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International

Caracas: la police occupe les quartiers après des combats avec les gangs

AFP

Les forces de sécurité vénézuéliennes ont pénétré vendredi les quatre « Barrios », quartiers populaires contrôlés par des gangs, après deux jours de combats engagés mercredi, a constaté un journaliste de l’AFP. 

« Nous contrôlons la zone mais il peut y avoir encore quelques franc-tireurs », a affirmé à l’AFP un officier sur place. 

Pour le moment, il n’y a pas de bilan officiel mais selon la presse locale une douzaine de personnes ont perdu la vie depuis mercredi.

Dans des parties de la Cota 905, le quartier épicentre et nom de la bande qui contrôlait le secteur, le sol était tapissé de douilles de balles, signes des milliers de coups de feu tirés ces derniers jours, selon des images sur les réseaux sociaux.

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« C’était comme dans une guerre. On s’est protégé et on a attendu que ça passe », a affirmé sur place à l’AFP Jesus Rey, un mécanicien de 40 ans habitant du quartier.

« Nous avons avancé dans le démantèlement des structures du crime qui s’étaient installées dans ces territoires avec la prétention de semer la terreur », a écrit sur Twitter la ministre de l’Intérieur, Carmen Melendez, assurant que la police avait notamment libéré des personnes séquestrées. 

Quelque 800 membres des forces de l’ordre ont participé à l’opération contre la bande de la Cota 905 dont les leaders sont désormais en fuite. Jeudi, la police avait lancé des avis de recherche contre ses chefs dont le médiatique « El Koki ». Elle promet 500.000 dollars de récompense. 

Vendredi, la police continuait de ratisser la zone contrôlant des passants et fouillant des maisons. Ils ont notamment saisi des véhicules, des motos et des tonneaux de gasoil appartenant aux malfaiteurs, a constaté l’AFP. 

En juin, ces affrontements récurrents ont coûté la vie à au moins trois personnes, dont une infirmière victime d’une balle perdue alors qu’elle faisait le plein de son véhicule. Mais c’est la première fois depuis plusieurs années que les autorités lancent une offensive d’une telle ampleur contre les gangs des quartiers.

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Avec 12.000 morts violentes par an, selon l’Observatoire vénézuélien de la violence (OVV), le Venezuela est un des pays les plus violents de la planète, avec un taux de 45,6 morts violentes pour 100.000 habitants, sept fois supérieur à la moyenne mondiale.

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MARN1

International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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