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International

Google ambitionne de proposer ses services dans 1 000 langues

Photo: Revista Agenda

| Par AFP |

Google a annoncé mercredi vouloir construire un modèle d’intelligence artificielle permettant à terme de proposer ses services sur internet dans les 1 000 langues les plus parlées au monde.

« Imaginez un nouvel internaute en Afrique qui parle le wolof (…) et qui utilise son téléphone pour demander où est la pharmacie la plus proche ou sur quelle chaîne passe le match de foot de la coupe d’Afrique », a expliqué Johan Schalkwyk, chercheur chez Google. 

« Ce sont des situations qu’on prend pour acquises. Mais elles sont loin d’être accessibles à tous dans le monde », a-t-il ajouté lors d’une présentation aux journalistes sur les dernières innovations du groupe en matière d’intelligence artificielle. 

Il y a plus de 7 000 langues dans le monde, mais Google ne propose par exemple son outil de traduction que pour un peu plus de 130 d’entre elles. 

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L’entreprise californienne mise sur les avancées technologiques pour construire son nouveau modèle d’intelligence artificielle, comme la possibilité de travailler non plus seulement à partir de textes disponibles sur internet, mais aussi à partir de vidéos, d’images et de paroles. 

Le groupe cherche aussi à collecter un large éventail d’extraits audio auprès des diverses communautés, notamment pour les langues dont il n’existe pas forcément beaucoup d’écrits.

Au fur et à mesure du projet, qui prendra plusieurs années, Google prévoit d’intégrer ses progrès dans ses produits, dont YouTube, ses claviers numériques et son outil de traduction, afin de faciliter l’utilisation des services disponibles en ligne dans la langue maternelle des internautes et de leur permettre de trouver les contenus pertinents.

Parmi les autres avancées permises par l’intelligence artificielle, Google a par ailleurs développé des outils permettant, à partir d’images satellites, d’identifier et de suivre en temps réels les feux de forêts. 

L’entreprise rend ensuite ces informations disponibles sur Google Map et sur son moteur de recherche, aidant ainsi à prévenir les populations du danger et les secours à prédire comment les feux peuvent évoluer et s’étendre. 

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Ce service est désormais disponible aux États-Unis, au Canada, au Mexique et dans certaines zones en Australie.

Cette initiative s’ajoute à un projet lancé en 2017 pour aider à prévenir les populations de potentielles inondations, qui a permis l’an dernier d’envoyer 155 millions de notifications à 23 millions de personnes en Inde et au Bangladesh. 

Google a annoncé mercredi que ce service était étendu à 18 pays supplémentaires, en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique. 

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MARN1

International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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