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International

L’effondrement d’une mine de sel ne fait aucune victime dans le nord-est du Brésil

Photo: EFE

11 décembre |

Une mine de sel de la ville de Maceió, capitale de l’État brésilien d’Alagoas (nord-est), s’est effondrée dimanche sans faire de victimes, grâce à la prévoyance des autorités qui ont évacué les habitants de la région alors que la mine était sur le point de s’effondrer.

Depuis que les autorités de la ville ont déclaré l’alerte maximale le 29 novembre, les habitants de la mine 18, qui appartient au géant de la chimie Braskem, craignaient qu’elle ne s’effondre et ne provoque une tragédie de grande ampleur.

João Henrique Caldas, le maire de la ville, a indiqué sur ses réseaux sociaux que « la mine 18 a subi une rupture aujourd’hui » dans un secteur situé le long de la lagune. « Le service des urgences de Maceió souligne que la mine et ses environs sont inoccupés et qu’il n’y a aucun risque pour les personnes. Nous recueillons de plus amples informations et les communiquerons dès que possible ».

Dans une vidéo diffusée par les médias brésiliens, on voit de grosses bulles brunes à la surface de l’eau au moment de la rupture de la mine, qui se trouve en grande partie sous la lagune. Braskem a déclaré dans un communiqué qu’un « mouvement atypique » avait été détecté dans la mine.

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La mine en question est l’une des 35 mines exploitées à Maceió par Braskem, dont le principal actionnaire est Novonor, anciennement Odebrecht, l’entreprise qui a fait l’objet de la grande affaire de corruption connue sous le nom de Lava Jato. Le sel gemme entre également dans la composition des tuyaux en PVC et de l’eau de Javel.

La vie dans la ville de Maceió, qui compte un million d’habitants, est affectée par la « mine 18 » depuis 2019, lorsque les habitants ont été contraints d’évacuer la zone environnante après l’apparition de fissures dans les rues et les bâtiments. Au final, une zone de 14 000 bâtiments où vivaient 55 000 personnes est désormais une ville fantôme.

Des témoins rapportent que le sol s’est enfoncé récemment dans la zone entourant la mine. Le maire a averti que la ville serait confrontée à « la plus grande tragédie urbaine du monde » si elle s’effondrait, et les écologistes affirment qu’un effondrement pourrait également provoquer une catastrophe écologique pour la lagune et l’écosystème environnant.

International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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