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International

Merkel espère que l’histoire ne la verra jamais comme une « paresseuse »

AFP/Salle de presse

Après 16 années à diriger l’Allemagne, quatre mandats, une succession de crises européennes et d’épreuves diplomatiques, Angela Merkel n’a qu’une ambition : qu’on ne dise pas d’elle était « paresseuse ».

La chancelière allemande, qui prendra sa retraite à l’issue des élections législatives du 26 septembre, est connue comme une infatigable travailleuse, endurante dans les séances de négociation avec les dirigeants de la planète comme avec les chefs de régions allemandes.

Et pourtant, interrogée jeudi dans une forum organisé par le radiodiffuseur WDR sur ce qu’elle ne voudrait pas que les livres d’histoire disent d’elle, Angela Merkel a eu pour seule réponse : « Que j’étais paresseuse ».

Le commentaire de la chancelière de 66 ans, tout comme le léger sourire au coin des lèvres qui l’accompagnait, est à l’image du caractère peu extraverti de celle qui reste la personnalité politique préférée des Allemands.

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De marathon diplomatique en sommet européen nocturne, la dirigeante a régulièrement étonné par sa résistance à la fatigue.

A propos de son sommeil, elle avait expliqué en 2015 : « J’ai des capacités dignes d’un chameau. J’ai une certaine aptitude à accumuler. Mais à un moment je dois quand même refaire le plein ».

Cette année-là l’avait par exemple vue enchaîner une nuit blanche et 16 heures de négociations à Minsk pour un cessez-le-feu en Ukraine, puis deux jours de sommet européen où elle est était en première ligne sur la crise grecque.

La chancelière a toujours mis un point d’honneur à consulter et rassembler, quitte à perdre du temps dans la prise de décision.

« Ma méthode de travail a toujours été de créer des liens, de résoudre les conflits par la discussion », a-t-elle encore expliqué durant ce forum, par opposition à d’autres comportements consistant « à recharger les tensions et à les laisser exploser ».

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MARN1

International

Maduro accuse l’opposition d’être responsable du sort d’une fillette séparée de sa mère aux États-Unis

Le président vénézuélien Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat à la suite de sa réélection controversée, a tenu pour responsables plusieurs opposants, dont María Corina Machado, de tout ce qui pourrait arriver à une fillette de deux ans que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement depuis les États-Unis.

« Je tiens publiquement responsables Mme María Machado, Leopoldo López, Carlos Paparoni, Carlos Vecchio et Juan Guaidó de ce qui pourrait arriver à la petite Maikelys Espinoza, en raison de la séparation qu’elle subit », a déclaré Maduro lors d’un défilé à Caracas pour la Journée internationale des travailleurs, auquel ont assisté la mère et la grand-mère de l’enfant, Yorely Bernal et Raida Inciarte.

Le chef de l’État a accusé ce groupe d’opposants d’être responsable des sanctions, du blocus, des trafiquants (« coyotes ») qui ont détourné des milliards de dollars, ainsi que de la persécution des migrants vénézuéliens aux États-Unis.

La manifestation a parcouru plusieurs avenues de la capitale, avec la participation de travailleurs de divers ministères et entreprises publiques, brandissant des pancartes demandant la « libération » de la fillette. Sur la scène, aux côtés de Maduro, se trouvaient également des proches de plus de 200 migrants vénézuéliens récemment expulsés des États-Unis vers une prison de haute sécurité au Salvador, accusés d’appartenir au groupe criminel transnational Tren de Aragua, né dans une prison vénézuélienne.

Maduro a appelé ses partisans à prier Dieu pour avoir la sagesse et l’intelligence nécessaires afin que la fillette puisse bientôt retourner dans les bras de sa mère au Venezuela, ainsi que les 252 migrants détenus au Salvador.

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« La justice triomphera plus tôt que prévu, et nos jeunes reviendront libres, sains et saufs », a-t-il déclaré.

Le président a également défendu les migrants vénézuéliens, les qualifiant de personnes nobles, honnêtes et travailleuses qui ont contribué au développement des pays où ils se sont installés.

Mardi, le procureur général Tarek William Saab a annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il a qualifié d’« enlèvement brutal » de la fillette par les autorités américaines.

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

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La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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