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International

Disparition de 43 étudiants mexicains: le président Obrador défend l’enquête de son gouvernement

| Par AFP |

Le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a défendu mardi l’enquête de son gouvernement sur la disparition de 43 étudiants mexicains en 2014 face aux allégations d’incohérences formulées par un groupe d’experts indépendants. 

« Nous avons tous les éléments pour alimenter l’enquête, nous allons la continuer (…) et justice sera rendue », a déclaré le président lors d’une conférence de presse.

Les incohérences signalées par les experts portent sur les messages WhatsApp qu’une commission gouvernementale a présentés en août comme des preuves d’une collusion entre les auteurs présumés du massacre, membres d’un cartel, et les autorités locales lors de la disparition d’étudiants d’une école normale d’Ayotzinapa (Etat de Guerrero, sud), en septembre 2014.

Le Groupe interdisciplinaire d’experts indépendants (GIEI), organe créé en 2015 par un accord entre le gouvernement mexicain et la Commission interaméricaine des droits de l’Homme (CIDH) pour traiter cette affaire, a fait valoir lundi qu’il est impossible de garantir l’authenticité de ces messages. 

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M. Lopez Obrador a défendu le travail du sous-secrétaire aux droits de l’Homme, Alejandro Encinas, qui dirige la commission gouvernementale sur Ayotzinapa et qui, dans une récente interview au New York Times, a admis « qu’un pourcentage significatif de messages » ne pouvait être vérifié.

« Nous avons toute confiance en Alejandro Encinas. C’est un homme intègre, droit, incapable de falsifier des informations », a assuré le président. 

Les étudiants ont disparu dans la nuit du 26 au 27 septembre 2014, alors qu’ils tentaient de monter dans des bus à Iguala (Guerrero, sud) pour se rendre à Mexico afin de participer à des manifestations.

Ils ont été arrêtés par des policiers en collusion avec des trafiquants de drogue du cartel des Guerreros Unidos, qui les auraient pris pour des membres d’une bande rivale et les auraient exécutés, selon la version officielle de l’époque. Jusqu’à présent, seuls les restes de trois victimes ont pu être identifiés. 

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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International

Texas : des migrants vénézuéliens détenus forment un SOS visible par drone

Les détenus du centre de rétention pour migrants de Bluebonnet, situé dans la petite ville d’Anson au Texas, ont adressé cette semaine un message d’alerte au monde extérieur : SOS.

Le lundi, 31 hommes ont formé ces lettres dans la cour poussiéreuse du centre alors qu’un drone de l’agence Reuters survolait la zone.

Dix jours auparavant, des dizaines de Vénézuéliens incarcérés dans ce centre avaient reçu des avis des autorités migratoires les accusant d’être membres du gang Tren de Aragua, les rendant ainsi passibles d’expulsion selon une loi d’époque de guerre, d’après des documents montrés à Reuters, des appels vidéo enregistrés et des procédures judiciaires en cours.

Les familles de sept détenus interrogées par Reuters ont affirmé qu’ils ne faisaient pas partie du gang et qu’ils avaient refusé de signer ces documents. Malgré cela, le vendredi 18 avril, ils ont été embarqués dans un bus en direction de l’aéroport régional d’Abilene, selon l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) et leurs proches, avant d’être ramenés au centre de détention.

Le soir même, la Cour suprême a suspendu temporairement les expulsions. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) n’a pas souhaité commenter cette décision.

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Il s’agit d’un sursis pour le groupe de Vénézuéliens détenus à Bluebonnet, qui risquent toujours — si la Cour suprême lève le blocage — d’être envoyés au CECOT, la tristement célèbre prison de haute sécurité au Salvador, où l’administration de l’ex-président Donald Trump aurait déjà transféré au moins 137 Vénézuéliens sous l’égide de la Loi sur les ennemis étrangers de 1798.

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