Connect with us

International

Paraguay: un journaliste tué par balles près de la frontière brésilienne

JOSE BOGADO / AFP

AFP

Un journaliste radio a été tué par balles mardi dans le nord du Paraguay, à Pedro Juan Caballero, ville frontalière avec le Brésil dont le maire, en lutte contre le narcotrafic et la corruption locale, avait été abattu en mai dernier.

Humberto Andres Coronel Godoy, 33 ans, a été assassiné par deux hommes en moto, tout près de sa radio « Amambay » qu’il venait de quitter, alors qu’il s’apprêtait de monter dans sa voiture, a indiqué la police.

Coronel avait reçu des menaces de mort en juin dernier, signalées à la police, a indiqué à la presse le chef de la Prévention des délits de la province d’Amambay, le commissaire Nery Portillo.

« Il lui avait été dit de se taire et de cesser d’enquêter sur certains faits », a ajouté le commissaire. Il a assuré qu’une protection policière avait alors été proposée au journaliste mais que celui-ci l’avait refusée.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Cet assassinat survient dans la ville, Pedro Juan Caballero, dont le maire Jose Carlos Acevedo, 51 ans, a été assassiné le 17 mai dernier, criblé de balles dans la rue par des inconnus, alors qu’il sortait d’une réunion en mairie.

Le maire avait eu des prises de position fortes contre l’apparente impunité locale de bandes criminelles, dans cette ville frontalière avec le Brésil – une avenue la relie à la ville brésilienne de Ponta Pora -, et lieu notoire de trafics divers, dont celui de la drogue.

La nièce du maire avait elle-même été abattue en 2021. 

Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

Continue Reading

International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

Continue Reading

Amérique centrale

Le Nicaragua quitte l’Unesco après un prix décerné à un journal en exil

Le Nicaragua a informé l’Unesco de son retrait de l’organisation en dénonçant ses « actions inacceptables et inadmissibles », notamment l’attribution du Prix mondial de la liberté de la presse à La Prensa, un journal critique du gouvernement qui opère depuis l’exil.

Le retrait sera effectif le 31 décembre 2026, dans un contexte marqué par de vives inquiétudes concernant la liberté de la presse dans le pays, classé 172e sur 180 par Reporters sans frontières (RSF).
« Je regrette profondément cette décision, qui privera la population nicaraguayenne des bénéfices de la coopération en matière d’éducation et de culture », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, dans un communiqué adressé à l’AFP.

Samedi, l’Unesco a décerné le Prix Guillermo Cano de la liberté de la presse à La Prensa pour « avoir porté la vérité au peuple nicaraguayen », malgré la « répression » et « l’exil » de ses journalistes, selon les propos du jury.

Fondé en 1926, La Prensa a constamment maintenu une position critique à l’égard du gouvernement de Daniel Ortega, au pouvoir depuis 2007, aux côtés de son épouse Rosario Murillo, vice-présidente depuis 2017 et qualifiée de « coprésidente » depuis février.

Sous la pression des autorités, La Prensa a cessé son édition imprimée en 2021 et fonctionne désormais en ligne, avec une équipe en exil répartie entre le Costa Rica, les États-Unis, le Mexique, l’Espagne et l’Allemagne.

Advertisement

20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Continue Reading

Trending

News Central