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International

María Hinojosa aux Latinos: « Nous devons manger cette peur »

Journaliste et auteure d’origine mexicaine, et qui a remporté un Emmy, María Hinojosa, dit être la première femme latina dans les salles de presse où elle a travaillé, à travers son nouveau livre «Une fois j’étais toi ; ma vie entre l’amour et la haine aux Etats-Unis».

L’animatrice de longue date de la National Public Radio Latino aux États-Unis raconte l’histoire de sa vie d’immigrante, raconte des histoires, défend les Latinos, ainsi que les défis qu’elle a dû surmonter pour réussir en tant que journaliste.

Hinojosa détaille son combat contre l’anxiété, être mère de famille, sa carrière et devenir entrepreneure médiatique. Cela ouvre également une fenêtre sur les événements historiques qui ont façonné sa vie et les histoires qu’elle a couvertes en tant que journaliste, comme celle des réfugiés salvadoriens qui sont devenus ses amis à l’école, qui ont été exilés de leur pays à cause de l’intervention américaine en Amérique centrale. Pendant des décennies, elle a couvert l’actualité migratoire et la politique derrière la manière dont les États-Unis traitent leurs résidents les plus vulnérables.

Il y a peu de gens qui peuvent se permettre d’être «les premiers», ceux qui font tomber les barrières qui aideront indirectement d’autres personnes. La journaliste María Hinojosa fait partie de ces personnes, mais elle n’aurait pas pu le faire sans mettre de côté sa peur de «le manger», comme elle dit.

«Je le parle beaucoup, car j’ai été la première Latina à travailler dans toutes les salles de rédactions. La première sur NPR, sur CNN, et sur CBS. La première à créer ma propre entreprise journalistique à but non lucratif », à déclaré. « Quand tu es le premier, quand tu es Latina, évidemment tu as peur … mais l’une des plus belles choses que j’ai pu comprendre c’est pourquoi j’ai pu manger cette peur.

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« Hinojosa fait référence à la société The Futuro Media Group, qu’elle a lancée en 2010. Conséquence positive d’avoir perdu sa peur, en grande partie grâce à son partenaire de vie, son mari Germán Pérez, un peintre dominicain.

Dans son libre elle raconte sa dure réalité, depuis le viol dans sa jeunesse au Mexique, la lutte en tant que femme dans une carrière exclusive pour les hommes, jusqu’à la relation amour-haine que beaucoup entretiennent avec le pays qui les a reçu comme migrants: les États-Unis.

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MARN1

International

Texas : des migrants vénézuéliens détenus forment un SOS visible par drone

Les détenus du centre de rétention pour migrants de Bluebonnet, situé dans la petite ville d’Anson au Texas, ont adressé cette semaine un message d’alerte au monde extérieur : SOS.

Le lundi, 31 hommes ont formé ces lettres dans la cour poussiéreuse du centre alors qu’un drone de l’agence Reuters survolait la zone.

Dix jours auparavant, des dizaines de Vénézuéliens incarcérés dans ce centre avaient reçu des avis des autorités migratoires les accusant d’être membres du gang Tren de Aragua, les rendant ainsi passibles d’expulsion selon une loi d’époque de guerre, d’après des documents montrés à Reuters, des appels vidéo enregistrés et des procédures judiciaires en cours.

Les familles de sept détenus interrogées par Reuters ont affirmé qu’ils ne faisaient pas partie du gang et qu’ils avaient refusé de signer ces documents. Malgré cela, le vendredi 18 avril, ils ont été embarqués dans un bus en direction de l’aéroport régional d’Abilene, selon l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) et leurs proches, avant d’être ramenés au centre de détention.

Le soir même, la Cour suprême a suspendu temporairement les expulsions. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) n’a pas souhaité commenter cette décision.

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Il s’agit d’un sursis pour le groupe de Vénézuéliens détenus à Bluebonnet, qui risquent toujours — si la Cour suprême lève le blocage — d’être envoyés au CECOT, la tristement célèbre prison de haute sécurité au Salvador, où l’administration de l’ex-président Donald Trump aurait déjà transféré au moins 137 Vénézuéliens sous l’égide de la Loi sur les ennemis étrangers de 1798.

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International

Colombie : près de 100 femmes libérées grâce à une loi en faveur des mères détenues

En Colombie, environ 99 femmes incarcérées pour des délits mineurs liés à la drogue ont été libérées afin de purger leur peine en dehors des prisons, en vertu d’une loi promulguée par le président Gustavo Petro, selon le ministère de la Justice.

Cette loi, approuvée en 2023, s’adresse aux mères de famille à faibles revenus, et vise à désengorger les prisons tout en changeant l’approche de la lutte antidrogue, que le président de gauche considère comme un « échec ».

Les bénéficiaires doivent obtenir l’autorisation d’un juge et effectuer un travail social en échange de leur peine pour trafic de drogue, dans un pays qui reste le plus grand producteur mondial de cocaïne.

« L’un des projets les plus importants pour la Colombie est de protéger les femmes cheffes de famille », a déclaré mardi la ministre de la Justice, Ángela María Buitrago, lors d’un événement à la prison El Buen Pastor à Bogotá, en présence de dizaines de détenues.

Selon la Commission interaméricaine des droits de l’homme, les infractions liées à la drogue sont la principale cause d’incarcération des femmes en Amérique. En Colombie, les femmes représentent 13 % de la population carcérale.

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International

Charles III évoque son cancer : une expérience « décourageante et parfois effrayante »

Le roi britannique Charles III s’est exprimé ce mercredi sur le diagnostic de cancer dont il est atteint, qualifiant cette expérience de « décourageante et parfois effrayante », tant pour le patient que pour ses proches. Il l’a déclaré dans un message écrit destiné aux invités d’une réception au palais de Buckingham.

Après avoir quitté l’hôpital à la suite d’une intervention visant à corriger une hypertrophie de la prostate, Charles a été diagnostiqué avec un cancer en février 2024. Bien que les mises à jour sur son état de santé soient rares, une source du palais avait assuré en décembre dernier que le traitement évoluait favorablement.

Lors de cet événement, organisé en remerciement aux organisations qui soutiennent les personnes atteintes de cancer, le monarque de 76 ans a également déclaré : « Les moments les plus sombres de la maladie peuvent être illuminés par la plus grande compassion. »

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