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International

Argentine: une bactérie de légionelle à l’origine des pneumonies qui ont fait 4 morts

Foto tomada de la web

AFP

Une bactérie de légionelle est à l’origine de pneumonies qui ont fait quatre morts en moins d’une semaine à Tucuman (nord-ouest de l’Argentine), et qui intriguaient la communauté médicale, a annoncé samedi la ministre de la Santé Carla Vizzotti.

L’agent qui a causé le foyer de pneumonies bilatérales « est la légionelle », a déclaré la ministre en conférence de presse à Tucuman, ajoutant que le type précis de légionelle est en cours de qualification. 

Quatre personnes sont mortes depuis lundi, et onze cas au total ont été recensés, centrés autour d’une clinique privée à San Miguel de Tucuman, (dit Tucuman) capitale de la province de Tucuman.

Samedi matin les autorités de Santé de la province avaient annoncé un 4e décès depuis lundi, un homme de 48 ans, présentant des comorbidités.

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Avant lui, deux membres du personnel soignant de la clinique privée étaient décédés, puis une femme de 70 ans, patiente dans cette même clinique où elle avait subi des interventions chirurgicales.

Au total, onze personnes ont présenté des symptômes similaires, et sept sont encore sous traitement, selon le ministère provincial. Sur les dix cas initiaux, huit étaient des membres du personnel de santé cette clinique.

Des examens initiaux avaient écarté des causes Covid, grippe, influenza de type A et B, et hantavirus (transmis par les rongeurs) pour ces pneumonies, suscitant interrogations, et des échantillons avaient été transmis à l’Institut Malbran de Buenos Aires, référence nationale en matière de maladies infectieuses, dont la ministre a livré les premiers résultats.

« Le nom de la bactérie est en train d’être typifié, mais il est possible qu’il s’agisse de (Legionella) pneumophila », a précisé Mme Vizzotti.

« Il n’a jamais été question d’un +virus inconnu+, mais plutôt que nous avions une pneumonie bilatérale d’origine inconnue », a-t-elle souligné.

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Eau ou climatisation dans le viseur

Le ministre provincial de la Santé Luis Medina Ruiz avait avancé mercredi l’hypothèse d’un agent infectieux, mais précisé que n’étaient pas exclues « des causes toxiques, ou environnementales ». Il avait annoncé notamment des analyses en cours sur l’eau et le système de climatisation de la clinique.

« Des mesures sont en cours dans la clinique pour identifier s’il (l’agent bactérien) est dans l’eau, et sur le réservoir accumulateur », afin de pouvoir « de nouveau utiliser la clinique sans aucun risque », a encore indiqué Mme Vizzotti samedi.

La légionellose est une infection pulmonaire grave d’origine bactérienne, dont la contamination peut se faire par voie respiratoire par inhalation de la bactérie, « à travers de l’eau ou de l’air conditionné », a rappelé la ministre.

Le président du Collège médical de la province de Tucuman, Hector Sale, avait souligné cette semaine que la pathologie observée à Tucuman était « agressive », mais qu’il ne s’agissait a priori pas d’une maladie entraînant de transmission de personne à personne, « du fait que les contacts étroits de ces patients ne présentent aucun symptôme ».

Des sept autres patients recensés de cette pneumonie, « quatre demeurent hospitalisés, dont trois sous assistance respiratoire, et trois sont sous surveillance à domicile, avec des symptômes cliniques moins compliqués », a précisé samedi M. Medina Ruiz.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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