Connect with us

International

Haïti: libération du reste des otages Nord-Américains enlevés mi-octobre par un gang (police)

AFP

Les 12 membres du groupe de 17 missionnaires nord-américains et leurs proches encore captifs du gang qui les avait enlevés mi-octobre en Haïti, ont été libérés, a annoncé jeudi à l’AFP le porte-parole de la police nationale.

« Nous confirmons la libération des 12 personnes qui restaient » otages, a indiqué par téléphone Gary Desrosiers, sans pouvoir « donner plus de détails pour le moment ». 

Cinq membres du groupe, composé de citoyens américains et d’un citoyen canadien, avaient été libérés précédemment par le gang, deux en novembre et trois début décembre.

« Nous glorifions Dieu pour la prière exaucée: les douze otages restants sont LIBRES! », a réagi Christian Aid Ministries, l’organisation religieuse à laquelle ils appartiennent. 

Advertisement
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

« Merci pour vos prières ferventes au cours des deux derniers mois. Nous espérons fournir plus d’informations dès que nous le pourrons », a annoncé, sur son site internet, l’organisation basée dans l’état américain de l’Ohio.

Le 16 octobre, le groupe avait été enlevé après la visite d’un orphelinat, à l’ouest de la capitale Port-au-Prince, au cœur d’une zone sous l’emprise d’un des principaux gangs d’Haïti.

A la suite de leur rapt, Christian Aid Ministries avait indiqué que le groupe comptait 12 adultes, dont l’âge est compris entre 18 et 48 ans, et cinq enfants âgés de 8 mois, 3, 6, 13 et 15 ans.

Les membres du gang « 400 mawozo », qui avait enlevé ces 17 personnes, avaient réclamé un million de dollars par personne gardée captive, selon les informations recueillies par l’AFP.

Dans une vidéo publiée fin octobre sur les réseaux sociaux, le chef de cette bande armée avait menacé d’exécuter les otages.

Advertisement
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Quelques jours plus tard, la police haïtienne avait annoncé « avoir reçu des preuves de vie de tous les otages ». 

Haïti est classé comme pays en zone rouge par les Etats-Unis qui déconseillent à leurs ressortissants de s’y rendre, notamment en raison des nombreux enlèvements dont « les victimes incluent régulièrement des citoyens américains ».

En avril, dix personnes dont deux religieux français avaient été séquestrées 20 jours par ce gang dans la même région.

Continue Reading
Advertisement
20250701_vacunacion-influenza-300x250
20250701_vacunacion_vph-300x250
20250701_dengue_300x250_01
20250701_dengue_300x250_02
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Ovidio Guzmán, fils d’« El Chapo », plaide coupable pour trafic de drogue aux États-Unis

Ovidio Guzmán, l’un des fils du cofondateur du cartel de Sinaloa, Joaquín « El Chapo » Guzmán, devrait officialiser ce vendredi devant la justice sa déclaration de culpabilité pour trafic de drogue, en échange d’informations précieuses fournies au parquet, dans l’espoir d’obtenir une peine réduite.

Surnommé « El Ratón », Guzmán a signé de sa propre main, le 30 juin dernier, un document exprimant son « souhait de plaider coupable », ce qui lui évitera de comparaître lors d’un procès.

Après plusieurs mois de négociations avec les procureurs, cette déclaration devrait être entérinée lors d’une audience prévue ce vendredi devant un tribunal de Chicago. Âgé de 35 ans, Guzmán est accusé de participation à une entreprise criminelle continue, d’importation et de distribution de fentanyl, de blanchiment d’argent et d’utilisation d’armes à feu.

Sa reconnaissance de culpabilité devrait sans doute lui permettre d’échapper à la réclusion à perpétuité que purge actuellement son père aux États-Unis, condamné en 2018 à l’issue d’un procès très médiatisé.

Continue Reading

International

Haïti : plus de 3 000 morts en six mois, les gangs étendent leur emprise

« Entre le 1er janvier et le 30 juin, au moins 3 141 personnes ont été assassinées en Haïti », a déclaré Ravina Shamdasani, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, lors de la présentation d’un rapport à Genève.

Le rapport retrace l’évolution des violences liées aux gangs depuis octobre. Il montre une nette intensification des actes violents au cours des derniers mois, notamment dans les départements du Bas-Artibonite et du Centre, tandis que les gangs continuent d’étendre leur emprise le long des routes stratégiques du nord et du centre du pays, ainsi qu’en direction de la République dominicaine.

« Pris au piège dans cette histoire d’horreur sans fin, le peuple haïtien est à la merci de la violence brutale des gangs, exposé à des violations des droits humains de la part des forces de sécurité et à des abus commis par des groupes dits d’‘autodéfense’ », a dénoncé le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, dans un communiqué.

Entre le 1er octobre 2024 et le 30 juin 2025, au moins 1 018 personnes ont été tuées, 213 blessées et 620 enlevées dans les départements de l’Artibonite, du Centre, ainsi qu’à Ganthier et Fonds-Parisien, à l’ouest de la zone métropolitaine de Port-au-Prince.

Sur cette même période, le nombre total d’homicides à l’échelle nationale s’élève à 4 864, dont au moins 3 141 sur les six premiers mois de 2025.

Advertisement

20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Le rapport souligne que l’expansion territoriale des gangs représente un risque majeur de propagation de la violence et d’intensification du trafic transnational d’armes et de personnes, « ce qui pourrait entraîner une déstabilisation significative des pays de la sous-région caribéenne ».

Continue Reading

International

Un juge bloque le décret de Trump visant à supprimer le droit du sol aux États-Unis

Un juge fédéral a suspendu hier, à l’échelle nationale, l’application du décret du président Donald Trump visant à mettre fin au droit du sol aux États-Unis. Cette décision intervient quelques jours après l’arrêt historique rendu par la Cour suprême le 27 juin, lequel limite la capacité des juges à bloquer des politiques à l’échelle nationale à partir de cas particuliers via des injonctions générales.

Ainsi, la Cour suprême a ouvert la voie à la mise en œuvre des projets de Trump — qui cherche à restreindre l’octroi automatique de la citoyenneté aux enfants de migrants en situation irrégulière ou sous statut temporaire, tel que l’asile ou un visa — dans certaines parties du pays.

Cependant, elle n’a pas déclaré que cette politique soit légale ou conforme à la Constitution. De plus, la Cour a suspendu l’entrée en vigueur du décret pendant 30 jours, soit jusqu’au 27 juillet, tout en laissant la possibilité d’intenter des actions collectives.

Les organisations de défense des droits des migrants ont saisi l’occasion pour continuer à contester le décret, et ont sollicité la certification d’actions collectives dans certaines procédures. Hier, le juge fédéral Joseph Laplante, du New Hampshire, a donné son accord, leur permettant ainsi de représenter tout bébé dont le droit à la citoyenneté pourrait être menacé par le décret Trump.

« Le tribunal accorde la demande de certification provisoire d’une action collective, car elle remplit les conditions requises », précise la décision.

Advertisement

20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

La résolution s’applique aux enfants nés à partir du 20 février 2025, dont les mères se trouvent aux États-Unis en situation irrégulière ou légale, mais avec un visa temporaire, et dont les deux parents ne sont ni citoyens américains ni résidents permanents.

Le juge Laplante a insisté sur le fait qu’il s’agit d’une mesure préliminaire et a accordé un délai de sept jours au gouvernement pour faire appel.

Continue Reading

Trending

News Central