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International

Le gouvernement de Costa célèbre son dernier conseil de ministres présidé par Rebelo de Sousa

Le gouvernement du socialiste António Costa célèbre ce lundi son dernier Conseil des ministres, présidé cette fois par le président du Portugal, Marcelo Rebelo de Costa, invité par le Premier ministre sortant.

Les titulaires de chaque portefeuille sont arrivés l’un après l’autre tôt le matin dans l’ancien bâtiment de la Caixa Geral de Depósitos à Lisbonne, qui est en train d’être transformé en siège de bureaux gouvernementaux.

Selon le protocole, le dernier à apparaître a été Rebelo de Sousa, qui a posé à côté de Costa pour la photo de famille du gouvernement, avant de faire le tour des nouvelles installations et de commencer la réunion.

À l’ordre du jour de cette réunion figure l’exécution du plan de récupération et de résilience (PRR) et le cabinet de Costa devrait approuver une série d’initiatives législatives pour son versement.

Après la réunion, il y aura une conférence de presse, qui devrait être donnée par Costa.

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Avec cette dernière rencontre, le Portugal fait face à la dernière ligne droite de huit ans des gouvernements de Costa, après que la coalition de centre-droit Alliance démocratique (AD), de Luís Montenegro, ait remporté les élections législatives du 10 mars.

Le mandat de Costa prendra fin le 2 avril prochain lorsqu’il cédera la relève à l’exécutif du Monténégro.

Le politicien socialiste a démissionné en novembre dernier après que le parquet ait annoncé qu’il enquêtait sur lui pour des irrégularités présumées dans les affaires du lithium, de l’hydrogène vert et d’un centre de données, bien que le ministère public n’ait pas encore fourni de détails sur ses soupçons et ne l’ait pas inculpé.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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International

Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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