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International

L’Italie refuse d’extrader un opposant vénézuélien (avocat)

AFP

L’Italie a refusé d’extrader l’opposant vénézuélien Rafael Ramirez, ex-ministre et ex-patron de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, accusé dans son pays de corruption, a déclaré mardi son avocat.

Alors que le parquet avait donné il y a deux mois un avis favorable, « la cour d’appel (italienne) a rejeté la demande d’extradition » faite en 2020 par le Venezuela, a déclaré à l’AFP Roberto De Vita, l’avocat de M. Ramirez.

En outre, la cour « a reconnu que personne ne pouvait être extradé vers ce pays d’Amérique du Sud parce qu’il viole les droits de l’Homme », a-t-il affirmé.

Considéré autrefois comme un possible héritier du président Hugo Chavez, M. Ramirez est accusé par le pouvoir vénézuélien actuel de « détournement de fonds, blanchiment d’argent et association de malfaiteurs ». 

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Ex-chef de la diplomatie et ex-ministre de l’Energie, qui a aussi dirigé la compagnie pétrolière nationale de 2004 à 2014, M. Ramirez avait démissionné en décembre 2017 de son poste d’ambassadeur du Venezuela auprès des Nations unies.

Sa démission faisait suite à « une critique ouverte de la politique économique et sociale » du gouvernement de Nicolas Maduro et des « violations des droits de l’Homme commises systématiquement par le gouvernement vénézuélien », selon un communiqué de son cabinet d’avocats italiens.

M. Ramirez « accusait » alors « le gouvernement actuel d’avoir détruit l’économie du pays et d’avoir transformé le Venezuela en dictature sanguinaire ».

Selon ses avocats, l’extradition ferait courir un « risque pour la liberté et même pour la vie » de M. Ramirez, qui a une épouse italienne.

De son côté, le procureur général du Venezuela, Tarek William Saab, avait déclaré en 2018 que M. Ramirez était « l’un des principaux corrompus, (responsable) de la faillite due à la corruption » de la compagnie pétrolière PDVSA.

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MARN1

International

Maduro accuse l’opposition d’être responsable du sort d’une fillette séparée de sa mère aux États-Unis

Le président vénézuélien Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat à la suite de sa réélection controversée, a tenu pour responsables plusieurs opposants, dont María Corina Machado, de tout ce qui pourrait arriver à une fillette de deux ans que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement depuis les États-Unis.

« Je tiens publiquement responsables Mme María Machado, Leopoldo López, Carlos Paparoni, Carlos Vecchio et Juan Guaidó de ce qui pourrait arriver à la petite Maikelys Espinoza, en raison de la séparation qu’elle subit », a déclaré Maduro lors d’un défilé à Caracas pour la Journée internationale des travailleurs, auquel ont assisté la mère et la grand-mère de l’enfant, Yorely Bernal et Raida Inciarte.

Le chef de l’État a accusé ce groupe d’opposants d’être responsable des sanctions, du blocus, des trafiquants (« coyotes ») qui ont détourné des milliards de dollars, ainsi que de la persécution des migrants vénézuéliens aux États-Unis.

La manifestation a parcouru plusieurs avenues de la capitale, avec la participation de travailleurs de divers ministères et entreprises publiques, brandissant des pancartes demandant la « libération » de la fillette. Sur la scène, aux côtés de Maduro, se trouvaient également des proches de plus de 200 migrants vénézuéliens récemment expulsés des États-Unis vers une prison de haute sécurité au Salvador, accusés d’appartenir au groupe criminel transnational Tren de Aragua, né dans une prison vénézuélienne.

Maduro a appelé ses partisans à prier Dieu pour avoir la sagesse et l’intelligence nécessaires afin que la fillette puisse bientôt retourner dans les bras de sa mère au Venezuela, ainsi que les 252 migrants détenus au Salvador.

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« La justice triomphera plus tôt que prévu, et nos jeunes reviendront libres, sains et saufs », a-t-il déclaré.

Le président a également défendu les migrants vénézuéliens, les qualifiant de personnes nobles, honnêtes et travailleuses qui ont contribué au développement des pays où ils se sont installés.

Mardi, le procureur général Tarek William Saab a annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il a qualifié d’« enlèvement brutal » de la fillette par les autorités américaines.

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

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