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International

Brésil: deux cas de violence par jour durant la campagne électorale (rapport)

Photo: Ivan Pacheco / AFP

AFP

Le Brésil a enregistré près de deux épisodes de violence politique par jour en moyenne durant les deux mois précédant le premier tour de la présidentielle le 2 octobre, selon un rapport d’ONG publié mardi.

Au total, 121 cas ont été recensés du 1er août au 2 octobre: meurtres, attentats, menaces ou agressions (physiques ou verbales).

Le rapport, élaboré par les ONG Justiça Global et Terra de direitos, prend en compte les violences contre des élus, des candidats ou d’autres personnes exerçant des fonctions liées à la politique. 

Par ailleurs, depuis le début 2022, le nombre d’épisodes violents a été multiplié par cinq par rapport à 2018, année de la précédente présidentielle.

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Le rapport a relevé 247 cas cette année, dont huit meurtres, 23 attentats, 85 menaces et 59 agressions physiques.

« Nous avons constaté davantage d’attaques visant des partis de gauche ou centre gauche, ou des élus engagés dans la défense des droits humains, de la communauté LGBTQIA+ ou dans la lutte antiraciste », explique Glaucia Marinho, de l’ONG Justiça Global, citée dans un communiqué.

L’ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva est le favori du second tour de la présidentielle, le 30 octobre, face au chef de l’Etat sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro.

Lors de cette campagne sous haute tension, les deux candidats portent des gilets pare-balle pour leurs apparitions publiques.

Cette année, plusieurs meurtres ont été perpétrés lors de disputes entre individus aux opinions politiques divergentes. 

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En juillet, un bolsonariste a tué par balles le trésorier d’une section locale du PT dans le Parana (sud) qui organisait une fête d’anniversaire avec des décorations sur le thème de Lula. 

Il y a un mois, une autre « querelle à teneur politique » s’est soldée par le meurtre d’un autre sympathisant de gauche à coups de hache, dans le Mato Grosso (centre-ouest).

Le 4 octobre, deux jours après le premier tour, un électricien qui avait voté Lula a tué son colocataire bolsonariste à coups de couteau, près de Sao Paulo (sud-est).

Il y a quatre ans, Jair Bolsonaro avait été victime d’un attentat à l’arme blanche lors d’un bain de foule en pleine campagne électorale, à moins d’un mois du premier tour de la présidentielle.

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  • Miembros de la Policía realizan un operativo policíal contra una banda de narcotraficantes, el 6 de mayo del 2021, en un favela de Río de Janeiro (Brasil). EFE/ André Coelho

  • (FILES) In this file photo taken on September 7, 2022, a supporter of Brazilian President Jair Bolsonaro walks by police officers during celebrations to mark Brazil's 200th anniversary of independence, at Copacabana Beach in Rio de Janeiro, Brazil. - Brazil was hit by almost two episodes of political violence a day on average during the two months preceding the first round of presidential elections, according to an NGO report published on Tuesday October 11, 2022. (Photo by Ivan PACHECO / AFP)

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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

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Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

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International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

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