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International

A Wall Street, les craintes de récession rongent les indices

| Par AFP |

La Bourse de New York, en petite forme après deux semaines de baisse, a terminé en repli lundi, les investisseurs ruminant les craintes d’une récession.

L’indice Dow Jones a reculé de 0,49 % à 32.757,54 points, le Nasdaq, à dominante technologique, a perdu 1,49 % à 10.546,03 points et le S&P 500, a lâché 0,90 % à 3.817,66 points, au plus bas depuis deux mois.

« Les actions n’ont pas pu se maintenir, ébranlées par les inquiétudes quant à la récession et alors que les rendements obligataires se tendent », a estimé Edward Moya d’Oanda.

La semaine dernière, les indices avaient déjà lâché 1,7 % pour le Dow Jones, 2,1 % pour le S&P 500 et 2,7 % pour le Nasdaq.

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« Le marché semble se focaliser sur la récession et techniquement, les indices boursiers sont à nouveau sur une tendance baissière. Le rebond de fin d’année est en voie d’évaporation à moins d’un rapide retournement », a prévenu Peter Cardillo de Spartan Capital à l’AFP.

Les rendements sur les bons du Trésor américain à dix ans grimpaient à 3,58 % vers 21H00 GMT contre 3,48 % vendredi.

Aucun indicateur n’était au programme lundi mais le menu de la semaine va se remplir avec plusieurs indicateurs immobiliers, puis vendredi avec les dépenses des consommateurs pour novembre et surtout l’indice d’inflation PCE, celui suivi en priorité par la Fed.

L’autre indice des prix à la consommation (CPI), paru la semaine dernière, s’est inscrit à 7,1 % sur un an en novembre, ralenti par rapport aux 7,7 % d’octobre mais trop élevé pour convaincre la banque centrale américaine (Fed) de faire une pause dans ses hausses de taux. 

La semaine dernière, la Fed, la Banque centrale européenne (BCE), la Banque d’Angleterre et la banque nationale suisse ont toutes relevé leurs taux directeurs d’un demi-point de pourcentage, augmentant les inquiétudes quant à une prochaine récession.

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A la cote, Tesla a évolué en dents de scie, bousculée par les turbulences autour des tweets de son fondateur et nouveau patron de Twitter, Elon Musk. Le titre, qui a connu jusqu’ici un sombre mois de décembre (-15 %), a terminé quasi à l’équilibre (-0,24 % à 149,87 dollars). Au cours du week-end, Elon Musk a demandé aux usagers de Twitter de se prononcer sur son poste à la tête du réseau. Une majorité ont souhaité qu’il en quitte la présidence. 

« L’action de Tesla a souffert de manière brutale depuis le début du feuilleton Twitter et la détérioration de la marque (ndlr: Tesla) liée à Musk est un vrai problème », a commenté Dan Ives, un spécialiste du secteur de la technologie chez Wedbush. 

La crainte de revenus publicitaires possiblement plus faibles s’il y a une récession a plombé les réseaux sociaux comme Meta (Facebook, -4,14 %), Alphabet (Google, -1,88 %), Pinterest (-2,54 %). 

Disney s’est délesté de 4,77 % à 85,78 dollars alors que son film « Avatar 2 » a été loin d’attirer autant de spectateurs que prévu aux Etats-Unis.

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International

Honduras : tensions électorales entre accusations de fraude et conspirations

Le Honduras se dirige vers la phase finale des élections générales du 30 novembre dans un climat de polarisation politique élevée, marqué par des accusations de fraude, la diffusion d’audios suggérant une possible manipulation des résultats et une défiance croissante envers les institutions électorales.

Le procureur général, Johel Zelaya, a publié la semaine dernière des enregistrements qui impliqueraient prétendument la conseillère du CNE, Cossette López, le député Tomás Zambrano et un militaire en activité, et a annoncé une enquête pour possible « association illicite » liée à une tentative de manipulation du processus.

López et Zambrano ont nié l’authenticité des audios, évoquant une manipulation numérique, et ont accusé le conseiller du CNE Marlon Ochoa, du parti au pouvoir Libre, d’avoir remis les enregistrements au bureau du procureur, qui les a rendus publics le 29 octobre.

L’ancien candidat présidentiel pour PINU-SD, Olban Valladares, a qualifié les accusations d’« infondées et en grande partie absurdes et maladroites ». Valladares a averti que la situation est « sombre » en raison de l’anxiété sociale, de ses répercussions économiques possibles et du « degré d’agitation et de violence » généré par des secteurs proches du gouvernement cherchant à « conserver le pouvoir à tout prix », constituant selon lui la « plus grande menace pour la démocratie » dans le pays.

Pour sa part, la présidente Xiomara Castro a qualifié les événements de « conspiration criminelle » visant à provoquer un coup électoral, ordonnant aux forces armées d’enquêter sur la possible implication de militaires et à son ministre des Affaires étrangères, Javier Bu, de dénoncer l’affaire auprès de la communauté internationale. Castro a assuré que les mêmes groupes qui ont « violé la Constitution lors du coup d’État de 2009 contre son mari Manuel Zelaya et commis les fraudes électorales de 2013 et 2017 » tenteraient à nouveau de « supplanter la volonté du peuple ».

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International

Le Mexique accueillerà le sommet de l’APEC en 2028

Le Mexique sera le pays hôte du sommet de l’APEC en 2028, ont annoncé à l’unanimité les dirigeants des 21 économies membres de ce forum.

« Nous avons obtenu le siège de 2028. Le Mexique accueillera l’APEC après de nombreuses années. Cela nous permettra de servir de pont entre les Amériques et l’Asie. L’ensemble du bassin Pacifique sera, en 2028, au Mexique », a déclaré le Secrétaire à l’Économie, Marcelo Ebrard, à l’issue de sa participation au forum de la Coopération Économique Asie-Pacifique (APEC) à Gyeongju, en République de Corée.

L’APEC rassemble 21 économies de cette région, représentant à elles seules plus de 60 % du PIB mondial et près de la moitié du commerce international. La présidence et l’organisation du sommet de 2028 par le Mexique figurent parmi les accords adoptés dans la Déclaration de Gyeongju, où Ebrard représentait la présidente Claudia Sheinbaum.

« Le fait que les membres aient voté pour que le Mexique accueille le sommet en 2028 démontre l’importance qu’ils accordent à notre pays », a ajouté Ebrard, selon un communiqué diffusé dimanche.

Par ailleurs, Ebrard a rencontré des hauts responsables américains, dont le Secrétaire au Commerce Howard Lutnick, le Secrétaire au Trésor Scott Bessent, ainsi que le représentant commercial Jamieson Greer.

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« Nous avons fait avancer certaines discussions avec les États-Unis. Chaque semaine, nous progressons et nous avons franchi de nouvelles étapes », a commenté Ebrard.

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Les États-Unis renforcent leur présence militaire dans les Caraïbes face au Venezuela

Les États-Unis ont renforcé leur déploiement militaire dans les eaux des Caraïbes et pourraient déjà planifier des frappes contre des objectifs au Venezuela, ce qui accroît les craintes d’une offensive de Washington contre le gouvernement de Nicolás Maduro, bien que Donald Trump ait nié cette possibilité aujourd’hui.

Selon des journalistes spécialisés dans la défense, les forces armées américaines ont déjà déployé le croiseur lance-missiles USS Gettysburg dans les Caraïbes, arrivé vendredi depuis Norfolk, en Virginie. Il s’ajouterait au croiseur lance-missiles USS Lake Erie, selon Dan Lamothe du Washington Post et le média spécialisé The War Zone, citant des sources de la Marine américaine.

De plus, dans quelques jours, le porte-avions USS Gerald Ford, le plus moderne et le plus important de la flotte américaine, devrait arriver dans les Caraïbes pour rejoindre le reste des forces navales stationnées au large du Venezuela.

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