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International

Frontière USA-Mexique : des migrants risquent jusqu’à 18 mois de prison

Des centaines de migrants ont été inculpés pour être entrés sans autorisation dans une zone récemment désignée comme militarisée le long de la frontière sud des États-Unis, depuis que le Département de la Justice a introduit une nouvelle politique fin avril.

L’administration du président Donald Trump a transféré la supervision d’une bande de territoire le long de la frontière américano-mexicaine à l’armée, autorisant les troupes américaines à détenir temporairement les migrants entrant sans autorisation. Toutefois, il n’existe aucun rapport indiquant que les troupes aient exercé ce pouvoir, les arrestations étant effectuées par les agents des douanes et de la protection des frontières. Les zones de défense nationale désignées sont surveillées par des soldats américains provenant de Fort Bliss, au Texas, et de Fort Huachuca, en Arizona.

Les nouvelles accusations liées à la sécurité nationale à l’encontre des migrants qui pénètrent dans ces zones militarisées entraînent une peine potentielle de 18 mois de prison, en plus de six mois supplémentaires pour entrée illégale. Les conséquences complètes restent floues pour les migrants souhaitant régulariser leur situation par le biais de procédures distinctes devant un tribunal de l’immigration.

Le gouvernement Trump cherche à accélérer l’expulsion massive des migrants vivant aux États-Unis sans autorisation, ainsi que les déportations vers des pays tiers, y compris celles de ressortissants vénézuéliens envoyés dans une prison au Salvador pour des accusations d’appartenance à des gangs. Des milliers de soldats américains ont été déployés à la frontière, bien que les arrestations aient chuté à leur niveau le plus bas depuis le milieu des années 1960.

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International

Claudia Sheinbaum annonce la probable venue du secrétaire d’État américain au Mexique

La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum a indiqué que le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, pourrait très probablement se rendre au Mexique lors de la première semaine de septembre pour signer l’accord de sécurité entre les deux pays.

Lors de la conférence matinale de ce lundi, Sheinbaum a précisé que cette visite était initialement en attente, suite à la venue au Mexique de Kristi Noem, secrétaire à la Sécurité intérieure des États-Unis. La date exacte sera confirmée cette semaine.

« Très probablement, il viendra non pas cette semaine, mais la première semaine de septembre. C’est probable. La date sera confirmée cette semaine », a déclaré la présidente. Interrogée sur la signature de l’accord de sécurité, Sheinbaum a répondu : « Oui, c’est l’idée ».

Par ailleurs, Claudia Sheinbaum a souligné que les 27 et 28 août, plusieurs secrétaires d’État brésiliens, dont ceux du Commerce, des Finances, des Affaires étrangères, de l’Agriculture et de la Planification, ainsi qu’une délégation de 150 entrepreneurs, seront au Mexique pour des échanges économiques et commerciaux.

« Est-ce qu’une visite éventuelle du président Lula sera discutée ? », lui a-t-on demandé.

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« Pour le moment, il s’agit de renforcer la complémentarité de nos économies. Nous parlerons non seulement de commerce dans certains secteurs, mais aussi d’investissements dans les deux sens. Ce sera donc une rencontre très importante », a conclu Sheinbaum.

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International

Julio César Chávez Jr. jugé en liberté provisoire pour liens présumés avec le narcotrafic

Le boxeur mexicain Julio César Chávez Jr. fera face à son procès au Mexique pour présumés liens avec le narcotrafic en liberté provisoire, a annoncé son avocat ce samedi à l’issue de la première audience judiciaire.

Le fils de la légende de la boxe Julio César Chávez a été déporté des États-Unis vers le Mexique lundi dernier et présenté samedi devant un juge fédéral de l’État de Sonora (nord-ouest).

« Il sera immédiatement libéré, car c’est ce qu’a ordonné le juge », a déclaré à la presse son avocat, Rubén Fernando Benítez. La Procureur général n’a pas immédiatement répondu à une demande d’information de l’AFP.

Chávez Jr. est accusé de « criminalité organisée » sans fonction de hiérarchie et serait impliqué spécifiquement dans l’introduction clandestine d’armes au Mexique, a précisé l’avocat.

Des mesures strictes lui ont été imposées, notamment l’interdiction de quitter le pays, mais il respectera scrupuleusement ces conditions. En raison des formalités administratives, sa libération conditionnelle pourrait prendre quelques heures.

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Le boxeur de 39 ans avait été arrêté le 2 juillet à Los Angeles par les autorités migratoires américaines pour avoir menti dans sa demande de résidence permanente aux États-Unis.

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International

Petro dément l’existence du Cartel des Soleils et critique l’extrême droite

Le président colombien, Gustavo Petro, a affirmé ce lundi que « le Cartel des Soleils n’existe pas », contredisant les accusations des États-Unis selon lesquelles il serait dirigé par le président vénézuélien Nicolás Maduro.

« Le Cartel des Soleils n’existe pas, c’est l’excuse fictive de l’extrême droite pour renverser les gouvernements qui ne leur obéissent pas », a déclaré Petro dans un message publié sur le réseau social X.

Maduro avait été accusé de trafic de drogue et de terrorisme par les États-Unis durant le premier mandat du président Donald Trump. Aujourd’hui, Washington affirme que le Cartel des Soleils serait dirigé par le président vénézuélien ainsi que par des hauts fonctionnaires et militaires du gouvernement.

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