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International

Trump rassure sur son état de santé après un examen médical complet

Le président des États-Unis, Donald Trump, a révélé lundi qu’il avait subi une imagerie par résonance magnétique (IRM) dans le cadre d’un examen médical de routine effectué il y a quelques semaines, sans toutefois préciser la raison de l’examen ni la partie du corps concernée.

« Tout était parfait. J’ai partagé les résultats complets. J’ai passé une IRM et toute la procédure s’est déroulée à merveille », a déclaré le président à bord de l’Air Force One, peu avant d’atterrir à Tokyo.

Âgé de 79 ans, Trump a de nouveau été interrogé sur son état de santé après la publication par la Maison-Blanche des résultats de son bilan médical réalisé au Centre médical militaire national Walter Reed, selon lesquels il jouit d’une santé « exceptionnelle ».

Lors de ses déclarations, le président républicain a défendu la transparence de ses rapports médicaux, affirmant que « personne » n’avait partagé autant de détails que lui pendant ses années de mandat.
« Si je pensais que les résultats n’allaient pas être bons, je le dirais aussi. Je ne le cacherais pas. Je ferais ce qu’il faut. Mais le médecin a dit que c’étaient parmi les meilleurs résultats qu’il ait vus pour quelqu’un de mon âge », a-t-il souligné.

Bien qu’il n’ait pas précisé quelle partie de son corps avait été examinée, Trump a insisté sur le fait que la procédure avait confirmé qu’il restait en excellente condition physique pour continuer à exercer ses fonctions, y compris lors de tournées internationales comme celle qu’il mène actuellement.

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Ces derniers mois, sa santé a attiré l’attention après un diagnostic d’insuffisance veineuse chronique durant l’été, ce qui avait suscité des spéculations dans les médias américains et parmi les analystes politiques.

Cependant, le rapport médical publié par la Maison-Blanche confirme que le président est apte à poursuivre son agenda international et à diriger le pays.

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International

Cinquième semaine de fermeture du gouvernement américain : la crainte d’un chaos dans le ciel

Les États-Unis font face à une inquiétude croissante concernant la continuité du transport aérien, alors que la fermeture du gouvernement fédéral est entrée ce lundi dans sa cinquième semaine. La crainte principale : que les contrôleurs aériens commencent à ne plus se présenter au travail, faute de recevoir leur salaire.

« Les contrôleurs du trafic aérien ne seront plus payés à partir de demain. Ce n’est pas normal ! », a écrit sur le réseau social X le secrétaire aux Transports, Sean Duffy, après une visite dans une tour de contrôle d’un aéroport à Cleveland, Ohio.

Selon le calendrier de paiement fédéral, les contrôleurs devaient recevoir mardi leur salaire correspondant à la période du 5 au 18 octobre. Cependant, le shutdown, en vigueur depuis le 1er octobre, combiné à l’absence de vote du Sénat pour mettre fin à la paralysie gouvernementale, rend ce versement impossible.

Les contrôleurs aériens font partie des 730 000 employés fédéraux considérés comme essentiels à la sécurité nationale, qui continuent de travailler sans être rémunérés tant que la fermeture n’est pas levée.

Cette situation est aggravée par la pénurie chronique de contrôleurs aériens aux États-Unis, un problème que le département de Sean Duffy tente d’atténuer grâce à des programmes de formation accélérés, des recrutements accruset des primes de fidélisation.

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Lors du shutdown le plus long de l’histoire américaine, entre décembre 2018 et janvier 2019 (35 jours), les arrêts maladie massifs des contrôleurs avaient provoqué une paralysie partielle du trafic aérien, poussant démocrates et républicains à s’accorder finalement sur un budget de sortie de crise.

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Amérique centrale

Mort de Randall Gamboa : le Costa Rica exige des réponses après son retour dramatique des États-Unis

Randall Gamboa, un Costaricien de 52 ans qui avait été placé en détention pendant huit mois par le Service américain de l’immigration et des douanes (ICE) et renvoyé dans son pays dans un état critique, est décédé dimanche à l’hôpital public Fernando Escalante Pradilla, dans le sud du Costa Rica, d’où il était originaire, a confirmé sa sœur Greidy Mataà CNN.

Selon la directrice médicale de l’établissement, la docteure Joicy Solís, Gamboa est décédé dimanche à 8 h 53 (heure locale). Elle n’a pas précisé la cause du décès, invoquant la protection des données du patient.

Le cas et la gestion diplomatique du Costa Rica

Gamboa avait quitté le pays en décembre 2024 pour chercher du travail et avait été arrêté par des agents de l’ICE deux jours après avoir traversé la frontière à Tijuana. Il a ensuite été détenu au Texas pendant huit mois.
Sa famille a signalé la perte de contact en juin 2025, après qu’ICE leur eut indiqué que Gamboa ne souhaitait pas communiquer avec eux ni avec le consulat.
Une avocate l’a finalement retrouvé dans un hôpital texan dans un état « critique ».

Selon la famille, ICE les avait informés la veille de son rapatriement : Gamboa est arrivé par vol ambulance le 2 septembre au Costa Rica dans un état de santé décrit comme « inhumain », souffrant de rhabdomyolyse et d’encéphalopathie.
Le Département américain de la sécurité intérieure (DHS) a déclaré à CNN qu’un diagnostic de « psychose non spécifiée » avait été établi et qu’il avait reçu des soins médicaux et psychiatriques appropriés.

Face à la détérioration de son état et à sa mort, le ministère costaricien des Affaires étrangères a confirmé un suivi diplomatique.
Le chef consulaire Herbert Espinoza a indiqué qu’une note officielle avait été envoyée au Département d’État américain pour demander des explications sur le traitement médical reçu et les circonstances dans lesquelles Gamboa a été rapatrié dans un état aussi grave.

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Espinoza a qualifié l’affaire d’« extraordinaire », précisant qu’il s’agissait de la première fois depuis de nombreuses années qu’un citoyen costaricien revenait dans des conditions de santé aussi précaires.
Le ministère souhaite obtenir des réponses satisfaisantes pour la famille et le gouvernement avant d’envisager, si nécessaire, d’autres actions diplomatiques.

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International

Sécurité alimentaire : le Mexique et la FAO unis face aux défis du changement climatique

Le Mexique et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ont examiné ce lundi leur agenda multilatéral en matière de sécurité alimentaire et de développement durable, lors d’une réunion à la Secrétairerie des Relations extérieures (SRE) entre le ministre mexicain des Affaires étrangères, Juan Ramón de la Fuente, le secrétaire à l’Agriculture Julio Berdegué, et le directeur général de la FAO, Qu Dongyu.

La rencontre avait pour objectif de renforcer la coopération entre le Mexique et la FAO et d’analyser les progrès et défis régionaux liés à la production alimentaire, à la durabilité agricole et à l’éradication de la faim.

Juan Ramón de la Fuente était accompagné du vice-ministre Enrique Ochoa et de Laura Elena Carrillo, ambassadrice et représentante permanente du Mexique auprès des agences de l’ONU à Rome. Du côté de la FAO, participaient Beth Crawford, directrice générale adjointe, et Lina Pohl Alfaro, représentante de l’organisation au Mexique.

La visite de Qu Dongyu s’inscrit dans une tournée de travail en Amérique latine visant à renforcer la collaboration régionale dans un contexte de pression croissante sur les systèmes alimentaires due au changement climatique, aux conflits internationaux et aux inégalités d’accès à la nourriture.

Le gouvernement mexicain et la FAO entretiennent une alliance stratégique pour promouvoir des politiques agricoles durables, lutter contre la malnutrition et encourager le développement rural, des priorités communes inscrites dans le cadre des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.

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