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International

Les autorités mexicaines trouvent près de 500 migrants détenus dans une ferme à Puebla

Les autorités mexicaines trouvent près de 500 migrants détenus dans une ferme à Puebla
Photo: Reuters

7 août |

Les autorités mexicaines ont déclaré vendredi que près de 500 personnes avaient été retrouvées détenues dans une propriété du centre du Mexique, alors que plusieurs pays tentent d’endiguer les flux migratoires croissants, principalement vers les États-Unis.

L’Institut national des migrations (INM) du Mexique a déclaré dans un communiqué que sur les 491 migrants retrouvés, 52 étaient des mineurs non accompagnés. La plupart d’entre eux, a-t-il ajouté, étaient originaires du Guatemala, seul un groupe de six personnes étant originaire du Honduras.

Selon l’INM, ces personnes étaient « détenues dans une propriété de la municipalité de Yehualtepec, au sud-est de Puebla ». Cet État se trouve à environ 200 kilomètres de la ville de Mexico, où les migrants cherchent souvent un refuge ou des mécanismes pour régulariser leur séjour dans le pays afin de poursuivre leur voyage vers les États-Unis.

Dans le même document, l’INM a indiqué que la découverte était le résultat d’un travail d’enquête mené par différentes autorités, sans toutefois donner de détails.

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Les images diffusées par l’institution montrent des centaines de personnes, dont des enfants, dans une cour en terre battue à l’intérieur d’un grand terrain, où l’on aperçoit à l’arrière-plan une sorte d’entrepôt.

La semaine dernière, le Mexique et les États-Unis ont déclaré qu’ils travaillaient sur un plan de traitement des migrants dans le sud du pays latino-américain, un projet qui comprend des Cubains, des Haïtiens, des Nicaraguayens et des Vénézuéliens.

Chaque année, des dizaines de milliers de personnes originaires de divers pays passent par le Mexique pour se rendre aux États-Unis, qu’elles aient obtenu l’asile ou qu’elles soient sans papiers. Nombre d’entre elles sont kidnappées, tuées ou capturées par des trafiquants d’êtres humains qui leur promettent de les emmener sur le territoire américain.

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International

Maduro accuse l’opposition d’être responsable du sort d’une fillette séparée de sa mère aux États-Unis

Le président vénézuélien Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat à la suite de sa réélection controversée, a tenu pour responsables plusieurs opposants, dont María Corina Machado, de tout ce qui pourrait arriver à une fillette de deux ans que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement depuis les États-Unis.

« Je tiens publiquement responsables Mme María Machado, Leopoldo López, Carlos Paparoni, Carlos Vecchio et Juan Guaidó de ce qui pourrait arriver à la petite Maikelys Espinoza, en raison de la séparation qu’elle subit », a déclaré Maduro lors d’un défilé à Caracas pour la Journée internationale des travailleurs, auquel ont assisté la mère et la grand-mère de l’enfant, Yorely Bernal et Raida Inciarte.

Le chef de l’État a accusé ce groupe d’opposants d’être responsable des sanctions, du blocus, des trafiquants (« coyotes ») qui ont détourné des milliards de dollars, ainsi que de la persécution des migrants vénézuéliens aux États-Unis.

La manifestation a parcouru plusieurs avenues de la capitale, avec la participation de travailleurs de divers ministères et entreprises publiques, brandissant des pancartes demandant la « libération » de la fillette. Sur la scène, aux côtés de Maduro, se trouvaient également des proches de plus de 200 migrants vénézuéliens récemment expulsés des États-Unis vers une prison de haute sécurité au Salvador, accusés d’appartenir au groupe criminel transnational Tren de Aragua, né dans une prison vénézuélienne.

Maduro a appelé ses partisans à prier Dieu pour avoir la sagesse et l’intelligence nécessaires afin que la fillette puisse bientôt retourner dans les bras de sa mère au Venezuela, ainsi que les 252 migrants détenus au Salvador.

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« La justice triomphera plus tôt que prévu, et nos jeunes reviendront libres, sains et saufs », a-t-il déclaré.

Le président a également défendu les migrants vénézuéliens, les qualifiant de personnes nobles, honnêtes et travailleuses qui ont contribué au développement des pays où ils se sont installés.

Mardi, le procureur général Tarek William Saab a annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il a qualifié d’« enlèvement brutal » de la fillette par les autorités américaines.

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International

Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

La Football Association (FA) a indiqué avoir modifié ses règles, qui permettaient jusqu’à présent aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines à condition de réduire leur taux de testostérone. La Fédération écossaise de football a adopté une décision similaire la semaine dernière.

La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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Interdiction des femmes trans dans les équipes féminines de football en Angleterre et en Écosse

Les femmes transgenres ne pourront plus jouer dans les équipes de football féminin en Angleterre et en Écosse, à la suite d’un arrêt rendu le mois dernier par la Cour suprême du Royaume-Uni, a annoncé jeudi la Fédération anglaise de football.

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La Cour suprême britannique a statué il y a deux semaines qu’aux fins de la lutte contre les discriminations, le terme « femme » devait désigner une personne née biologiquement femme. À la suite de cette décision, la présidente de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme a affirmé que les femmes trans seraient exclues des toilettes, salles d’hôpital et équipes sportives réservées aux femmes.

L’arrêt a été applaudi par certains groupes féministes, mais fortement critiqué par des associations trans qui dénoncent un impact négatif majeur sur la vie quotidienne des personnes transgenres.

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