International
Sept morts et trois blessés dans un accident de la route à Jalisco, au Mexique.

25 octobre |
Au moins sept personnes ont été tuées et trois blessées dans un accident de la route survenu mardi sur une route locale de l’État mexicain de Jalisco, lorsqu’une remorque est entrée en collision avec une camionnette, ont rapporté des sources d’information locales.
Les porte-parole de la coordination municipale de la protection civile et du service des pompiers de Zapopan (État de Jalisco) ont déclaré que les blessés avaient été transportés dans les hôpitaux voisins pour y recevoir des soins spécialisés, tandis que les pompiers s’efforçaient d’extraire les corps sans vie coincés entre les véhicules.
Le coordinateur du Système d’aide médicale d’urgence (SAMU) de Jalisco, Gabriel Eduardo Alonso Tamayo, a indiqué que trois des personnes décédées étaient des femmes et quatre des hommes.
Selon des témoins, la remorque a perdu ses freins et, bien qu’elle ait pu éviter un véhicule, elle n’a pas pu éviter de heurter le camion par l’arrière. La camionnette, qui a été complètement détruite par l’impact, transportait 10 personnes de l’État de Basse-Californie qui se rendaient à Tequila, dans l’État de Jalisco.
Pendant que les expertises se poursuivent, la police de l’État a fermé à la circulation l’autoroute gratuite Guadalajara-Tepic, où s’est produit l’accident.
Selon les chiffres de l’Institut national de statistique et de géographie du Mexique (Inegi), environ 1 000 accidents de la circulation se produisent chaque jour dans la nation aztèque et, en moyenne, 12 personnes perdent la vie chaque jour à la suite de ces événements.
International
Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.
« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.
La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.
International
Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.
« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.
Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.
Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».
Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».
International
Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.
« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.
Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.
D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.
C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.
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