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International

Sanctions : la Russie souhaite poursuivre la coopération dans le cadre de l’Opep+ AFP

La Russie, frappée par un embargo sur son pétrole décidé par l’Union européenne, souhaite poursuivre la coopération dans le cadre de l’accord Opep+, a assuré mercredi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, à l’issue de consultations en Arabie saoudite.

Les dirigeants de l’Union européenne ont trouvé un accord lundi qui devrait permettre de réduire drastiquement leurs importations de pétrole russe d’ici la fin de l’année, dans le cadre d’un sixième paquet de sanctions contre Moscou.

Bruxelles espère ainsi priver la Russie d’une importante source de revenus pour financer son offensive en Ukraine.

Lors de discussions avec les chefs de la diplomatie des pays du Golfe à Ryad, « nous avons évoqué ce sujet, mais uniquement dans le contexte de confirmation des accords sur la coopération de l’Opep+ qui ont déjà été trouvés et confirmés à plusieurs reprises par nos dirigeants », a déclaré M. Lavrov, lors d’une conférence de presse à Ryad.

« Les principes de coopération sur cette base sont toujours d’importance et d’actualité », a-t-il souligné.

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Selon un article du Wall Street Journal publié mardi, les membres de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) étudient la possibilité de soustraire la Russie du plan de production décidé en juillet dernier avec leurs alliés de l’accord Opep+.

Ceci permettrait ainsi aux quelques pays encore en mesure de relever sensiblement leur production, en premier lieu l’Arabie saoudite, de monter en régime.

L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, profite actuellement de la flambée des prix de l’or noir depuis le déclenchement le 24 février de l’offensive militaire russe en Ukraine.

La Russie a jusqu’à présent toujours relativisé la portée des sanctions économiques prises depuis le début de l’intervention en Ukraine par les pays occidentaux, Moscou pouvant encore compter sur sa manne gazière, dont les Européens restent dépendants.

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MARN1

International

Cuba accueille 89 migrants expulsés par les États-Unis

Cuba a accueilli ce mercredi 89 migrants irréguliers expulsés par les États-Unis, dans le cadre de la sixième opération de ce type depuis le début du second mandat du président américain Donald Trump, entamé le 20 janvier dernier.

Le groupe – composé de 76 hommes, 12 femmes et un mineur – est arrivé par voie aérienne à La Havane. Cette opération s’inscrit « dans le cadre des accords migratoires bilatéraux » signés entre les gouvernements de La Havane et de Washington, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur (Minint) diffusé dans les médias officiels cubains.

L’une des personnes rapatriées a été remise aux autorités judiciaires, car elle se trouvait en liberté conditionnelle au moment de sa sortie illégale du pays, précise la note.

Avec cette nouvelle opération, ce sont désormais 20 rapatriements collectifs qui ont été effectués depuis différents pays de la région en 2025, pour un total de 676 personnes renvoyées à Cuba.

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International

Colombie : la justice suspend le décret de Petro sur une consultation populaire

Le Conseil d’État de Colombie a suspendu mercredi un décret du président Gustavo Petro qui visait à convoquer une consultation populaire pour réformer la législation du travail, arguant que cette mesure n’avait pas reçu l’autorisation préalable du Sénat.

Surnommée le « décrétazo » par l’opposition, cette initiative présidentielle a suscité de vives tensions politiques avec le Congrès. Plusieurs parlementaires l’ont qualifiée de tentative de coup d’État et de remise en cause directe de la séparation des pouvoirs.

« L’avis favorable du Sénat de la République est requis, ce qui, en l’espèce, fait défaut », a indiqué la décision du Conseil d’État, instance judiciaire compétente pour résoudre les conflits entre les citoyens et l’État.

Ironie du calendrier, le Sénat avait approuvé mardi une réforme du travail visant à améliorer les conditions des travailleurs, alors même que le président Petro s’apprêtait à consulter la population par voie de référendum pour faire adopter son projet.

Petro a déclaré qu’il pourrait retirer sa convocation à la consultation populaire si le texte adopté par le Sénat, après un processus de conciliation avec la Chambre des représentants, répondait effectivement aux attentes des travailleurs.

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International

Une taxe américaine sur les remises pourrait priver le Mexique de 2,25 milliards de dollars, selon l’IMCP

L’Institut mexicain des comptables publics (IMCP) a déclaré ce mercredi que l’impôt de 3,5 % sur les envois de fonds proposé par les États-Unis pourrait entraîner une baisse de jusqu’à 2,25 milliards de dollars des transferts vers le Mexique, en plus de favoriser l’émergence d’un « marché noir ».

« Nous estimons que l’impact total de cette taxe pourrait représenter 2,25 milliards de dollars qui ne parviendraient plus au Mexique », a expliqué Ernesto O’Farrill, président de la Commission d’analyse économique de l’IMCP, une estimation proche de celle de BBVA, qui prévoit une diminution pouvant aller jusqu’à 2 milliards de dollars d’ici 2025.

Lors de la réunion mensuelle de l’institut, le vice-président fiscal de l’IMCP, Rolando Silva Briceño, a souligné que « sur la base des données macroéconomiques, le déficit budgétaire pourrait même augmenter d’un point si aucune mesure adéquate n’est prise ».

Outre la baisse des envois — qui mettrait fin au record atteint en 2024 de 64,745 milliards de dollars — l’IMCP alerte également sur une probable migration vers des circuits informels de transfert d’argent, similaires à ceux utilisés par le passé, afin d’éviter la taxe.

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