Connect with us

International

Un autre des 50 accusés d’Avignon a imité Pelicot et a drogué sa femme pour la violer

L’un des 50 hommes jugés à Avignon pour l’affaire de Dominique Pelicot, qui a drogué sa femme, Gisèle, avec des anxiolytiques, pour que d’autres la violent dans un état d’inconscience, est accusé d’avoir répété ce même comportement avec son propre partenaire.

« C’est impardonnable », a souligné mercredi devant le tribunal pénal de Vaucluse la fille de cet homme, Jean-Pierre M., 63 ans, qui est accusé d’avoir également donné des anxiolytiques à sa partenaire pour ensuite avoir eu des relations sexuelles avec elle, plusieurs fois en compagnie de Dominique Pelicot.

La fille, qui a tout appris lorsque son père a été arrêté, a déclaré qu’elle ne comprenait rien et était convaincue que son père n’aurait pas organisé ces pratiques avec sa propre femme s’il n’avait pas rencontré Dominique Pelicot.

Quoi qu’il en soit, il a souligné que « ce qui lui est reproché est très grave, inexcusable », et qu’il espère avoir des « réponses » pendant ce processus, qui a commencé le 2 septembre et devrait se terminer une ou deux semaines avant Noël.

Jean Pierre M. a admis au début du procès les faits pour lesquels il est inculpé et, selon l’un des policiers chargés de l’enquête, estime qu’il mérite la prison à vie.

Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_intereres_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_multas_728x90
20250701_dengue_728x90
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Les juges devront déterminer sa responsabilité dans ce dossier, dont le centre est Dominique Pelicot et les dossiers qu’il gardait et qui lui ont été confisqués en septembre 2020 lorsqu’il a été arrêté pour avoir enregistré sous les jupes de femmes dans un supermarché de la ville de Carpentras.

Dans ces archives, des centaines de photos et de vidéos prises par Pelicot ont été découvertes dans lesquelles apparaissait sa femme (ils ont divorcé en août) droguée et soumise à des abus sexuels par des dizaines d’hommes, parmi lesquels les 50 qui sont assis sur le banc ont pu être identifiés.

Dominique Pelicot a de nouveau été absent de l’audience ce mercredi pour des raisons de santé, après avoir fait une brève apparition rancunante et avec une bâle, et il reste à voir s’il pourra finalement témoigner jeudi, après avoir reporté cette déclaration initialement prévue pour mardi.

Son avocate, Béatrice Zavarro, a précisé à la presse que, en cas de déposition jeudi, elle ne le ferait que sur « les faits dont Jean-Pierre M. est accusé », et dans lesquels Dominique Pelicot est impliqué.

« Tout ce qui a à voir avec la personnalité de Dominique Pelicot ne sera pas soulevé demain », a précisé l’avocat, face aux attentes générées par l’affaire.

Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_intereres_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_multas_728x90
20250701_dengue_728x90
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

L’avocat de Pelicot a souligné que jusqu’à présent, son client n’a pas reçu de médicaments pour les affections dont elle dit souffrir depuis vendredi dernier et pour lesquelles il a été brièvement hospitalisé hier.

Zavarro a insisté ces derniers jours sur le fait qu’il n’y a pas de manœuvre de Dominique Pelicot pour éviter sa déclaration, bien au contraire, et qu’il est « impatient » de pouvoir parler à sa femme, Gisèle, et à ses enfants, qui assistent à ce processus.

Continue Reading
Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_300x250
20251101_amnistia_mh_sin_multas_300x250
20251101_amnistia_mh_sin_intereses_300x250
20250701_dengue_300x250_01
20250701_dengue_300x250_02
20250901_vacunacion_vsr-300x250
20250901_vacunacion_tetravalente-300x250
20250701_vacunacion-influenza-300x250
20250701_vacunacion_vph-300x250
20250715_donacion_sangre_central_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Sinaloa : arrestation d’« El Dani », recherché par le FBI pour trafic de fentanyl

Des agents du Secrétariat à la Sécurité et à la Protection Citoyenne (SSPC) du Mexique ont arrêté mercredi, dans l’État de Sinaloa (nord-ouest), Daniel « N », alias El Dani, recherché par les autorités américaines pour conspiration en vue de la distribution de fentanyl, a indiqué le ministre Omar García Harfuch.

Dans une publication sur les réseaux sociaux, le responsable a précisé que l’individu, de nationalité américaine, faisait l’objet d’un mandat d’arrêt et d’une notice rouge émise par le FBI. Son arrestation au Mexique est le résultat d’un « travail coordonné » du Cabinet de Sécurité et de la coopération internationale dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.

Des sources officielles ont confirmé à l’agence EFE que le détenu a été identifié comme Daniel Silvestre Manjarrez. Dans un communiqué distinct, la SSPC a souligné que l’opération a eu lieu dans un logement situé dans le quartier Infonavit Humaya, à Culiacán, la capitale de Sinaloa, où le suspect se cachait. Reconnu par les autorités, il a été interpellé puis remis au parquet.

L’arrestation a été rendue possible grâce à des opérations de renseignement et d’enquête menées dans l’État, auxquelles ont participé, outre le SSPC, des membres des Secrétariats de la Défense, de la Marine (Semar), de la Fiscalía General de la República ainsi que de la Garde nationale.

Le gouvernement mexicain a souligné que des actions comme celle-ci réaffirment son « engagement à travailler de manière coordonnée pour arrêter les générateurs de violence qui nuisent à la société ».

Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_intereres_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_multas_728x90
20250701_dengue_728x90
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Depuis février, dans le cadre de l’« Opération Frontière Nord » — conclue avec le président des États-Unis, Donald Trump, pour éviter l’imposition de tarifs douaniers — 8 707 personnes ont été arrêtées et près de 107,2 tonnes de drogue ont été saisies au Mexique, dont un peu plus de 494 kilos de fentanyl, selon les autorités fédérales.

Continue Reading

International

Capriles soutient la médiation de Lula dans la crise entre le Venezuela et les États-Unis

L’opposant vénézuélien Henrique Capriles a exprimé mercredi son soutien à la médiation du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, qui s’est proposé en octobre dernier comme interlocuteur entre le Venezuela et les États-Unis, dans un contexte de tensions croissantes liées au déploiement militaire américain dans la mer des Caraïbes, que Caracas considère comme une menace.

« Je serais tout à fait favorable à la médiation d’un président d’un pays démocratiquement élu. Au Brésil, il y a une démocratie ; en Colombie, il y a une démocratie. Au Venezuela, il n’y a pas de démocratie », a déclaré Capriles dans une intervention sur son compte X.

Dans ce climat tendu entre Caracas et Washington, l’ancien candidat à la présidence a plaidé pour une négociation politique, une responsabilité qui incombe selon lui à ceux qui « détiennent le pouvoir ». Il a également critiqué l’appel lancé par le gouvernement aux citoyens pour qu’ils prennent les armes en défense du territoire national.
« Pourquoi le peuple vénézuélien devrait-il prendre les armes pour défendre qui ? Maduro ? Le gouvernement ? Les Vénézuéliens veulent la paix et une solution. Et c’est à ceux qui sont au pouvoir de la rechercher, de s’asseoir à la table des négociations », a-t-il affirmé.

En octobre, Lula avait déclaré que « si les États-Unis ont besoin du soutien du Brésil pour traiter la question vénézuélienne », il était prêt à aider, affirmant vouloir préserver « la paix en Amérique du Sud ».

La proposition du président brésilien avait été révélée par le ministre des Affaires étrangères, Mauro Vieira, après une rencontre entre Lula et le président américain, Donald Trump, à Kuala Lumpur, en marge du sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN).

Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_intereres_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_multas_728x90
20250701_dengue_728x90
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Caracas accuse Washington de vouloir utiliser sa présence militaire, que les États-Unis justifient par la lutte contre le narcotrafic, pour provoquer un « changement de régime » et installer une autorité « marionnette » qui lui permettrait de « s’approprier » les ressources naturelles du pays, en particulier le pétrole.

Continue Reading

International

Mexique : vers une harmonisation nationale du délit de harcèlement sexuel

Le harcèlement sexuel au Mexique n’est pas sanctionné de la même manière sur l’ensemble du territoire. Face à cette situation, le gouvernement a annoncé mercredi qu’il prépare une réforme visant à harmoniser ce délit dans les 32 États du pays, après l’agression dont a été victime mardi la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum.

Bien que le Code pénal fédéral prévoie des peines pouvant aller jusqu’à trois ans de prison pour quiconque commet un acte de harcèlement sexuel, celui-ci relève du droit commun et dépend donc des législations de chaque État.

Cependant, il existe d’importantes divergences entre les Codes pénaux locaux, notamment concernant la définition du délit, les peines prévues et les circonstances aggravantes, telles que la commission des faits dans des lieux publics ou l’âge de la victime. Par exemple, à Mexico, le harcèlement sexuel est puni d’un à trois ans d’emprisonnement, assorti d’amendes et de la destitution du poste si l’agresseur est un fonctionnaire. En revanche, dans des États comme Nuevo León, la sanction va de six mois à deux ans de prison.

Une autre différence majeure réside dans la façon de définir le harcèlement : plus de vingt États le qualifient d’« acte d’obsession à des fins sexuelles » ou « lascives », tandis que d’autres le décrivent comme une « demande de faveurs sexuelles », comme c’est le cas au Coahuila.

Face à ce panorama, Sheinbaum a annoncé que son gouvernement prépare une initiative législative qu’il « partagera avec l’ensemble des gouverneurs », afin que le harcèlement soit défini et sanctionné de manière uniforme dans tout le pays.

Advertisement
20251101_amnistia_mh_cuotas_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_intereres_728x90
20251101_amnistia_mh_sin_multas_728x90
20250701_dengue_728x90
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

La présidente a également souligné la nécessité de faciliter les démarches de plainte. À cette fin, le secrétariat aux Droits des femmes prépare une campagne pour encourager les signalements.

Continue Reading

Trending

News Central