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International

AstraZeneca travaille sur un vaccin contre variantes du covid-19

AstraZeneca a annoncé hier qu’elle travaillait sur une nouvelle version de son vaccin contre le COVID-19 et s’attend à ce qu’il soit prêt à être utilisé au cours du dernier trimestre de cette année. L’annonce intervient alors que les fabricants présentent des alternatives aux variantes émergentes de la maladie qui menacent d’être plus contagieuses ou résistantes aux vaccins existants.

En ce sens, Mene Pangalos, chef de la recherche de l’entreprise qui travaille en collaboration avec des scientifiques de l’Université d’Oxford, a déclaré avoir commencé cette tâche il y a des mois, lorsque les variantes ont été détectées pour la première fois.

De même, le PDG de la firme pharmaceutique, Pascal Soriot, a défendu les efforts de l’entreprise pour développer et augmenter la production du vaccin malgré les avertissements de l’Union Européenne qui ont soulevé des doutes sur la capacité du vaccin à lutter contre la variante sud-africaine du covid-19.

En raison de informations limitées sur son efficacité chez les personnes âgées, certains pays européens tels que la France et l’Allemagne ont recommandé que les personnes de plus de 65 ans ne reçoivent pas le vaccin, même s’il a déjà été approuvé par l’Agence Européenne des Médicaments pour une utilisation pour les personnes de plus de 18 ans.

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International

Jugée par contumace, l’ex-Première ministre Sheikh Hasina menacée de peine capitale

Le parquet du Bangladesh a demandé jeudi la peine de mort pour l’ancienne Première ministre Sheikh Hasina, jugée par contumace pour crimes contre l’humanité liés à la répression sanglante des manifestations de 2024.

« Nous exigeons la peine maximale à son encontre », a déclaré aux journalistes le procureur en chef, Tajul Islam, devant le tribunal de Dacca.

Hasina, 78 ans, a défié les ordres judiciaires de revenir dans son pays depuis l’Inde, où elle s’est réfugiée l’an dernier pour échapper aux accusations portant sur l’organisation d’une répression meurtrière visant à écraser un soulèvement populaire dirigé par des étudiants.

Selon l’ONU, jusqu’à 1 400 personnes ont été tuées lors des affrontements entre juillet et août 2024.

« Pour un seul meurtre, la peine de mort est la règle. Pour 1 400 meurtres, elle devrait être condamnée 1 400 fois, mais comme cela n’est pas humainement possible, nous réclamons au moins une peine », a ajouté Islam.

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Le parquet affirme que Hasina était « le noyau autour duquel tous les crimes de juillet à août ont été commis ».

Elle est jugée par contumace aux côtés de son ancien ministre de l’Intérieur, Asaduzzaman Khan Kamal, également en fuite, et de l’ancien chef de la police Chowdhury Abdulah Al Mamun, actuellement détenu et qui s’est déclaré coupable.

Depuis le début du procès le 1er juin, de nombreux témoignages ont décrit l’implication de Hasina, qui aurait ordonné ou laissé faire les massacres.

« Son objectif était de s’accrocher au pouvoir de façon permanente », a conclu le procureur.

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International

Donald Trump prévoit un Arc de Triomphe à Washington pour le 250ᵉ anniversaire des États-Unis

Le président des États-Unis, Donald Trump, prévoit de construire un Arc de Triomphe à l’une des entrées de la ville de Washington afin de commémorer les 250 ans de l’indépendance du pays, qui seront célébrés le 4 juillet de l’année prochaine.

Une maquette du monument se trouve depuis plusieurs jours sur son bureau, mais Trump a révélé publiquement ses intentions mercredi soir lors d’un dîner de gala à la Maison-Blanche avec des donateurs finançant la construction d’une nouvelle salle de bal dans la résidence présidentielle.

L’arc serait situé près du Monument de Lincoln, à l’extrémité opposée du pont d’Arlington, qui sert d’entrée à Washington depuis la Virginie.

« Ça va être vraiment magnifique. Je pense que ce sera fantastique », a déclaré Trump lors du dîner.

Le président et magnat de l’immobilier a présenté trois maquettes de tailles différentes et a précisé que sa préférée est la plus grande, surmontée d’une sculpture de la déesse romaine de la Liberté.

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Trump a déjà aménagé le Jardin des Roses de la Maison-Blanche, décoré le Bureau ovale avec des ornements dorés et construit une grande salle de bal dans la résidence présidentielle à l’image de sa propriété privée de Mar-a-Lago, en Floride.

Il a également déployé la Garde nationale dans la capitale pour lutter contre la criminalité, contre l’avis des autorités locales démocrates. Il s’est autoproclamé directeur du Kennedy Center, le théâtre national des arts du spectacle, et a ordonné une révision des contenus de l’Institut Smithsonian, qui gère les principaux musées de la ville, afin de les aligner sur ses idées politiques.

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International

Luis Arce dénonce les opérations clandestines de la CIA au Venezuela comme un acte d’intimidation

Le président de la Bolivie, Luis Arce, a dénoncé jeudi devant la communauté internationale l’annonce faite par le président des États-Unis, Donald Trump, du lancement d’opérations clandestines de la CIA au Venezuela, affirmant qu’il s’agit « d’un exemple clair d’intimidation ».

« Dans un acte de violation flagrante du droit international, le gouvernement des États-Unis a confirmé qu’il avait ordonné à la CIA de mener des ‘opérations clandestines’ au Venezuela », a publié Arce sur son compte X.

Il a déclaré observer « avec inquiétude » l’annonce de Trump et a affirmé que le fait que des bombardiers américains aient survolé la mer des Caraïbes aux frontières du territoire vénézuélien constitue « un exemple clair d’intimidation ».

« Cela ne trompe personne. Il ne s’agit pas d’une guerre contre la drogue, mais d’actions interventionnistes qui violent la souveraineté nationale. Nous alertons le monde sur le danger d’une escalade militaire qui pourrait affecter la paix et la stabilité de toute l’Amérique latine et des Caraïbes », a ajouté le président bolivien.

La veille, Trump a autorisé la CIA à mener des opérations clandestines au Venezuela et a assuré qu’il envisageait également la possibilité de lancer des attaques terrestres contre le narcotrafic, affirmant que les embarcations transportant de la drogue avaient été presque complètement neutralisées.

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Il a en outre défendu les au moins cinq attaques du Commandement Sud contre des navires liés au trafic de drogue, affirmant que « ce sont des bateaux très rapides et modernes, mais pas aussi rapides qu’un missile ».

De son côté, le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a affirmé que l’Amérique latine « condamne » la CIA, après avoir dénoncé la participation supposée de cette institution à des tentatives de coup d’État dans la région.

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