Connect with us

International

La nouvelle fusée de la Nasa en place pour son décollage vers la Lune dans 12 jours

AFP

Le grand jour approche pour la Nasa: la nouvelle fusée géante américaine SLS est arrivée mercredi matin sur son aire de lancement, à Cap Canaveral en Floride, avant son décollage vers la Lune prévu dans douze jours.

Cette mission marquera le tout premier vol du grand programme américain de retour sur la Lune, baptisé Artémis. 

Artémis 1 se fera sans astronautes à bord, car son but est de tester la fusée et la capsule à son sommet afin de s’assurer qu’elles pourront bien transporter un équipage en toute sécurité vers la Lune, dès 2024. 

La fusée, appelée SLS (pour Space Launch System), est en développement depuis plus d’une décennie et deviendra lorsqu’elle aura décollé la plus puissante du monde. Elle mesure 98 mètres de haut.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
previous arrow
next arrow

Elle a été installée sur le légendaire complexe de tir 39B après un trajet de 10 heures durant la nuit, depuis le bâtiment d’assemblage.

« A nous tous qui levons le nez vers la Lune, en rêvant du jour où l’humanité retournera sur la surface lunaire, les amis, nous y sommes, nous y retournons », a déclaré au début du mois Bill Nelson, le patron de la Nasa, lors d’une conférence de presse. 

La capsule Orion va être propulsée jusqu’à la Lune, et même 64.000 km au-delà, s’aventurant plus loin que tout autre vaisseau spatial habitable avant elle.

A son retour dans l’atmosphère terrestre, le bouclier thermique devra supporter une vitesse de près de 40.000 km/h et une température moitié aussi chaude que la surface du Soleil. 

Le décollage doit avoir lieu le 29 août à 08H33 heure locale. Si la météo n’est pas coopérative, les dates de repli sont le 2 ou 5 septembre. 

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
previous arrow
next arrow

La mission doit durer 42 jours au total, jusqu’à un retour dans l’océan Pacifique, où le vaisseau sera récupéré grâce à un bateau de la marine américaine.

En 2024, la mission Artémis 2 emportera des astronautes jusqu’en orbite autour de la Lune, sans y atterrir. Cet honneur sera réservé à l’équipage d’Artémis 3, mission prévue au plus tôt en 2025.

La dernière fois que des hommes se sont rendus sur la Lune remonte à Apollo 17, en 1972.

Alors que le programme Apollo n’avait permis qu’à des hommes blancs de marcher sur la Lune, le programme Artémis compte lui y envoyer la première femme et la première personne de couleur.

Le but est de faire de la Lune une base arrière où seront développées les technologies nécessaires pour envoyer des humains sur Mars.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250

International

Les États-Unis suspendent la loterie des visas après une affaire de triple meurtre

Les États-Unis ont annoncé vendredi la suspension de l’un de leurs programmes de visas pour migrants, par lequel était entré sur le territoire un ressortissant portugais soupçonné du meurtre de deux étudiants de l’université Brown et d’un professeur du MIT.

« Claudio Manuel Neves-Valente est entré aux États-Unis en 2017 par le biais du programme de loterie des visas de diversité (DV1) et a obtenu une carte de résident permanent (“green card”) », a indiqué sur les réseaux sociaux la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem.

« Conformément aux instructions du président Trump, j’ordonne immédiatement à l’USCIS [Service de la citoyenneté et de l’immigration] de suspendre le programme DV1 afin de garantir qu’aucun autre Américain ne soit lésé par ce programme désastreux », a-t-elle ajouté.

Ce système de loterie migratoire, officiellement appelé Programme de visas de diversité, a été instauré en 1990 et permet chaque année l’octroi d’environ 50 000 permis de résidence à des personnes remplissant les critères d’éligibilité.

Continue Reading

International

Attaque de tueurs à gages au Pérou : une élue locale morte et sept mineurs blessés

Une conseillère municipale a été tuée et sept mineurs ont été blessés jeudi lors d’une attaque menée par des tueurs à gages liés au crime organisé dans le nord du Pérou, pendant une célébration de Noël, ont indiqué les autorités.

« Ces regrettables faits de violence armée ont fait sept mineurs blessés et ont coûté la vie à la conseillère municipale Elena Rojas », a indiqué le Centre régional des opérations d’urgence de La Libertad dans un communiqué.

« Nous condamnons de manière ferme et catégorique ces actes criminels qui endeuillent notre région et portent atteinte à la coexistence pacifique et à la sécurité de la population », a ajouté l’organisme.

De son côté, le ministère de l’Intérieur a affirmé dans un communiqué avoir « déployé l’ensemble de ses capacités opérationnelles et de renseignement afin de localiser et d’arrêter les criminels armés responsables de la fusillade au cours de laquelle la conseillère a perdu la vie ».

Continue Reading

International

Trump affirme que le Venezuela a retiré illégalement les droits pétroliers des États-Unis

Le président des États-Unis, Donald Trump, a affirmé ce mercredi que le Venezuela avait retiré illégalement aux entreprises américaines leurs droits pétroliers et qu’il entendait les récupérer.

« Rappelez-vous qu’ils nous ont retiré tous nos droits énergétiques. Ils nous ont pris tout notre pétrole il n’y a pas si longtemps. Nous le voulons de retour. Ils nous l’ont pris illégalement », a déclaré le président à la presse depuis la base aérienne d’Andrews, près de Washington.

« Nous le voulons de retour. Ils nous ont retiré nos droits pétroliers. Pourtant, comme vous le savez, il y a énormément de pétrole là-bas. Ils ont expulsé nos entreprises et nous voulons récupérer ces droits », a-t-il insisté.

Ces déclarations interviennent au lendemain de l’annonce par Donald Trump d’un blocage total de l’entrée et de la sortie du Venezuela pour les navires pétroliers sanctionnés par le gouvernement américain.

Le président a ainsi renforcé la pression sur le Venezuela, un pays fortement dépendant du secteur pétrolier, après la saisie, la semaine dernière, d’un navire ayant quitté le pays sud-américain et la confiscation de la cargaison de brut qu’il transportait.

Advertisement

20250501_mh_noexigencia_dui_728x90

previous arrow
next arrow

L’industrie pétrolière vénézuélienne a été nationalisée le 1er janvier 1976, sous la première présidence de Carlos Andrés Pérez, réservant les droits d’exploration et d’exploitation des gisements à l’entreprise publique Petróleos de Venezuela (PDVSA).

En 2007, le président de l’époque, Hugo Chávez, a modifié le cadre juridique du secteur afin de contraindre les multinationales à devenir des partenaires minoritaires de PDVSA ou à quitter le pays.

Continue Reading

Trending

News Central