelques+ désaccords en cours entre le Panama et Minera Panama (une filiale de First Quantum Minerals) », a fait savoir le gouvernement panaméen dans un communiqué. 

Cette réaction intervient après que le groupe canadien a annoncé, plus tôt mardi, que la société et le gouvernement étaient sur le point de conclure un accord pour éviter l’arrêt des opérations dans sa mine géante de cuivre.

« Je pense que nous ne sommes plus très loin » d’un accord, avait déclaré Tristan Pascall, directeur général de la l’entreprise lors d’un point sur les négociations avec des analystes.

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En outre, le groupe a précisé dans un communiqué qu’il était prêt à accepter, et en partie à dépasser, les objectifs que le gouvernement panaméen a exposés en janvier 2022 concernant les revenus, la protection de l’environnement et les normes de travail, a précisé le groupe dans un communiqué. 

Ces objectifs comprennent un minimum de 375 millions de dollars (349 millions d’euros) par an de revenus pour le gouvernement, est-il encore expliqué.

Cependant, le Panama a fait savoir que les opinions exprimées par M. Pascall « ne reflètent pas la réalité de la situation » car les parties « ne sont pas d’accord sur certaines questions fondamentales ».

La société minière « a présenté des propositions qui offrent plus d’avantages à l’entreprise dans des scénarios favorables, lorsque le prix du cuivre est élevé, et pas seulement des protections dans des scénarios défavorables, lorsque le prix du cuivre est bas », pointe le communiqué.

Mi-décembre, le président du Panama Laurentino Cortizo avait mis un coup de pression en ordonnant l’arrêt des opérations dans la mine. 

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Le Panama exige un nouvel accord qui multiplie par 10 les redevances versées à l’Etat par la multinationale canadienne par rapport au contrat précédent. 

La société canadienne contribue à hauteur de 75% des exportations et 4% du Produit intérieur brut (PIB) du Panama.

La mine, découverte en 1968, se trouve sur la côte de la mer des Caraïbes, à 240 km de la capitale. First Quantum Minerals a investi plus de 10 milliards de dollars comprenant des travaux de terrassement, la construction d’une centrale électrique, d’un port et de logements pour ses 7.200 employés ou encore l’achat d’équipements lourds.

Amérique centrale

Le ministre équatorien de l’Intérieur visite la méga-prison Cecot au Salvador

Le ministre de l’Intérieur de l’Équateur, John Reimberg, accompagné d’autres autorités gouvernementales du pays sud-américain, a visité le Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot), une méga-prison devenue symbole de la « guerre » contre les gangs au Salvador, selon un communiqué de la présidence salvadorienne publié ce mercredi.

Le responsable équatorien s’est rendu sur place mardi soir afin de « découvrir de première main le fonctionnement de ce centre de détention de haute sécurité », que le gouvernement salvadorien considère comme « une référence mondiale ».

Le rapport précise que la délégation équatorienne a pu observer les protocoles de sécurité à l’entrée, les salles d’audiences virtuelles, les systèmes de contrôle et les modules où sont détenus les prisonniers.

Par ailleurs, la présidence a affirmé que, malgré les protocoles stricts de sécurité, « les droits humains fondamentaux des détenus sont garantis ».

Le ministre Reimberg rejoint ainsi d’autres hauts responsables ayant visité le Cecot, comme le ministre de la Justice et de la Paix du Costa Rica, Gerald Campos Valverde, en avril dernier, ou encore la secrétaire à la Sécurité nationale des États-Unis, Kristi Noem.

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La délégation équatorienne a également tenu des réunions avec des autorités de la sécurité salvadorienne, notamment le ministre de la Justice, Gustavo Villatoro, pour discuter du Plan de Contrôle Territorial.

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Amérique centrale

Le cardinal Brenes écarte l’idée d’un pape centre-américain et mise sur la prière

Le cardinal nicaraguayen et archevêque de Managua, Leopoldo José Brenes Solórzano, a déclaré ce lundi qu’il préférait qu’un nouveau chef de l’Église catholique soit choisi « ailleurs », en remplacement du pape François récemment décédé, et qu’il se sentait « tranquille » au Nicaragua.

Interrogé par des journalistes à Managua sur la possibilité qu’un pape centre-américain soit élu parmi les deux cardinaux de la région qui participeront au conclave dans la chapelle Sixtine, Brenes a répondu :
« Non, mais mieux vaut chercher ailleurs, je suis tranquille ici au Nicaragua, je travaille avec notre peuple, je vis proche des gens et je suis bien installé dans le quartier d’Altagracia ».

Il a ensuite nuancé : « Il y a un dicton qui dit que tous les ‘papables’ qui entrent au conclave en sortent comme cardinaux ».

Brenes a également exhorté les fidèles à « avoir une grande confiance » quant au successeur de François, car « la décision n’est pas exclusivement humaine, il y a tout un climat de prière ».
« Avant le conclave, il y a quelques jours de retraite, de silence entre les cardinaux, et surtout une grande force dans la prière que tout le peuple catholique offrira pour ce moment », a-t-il souligné.

« On ne peut pas dire que ce sera untel ou untel, car l’Esprit Saint nous surprend toujours », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Salvador salue les réformes durables du pape François

Le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez a exprimé lundi son souhait de voir les réformes initiées par le pape François au sein de l’Église catholique devenir « irréversibles ».

Nommé cardinal par François en 2017, Rosa Chávez n’est pas éligible pour lui succéder en raison de son âge. Il a rappelé qu’au cours d’une rencontre avec les évêques salvadoriens, le pape leur avait affirmé : « Ces réformes sont irréversibles ».

« C’est ce que nous souhaitons, que ce soit le cas. Que ce qu’il nous a offert avec tant de courage, de clarté et d’espérance devienne réalité », a déclaré le cardinal sur les ondes de la radio locale YSKL.

Durant son pontificat, François a lancé des réformes importantes, notamment dans la gestion économique du Vatican, la lutte contre la pédocriminalité au sein de l’Église et l’écoute des victimes. Il a également permis une plus grande inclusion des femmes dans des postes de responsabilité. Sous son impulsion, l’Église a commencé à adopter un discours plus ouvert envers les personnes homosexuelles et les divorcés remariés.

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