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International

Les procureurs demandent d’imposer un bâillon à Trump pour des déclarations mettant en danger des agents

Les procureurs dans l’affaire contre Donald Trump pour la mauvaise gestion de documents classifiés trouvés en sa possession après avoir quitté la Maison Blanche ont demandé à la cour d’interdire à l’ancien président de faire des déclarations qui « représentent un danger significatif » pour les agents de l’ordre impliqués dans le processus.

La demande est donnée en réponse aux allégations de l’ancien président Donald Trump (2017-2021) selon lesquelles le ministère de la Justice a autorisé une « force mortelle » contre lui lors du raid dans son manoir de Mar-a-Lago (Floride).

Cette semaine, l’ancien président républicain a suggéré dans un courrier de collecte de fonds que le langage utilisé dans le mandat d’enregistrement impliquait que le président actuel, Joe Biden, voulait que des agents armés le tuent.

De plus, dans Truth Social, il a noté que « le ministère de la Justice de Joe Biden a autorisé le FBI à utiliser la force mortelle » contre lui.

Sa campagne a mis l’accent sur cette ligne en ajoutant dans un autre courriel que « l’autorisation de l’utilisation de la « force mortelle » contre un ancien président américain (et principal rival politique du parti au pouvoir) porte l’utilisation de la loi comme bras armé, par l’administration Biden, à un tout nouveau niveau ».

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La motion de 12 pages demande à la juge du district sud de Floride, Aileen Cannon, de préciser que les déclarations de l’ancien président créent une « impression extrêmement trompeuse » sur les intentions et la conduite des agents fédéraux chargés de faire respecter la loi (en suggérant faussement qu’ils étaient complices d’un complot visant à l’assassiner). Et « ils exposent ces agents, dont certains seront témoins au procès, au risque de menaces, de violence et de harcèlement ».

Les procureurs ont écrit dans la motion remise à Cannon, nommée par Trump, que la cour a l’ »obligation » de protéger l’intégrité de cette procédure judiciaire et que des mesures devraient être prises immédiatement pour arrêter cette « campagne de diffamation de la loi ».

Les déclarations de Trump ont provoqué le rejet du procureur général américain Merrick Garland, qui a qualifié de « faux » et « extrêmement dangereux » l’accusation de l’ancien président républicain concernant la fouille de son manoir l’été dernier.

Le 7 mai dernier, le juge Cannon a reporté indéfiniment la date de ce procès en attendant le règlement des litiges antérieurs, ce qui rend très improbable que le processus ait lieu avant les élections de novembre.

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International

Marco Rubio prévoit une visite prochaine au Mexique, selon un responsable américain

Le secrétaire d’État des États-Unis, Marco Rubio, visitera le Mexique « dans un avenir très proche », a confirmé ce lundi le sous-secrétaire d’État, Christopher Landau, lors d’une conférence de presse téléphonique.

Landau, qui s’est rendu la semaine dernière à Mexico et a rencontré la maire de la ville, Claudia Sheinbaum, a expliqué qu’une partie de cette rencontre avait été consacrée à la préparation de la visite du chef de la diplomatie américaine, qui pourrait être accompagné d’autres hauts responsables du gouvernement.

« Nous n’avons pas encore de date précise, mais nous espérons que ce sera très prochainement », a-t-il déclaré.

En février dernier, une délégation mexicaine dirigée par le ministre des Affaires étrangères Juan Ramón de la Fuente s’est rendue à Washington pour rencontrer la nouvelle administration de Donald Trump. Une visite similaire est maintenant attendue dans la capitale mexicaine.

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International

Plus de 56 000 Mexicains rapatriés des États-Unis depuis janvier, selon le gouvernement

Le gouvernement mexicain a accueilli 56 298 compatriotes expulsés des États-Unis depuis l’investiture de Donald Trump le 20 janvier dernier, dans le cadre du programme « México te abraza », a déclaré ce lundi le sous-secrétaire à l’Intérieur, Arturo Medina Padilla.

« L’objectif est de recevoir et de répondre aux besoins de nos compatriotes, tout en garantissant et en respectant l’exercice de leurs droits humains », a souligné Medina lors de la conférence de presse quotidienne du gouvernement, présidée cette fois par la secrétaire à l’Intérieur, Rosa Icela Rodríguez.

Le fonctionnaire a expliqué que cet effort bénéficie du soutien de 34 agences gouvernementales mexicaines ainsi que du secteur privé.

Ce chiffre représente une augmentation de 67,6 % par rapport au dernier bilan de mai dernier. Par ailleurs, il a été précisé que 24 082 personnes ont été accueillies dans l’un des dix centres d’accueil gérés par le gouvernement.

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International

Miguel Uribe, candidat colombien, opéré d’urgence pour une hémorragie cérébrale

Le candidat à la présidence de la Colombie, Miguel Uribe, blessé par balle la semaine dernière lors d’un événement public, a été opéré en urgence ce lundi en raison d’un « saignement intracérébral aigu », a annoncé la clinique qui le soigne.

Le sénateur de 39 ans a été admis dans un centre médical le 7 juin avec trois blessures par balle, deux à la tête et une à la jambe. Les médecins l’avaient opéré le jour même ainsi que dimanche dernier.

La clinique a précisé lundi qu’Uribe « a nécessité une intervention neurochirurgicale d’urgence en raison de signes cliniques et d’images radiologiques montrant un saignement intracérébral aigu ».

La famille a indiqué dans un communiqué qu’il s’agissait d’une « petite hémorragie » résultant de l’intervention de la veille.

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