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Amérique centrale

Le Panama enregistre un nouveau décès par dengue, portant le total à 14 victimes

Les autorités sanitaires du Panama ont signalé jeudi un nouveau décès dû à la dengue, portant à 14 le nombre total de victimes de la maladie jusqu’à la semaine épidémiologique 31 (du 27 juillet au 2 août), selon le ministère de la Santé (MINSA).

Au 2 août, 9 434 cas de dengue avaient été recensés, dont 899 ont nécessité une hospitalisation et 66 ont été classés comme graves.

La majorité des cas se concentre dans la région métropolitaine et à San Miguelito, avec 4 475 infections, tandis que les décès ont été enregistrés dans les provinces occidentales de Chiriquí (4) et Bocas del Toro (3), dans la province orientale de Darién (2), dans la région métropolitaine (2), ainsi qu’à Panama Este, Coclé et San Miguelito (1 décès chacun). La incidence nationale pour la semaine épidémiologique 31 de 2025 est de 206 cas pour 100 000 habitants. La plupart des infections concernent les personnes âgées de 10 à 59 ans, précise le rapport officiel.

« La co-circulation des quatre sérotypes de la dengue au Panama, avec une prédominance des sérotypes DEN-3 et DENV-4, explique l’augmentation des cas graves et mortels », ajoute le MINSA, rappelant que la dengue « est une maladie grave et potentiellement mortelle, transmise par la piqûre du moustique Aedes aegypti ».

Le ministère de la Santé « a intensifié les opérations dans tout le pays via les équipes de lutte antivectorielle pour réduire les cas de dengue, mais insiste sur la participation citoyenne pour éliminer tous les gîtes larvaires autour et à l’intérieur des habitations », précise le communiqué officiel.

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En 2024, les cas de dengue ont augmenté de 94 % et les décès se sont élevés à 52, près du triple de ceux enregistrés l’année précédente, selon les statistiques du MINSA.

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Amérique centrale

Costa Rica : le président Rodrigo Chaves convoqué devant la commission parlementaire pour son immunité

Enquête sur le financement irrégulier de la campagne électorale de Rodrigo Chaves

Le président du Costa Rica, Rodrigo Chaves, comparaîtra vendredi devant une commission de l’Assemblée législative pour présenter ses arguments concernant une accusation pénale pour gestion irrégulière de fonds, accusation pour laquelle les députés devront décider s’ils lèvent son immunité.

La commission législative chargée d’examiner la levée de l’immunité de Chaves, composée de trois législateurs, a convoqué le président afin qu’il s’exprime sur le dossier et expose sa position, une semaine après l’audition du procureur général, Carlo Díaz.

Dans les prochains jours, la commission devra soumettre un rapport au Plénum législatif, qui sera ensuite soumis au vote à une date qui sera annoncée ultérieurement.

L’accusation implique la responsabilité du président dans un délit de concussion lié à un contrat apparemment sur mesure accordé à l’entreprise RMC La Productora S.A., afin qu’elle fournisse des services de communication pour la Présidence avec 405 000 dollars provenant de dons de la Banque Centroaméricaine d’Intégration Économique (BCIE).

Selon l’accusation, le communicateur Cristian Bulgarelli, propriétaire de l’entreprise, aurait rédigé les conditions du contrat après avoir tenu des réunions au sein de la Maison présidentielle.

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Le dossier de la Fiscalía implique également l’actuel ministre de la Culture et de la Jeunesse, Jorge Rodríguez, qui à l’époque des faits investigués occupait le poste de chef de cabinet du président Chaves, ainsi que Federico Cruz, ancien conseiller de campagne et membre du personnel du président.

Le ministre Rodríguez comparaitra également devant la commission, séparément, vendredi.

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Amérique centrale

Le Nicaragua confisque 18 885 km² de terres frontalières au nom de la souveraineté

Au début de ce mois, le Parlement, contrôlé par le président Daniel Ortega, a déclaré propriété de l’État toutes les terres, rivières et lagunes situées dans une bande de 15 kilomètres le long des frontières avec le Honduras (au nord) et le Costa Rica (au sud). Des analystes et des défenseurs de l’environnement ont qualifié cette décision d’“énorme confiscation”.

Pour de nombreux observateurs, la Loi sur le Territoire Frontalier (Loi 1258) révèle l’“appétit insatiable” d’Ortega et de son épouse, la vice-présidente Rosario Murillo, pour s’approprier les investissements croissants dans ces zones, notamment les concessions minières accordées ces dernières années à des entreprises chinoises, dont les détails restent largement inconnus.

« Derrière tout cela, il y a une voracité économique considérable de la famille Ortega-Murillo, qui, au-delà d’un projet politique, constitue un puissant groupe économique », explique la sociologue Elvira Cuadra, directrice du Centre d’Études Transdisciplinaires d’Amérique Centrale (CETCAM), basé au Costa Rica.

Un enjeu de souveraineté ?

Selon Cuadra, Ortega contrôle depuis longtemps “les principaux secteurs économiques” du Nicaragua. Déjà à la tête du pays entre 1985 et 1990, il est revenu au pouvoir en 2007 avec des promesses de “travail et paix”, soutenu par une importante aide pétrolière vénézuélienne estimée à au moins 5 milliards de dollars, utilisée de manière discrétionnaire par l’exécutif.

En justifiant la Loi sur le Territoire Frontalier, le 5 août dernier, le gouvernement a affirmé que son principal objectif est de “protéger la souveraineté, l’intégrité territoriale et la sécurité nationale”. La loi autorise également le déploiement permanent de l’armée le long des deux frontières.

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Les zones concernées représentent 14 250 km² le long de la frontière nord avec le Honduras (950 km de long) et 4 635 km² au sud, sur les 309 km de frontière avec le Costa Rica, soit un total de 18 885 km² placés sous contrôle direct de l’État.

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Amérique centrale

Le site archéologique maya de Copán menacé par la détérioration de ses tunnels

Le parc archéologique maya du Honduras fait face à des risques de conservation en raison de la détérioration des tunnels qui traversent son centre principal, a averti Rolando Canizales, directeur de l’Institut hondurien d’anthropologie et d’histoire (IHAH). Il souligne l’importance d’interventions après des années sans entretien de ces structures.

« Nous intervenons sur ce réseau, car il n’a reçu aucun entretien depuis de nombreuses années, et cela représente une menace sérieuse pour la conservation des principales structures du complexe central du parc », a déclaré Canizales dans un entretien accordé à l’agence EFE à Tegucigalpa.

Le gouvernement a alloué 25 millions de lempiras (environ un million de dollars) pour l’intervention dans les tunnels, dont le réseau mesure environ six kilomètres.

Canizales a expliqué que les travaux se concentrent actuellement sur la zone la plus critique, connue sous le nom d’acropole ancienne, où se trouvent les monuments associés au début de la dynastie copanèque et à son fondateur, le roi Yax K’uk’Mo’.

Ce souverain de Copán, situé dans l’ouest du Honduras, était connu comme le Grand Soleil Premier Quetzal, selon les archéologues ayant étudié le site.

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Un équipe d’archéologues de grande expérience, accompagnée de sept restaurateurs, participe à l’entretien du réseau de tunnels. Canizales a rappelé que les Mayas « avaient l’habitude de construire sur les structures préexistantes ».

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