Connect with us

International

Violation de la Convention de Vienne : le Mexique interpelle Israël

Le gouvernement mexicain a annoncé mercredi 21 mai 2025 qu’il demanderait des explications à Israël à propos de l’attaque contre des diplomates de 32 pays en Cisjordanie, parmi lesquels deux Mexicains, qui n’ont pas été blessés. Le Mexique considère que l’incident constitue une violation de la Convention de Vienne.

Dans un communiqué, le ministère mexicain des Affaires étrangères a souligné que, bien que l’armée israélienne ait justifié les tirs en affirmant que la délégation diplomatique avait pénétré dans une « zone non autorisée », aucune preuve d’une telle incursion n’a été fournie, ni d’avertissement préalable adressé verbalement à la délégation.

Le ministère a précisé que cette attaque contrevient à l’article 29 de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, qui garantit l’inviolabilité des agents diplomatiques. Il a également rappelé qu’en tant que signataire de la Convention, Israël est tenu de la respecter.

« Le Secrétariat aux Relations extérieures sollicitera à l’ambassade d’Israël au Mexique les éclaircissements que cette affaire requiert », a indiqué la diplomatie mexicaine.

Continue Reading
Advertisement
20250509_dengue_300x250_01
20250509_dengue_300x250_02
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Crise diplomatique : Maduro, Petro et Boric s’en prennent à Bukele

Les présidents Gustavo Petro, Nicolás Maduro et Gabriel Boric, figures du socialisme et du communisme en Amérique latine, ont vivement critiqué le président salvadorien Nayib Bukele et sa politique de tolérance zéro envers les gangs et le crime organisé, tant national que transnational.

Des responsables du régime vénézuélien, comme Maduro, le procureur général Tarek William Saab et le ministre de l’Intérieur et de la Justice Diosdado Cabello, ont récemment dénoncé la stratégie de sécurité salvadorienne ainsi que l’alliance du gouvernement de Bukele avec celui du président américain Donald Trump pour combattre la criminalité en Amérique latine.

Ces trois hauts fonctionnaires ont rejeté la proposition humanitaire du président Bukele, qui consistait à échanger 252 prisonniers politiques de différentes nationalités contre 252 criminels vénézuéliens incarcérés au Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot) et accusés par les États-Unis d’appartenir au gang transnational Tren de Aragua.

« Ils violent toutes les conventions humanitaires internationales. Nous ne tolérerons pas que Bukele nous impose des conditions. Ici, les terroristes paieront devant la justice vénézuélienne, et ce ne sera pas Bukele qui nous dictera notre conduite, non, non, non », a déclaré Cabello, sous les applaudissements de ses partisans chavistes.

Continue Reading

International

Ouragans 2025 : la NOAA alerte sur une activité supérieure à la normale

L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) a annoncé jeudi qu’il y a 60 % de probabilité que la saison des ouragans dans l’Atlantique soit plus intense que la normale.

Selon ses prévisions, entre 13 et 19 tempêtes nommées pourraient se former, avec des vents atteignant au moins 63 km/h.

Parmi elles, entre 6 et 10 pourraient devenir des ouragans avec des vents de 119 km/h ou plus, dont 3 à 5 seraient des ouragans majeurs, atteignant des vents de 179 km/h ou plus.

Continue Reading

International

Trump relance les expulsions massives et élargit les cibles de l’ICE

Lancer des expulsions massives a été l’un des principaux slogans de campagne de Donald Trump lors de sa course à la présidence des États-Unis. Depuis le début de son mandat, son administration s’est attachée à mettre cette promesse en œuvre.

Les autorités ont mis en avant leur volonté de cibler « les pires parmi les pires », c’est-à-dire les personnes ayant commis des délits sur le territoire américain. Elles exercent également des pressions sur certains pays pour qu’ils acceptent le retour de leurs ressortissants que les États-Unis peinent à expulser.

Par ailleurs, les protections juridiques offertes à des centaines de milliers de personnes sous l’administration de l’ancien président Joe Biden ont été levées. Ces individus, admis temporairement pour des raisons humanitaires, sont désormais menacés de déportation.

Voici un aperçu des stratégies utilisées par le gouvernement américain, les cibles de ces expulsions et les défis auxquels il est confronté :

Cibler « les pires parmi les pires »… et tous ceux qui les entourent

Les autorités de l’immigration affirment concentrer leurs efforts sur les individus représentant une menace pour la sécurité publique ou nationale, notamment ceux ayant été arrêtés ou condamnés pour des infractions ou encore les membres de gangs, selon le Service de l’immigration et des douanes (ICE).

Advertisement
20250509_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Sur les réseaux sociaux, l’ICE publie régulièrement des photos de personnes arrêtées et les infractions qui leur sont reprochées.

Bien que les précédents gouvernements aient également ciblé les personnes considérées comme dangereuses, la différence majeure avec l’administration Trump est que les agents de l’ICE peuvent désormais arrêter aussi d’autres personnes en infraction avec la loi sur l’immigration, même si elles ne faisaient pas initialement l’objet d’une enquête. Il s’agit des « arrestations collatérales », interdites sous Biden.

Comme l’a résumé un agent de l’ICE : « Plus personne n’a droit à un passe-droit. »

Continue Reading

Trending

News Central