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Amérique centrale

Comment se déroulera le scrutin au Guatemala ?

Comment se déroulera le scrutin au Guatemala ?
Photo: @TSEGuatemala

18 août |

Les Guatémaltèques retourneront aux urnes dimanche pour élire le prochain président du pays, avec Sandra Torres, représentant le parti Unité nationale de l’espoir (UNE), et Bernardo Arévalo, représentant le mouvement politique Semilla.

Celui qui sortira vainqueur du scrutin dirigera le pays pour la période 2024-2028. Les colistiers de Torres et d’Arévalo seront respectivement Romeo Guerra Lemus et Karin Herrera Aguilar.

En outre, les élections seront répétées ce jour-là dans cinq municipalités où des irrégularités ont été constatées lors du premier tour (25 juin) : San Martín Zapotitlán (Retalhuleu), San José del Golfo (Guatemala), San Bartolomé Jocotenango (Quiché), San Pablo Jocopilas (Suchitepéquez) et San Pedro Yepocapa (Chimaltenango).

Selon le calendrier approuvé par le Tribunal suprême électoral (TSE), les deux candidats pourront promouvoir leur programme de gouvernement jusqu’à vendredi 12h00, heure locale.

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Il y a quelques heures, le TSE a indiqué que la préparation et le transfert de plus de 24 500 boîtes contenant le matériel électoral pour le second tour étaient terminés.

Le jour du scrutin vu de l’intérieur
Selon l’autorité électorale, 9 270 360 Guatémaltèques inscrits devraient participer au second tour et se rendre dans les centres de vote de 7h00 à 18h00, heure locale.

Il est prévu que 3 825 centres de vote soient ouverts. 24 427 bureaux de vote (Juntas Receptoras de Votos) seront installés dans tout le pays et 158 aux États-Unis. Pour voter, il suffit d’être inscrit sur les listes électorales et de présenter son document d’identification personnel (DPI).

Sur ses réseaux sociaux, le TSE a confirmé que les citoyens se verront attribuer le même centre de vote et a annoncé qu’à cette occasion, plus de 800 nouveaux centres ont été créés pour faciliter le vote de ceux qui vivent dans des zones plus éloignées.

À partir de samedi, une loi sèche sera en vigueur
Au Guatemala, une loi sèche sera en vigueur avant, pendant et après le scrutin, période durant laquelle la vente et la consommation de boissons alcoolisées sont interdites. Selon les médias locaux, cette mesure sera en vigueur à partir de 12h00 heure locale le 19 août, sera prolongée pendant la journée électorale et sera levée à partir de 06h00 heure locale le lundi 21.

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Conformément aux articles de la loi sur les élections et les partis politiques et du code pénal, les personnes qui enfreignent cette disposition seront traduites devant un tribunal et, dans un délai maximum de six heures, devront faire l’objet d’une première audience.

Si, à cette occasion, le juge décide d’engager des poursuites pénales contre la personne détenue, celle-ci pourra se voir infliger une amende de 5 000 quetzales (637 dollars) et une peine d’emprisonnement de 15 à 30 jours. Quant aux établissements qui enfreignent la loi sèche, ils s’exposent à une amende de 100 000 quetzales (12 747 dollars) et à une procédure administrative d’annulation de leur licence.

Au cours du premier tour de scrutin, la police nationale a arrêté 153 personnes pour avoir enfreint la loi sur la sécheresse. En outre, 24 armes à feu ont été saisies et 20 personnes ont été arrêtées pour d’autres délits.

Il y a quelques jours, le ministre de l’intérieur, David Napoleón Barrientos, a assuré que plus de 42 000 policiers seraient déployés pour garantir un environnement pacifique le jour du scrutin, en particulier autour des 3 825 centres de vote et dans les cinq municipalités où les élections locales seront répétées.

Ces élections resteront dans l’histoire, entre autres, pour les allégations d’irrégularités, l’élimination de nombreux partis qui souhaitaient participer (l’un d’entre eux, le Mouvement pour la libération des peuples, représentant la gauche) et l’abstention importante lors du premier tour (environ 40 %).

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Amérique centrale

Guatemala : flambée d’extorsions pousse le gouvernement à resserrer l’étau sécuritaire

La Police nationale civile du Guatemala (PNC) a enregistré 9 085 plaintes pour extorsion entre janvier et avril 2025, un chiffre qui a poussé le gouvernement à revoir sa stratégie de sécurité, notamment en reprenant le contrôle des prisons dominées par les gangs.

Selon l’Indice des Dénonciations de Délits (IDD) publié par le Centre de recherches économiques nationales (CIEN), ce total représente une hausse par rapport à la même période en 2024, où 7 457 plaintes avaient été recensées. Chaque mois de 2025 a dépassé les 2 000 signalements, avec un pic en janvier (2 457 cas), un mois historiquement élevé en matière d’extorsions, selon le CIEN.

Pour avril 2025, l’institut a compté en moyenne 69 plaintes par jour, pour un total mensuel de 2 076. Wálter Menchú, analyste en sécurité du CIEN, a précisé que les chiffres réels pourraient être encore plus élevés, car toutes les victimes ne signalent pas les faits.

Avant la publication du rapport, le président Bernardo Arévalo a reconnu lors d’une interview à La Red 106.1 que l’extorsion constitue l’un des principaux problèmes du pays, lié « aux maras, à leurs imitateurs et à l’absence de contrôle historique dans les prisons ».

« Nous ne nions pas le problème. Nous procédons à une réorganisation des forces et des unités au sein du ministère de l’Intérieur pour y répondre efficacement », a affirmé le président. Il a souligné que ce phénomène touche les petits commerçants et les citoyens ordinaires.

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Le ministère public (MP) a également alerté sur une nouvelle modalité d’extorsion, où des criminels se font passer pour des clients et attirent leurs victimes dans des lieux isolés pour leur extorquer de l’argent. En cas de refus, la victime est retenue contre son gré.

Toutefois, le président Arévalo a relativisé l’importance des maras dans le panorama sécuritaire actuel, affirmant que le principal problème reste le narcotrafic. Il lie la recrudescence de la criminalité aux opérations répressives menées dans les prisons et les zones à risque par la PNC et les Forces armées.

« Les structures criminelles sentent qu’elles perdent du terrain et réagissent face à la pression », a-t-il ajouté, citant des arrestations, des extraditions vers les États-Unis, des saisies de drogue et la destruction de plantations de marijuana.

« L’appareil sécuritaire progresse », a conclu le chef de l’État.

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Amérique centrale

Chiapas : Quatre présumés membres du crime organisé tués près de la frontière guatémaltèque

Des policiers de l’État mexicain du Chiapas (sud) et des forces fédérales ont abattu dimanche quatre présumés criminels lors d’une poursuite près de la frontière avec le Guatemala, a annoncé le gouvernement local.

Dans un communiqué, le secrétariat à la Sécurité du Chiapas a précisé que les faits se sont produits dans la commune de Frontera Comalapa, après que les forces de sécurité ont été attaquées lors d’une patrouille de routine.

« Les autorités ont riposté (…) et ont réussi à neutraliser quatre présumés membres du crime organisé », indique la note officielle.

Selon des médias locaux, la poursuite aurait conduit les forces de sécurité mexicaines à entrer brièvement en territoire guatémaltèque.

Face à ces informations, la vice-présidente du Guatemala, Karin Herrera, a assuré sur le réseau X que « la frontière est sous contrôle » et que l’armée guatémaltèque maintient une présence active dans la zone afin de garantir la sécurité des habitants.

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Le secrétariat à la Sécurité de l’État de Chiapas affirme de son côté que l’opération est restée à tout moment sur le territoire mexicain.

Une source anonyme au sein de l’administration a confié à l’AFP que les individus tués appartiendraient au puissant cartel Jalisco Nouvelle Génération (CJNG), qui se dispute le contrôle de cette région stratégique avec le cartel de Sinaloa, notamment pour le trafic de stupéfiants.

Le Mexique a enregistré plus de 480 000 morts violentes depuis décembre 2006, date à laquelle a été lancée une stratégie controversée de lutte antidrogue impliquant l’armée.

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Amérique centrale

Le Salvador enregistre une nouvelle journée sans homicides : 128 jours sans meurtres en 2025

Le vendredi 6 juin s’est terminé sans qu’aucun homicide ne soit enregistré au Salvador, selon les statistiques de la police nationale.

Cette nouvelle journée sans violence mortelle porte à cinq le nombre de jours sans homicides sur les six premiers jours du mois de juin. Elle s’ajoute aux 25 jours sans meurtres en janvier, 26 en février, 22 en mars, 25 en avril et 25 en mai.

Ainsi, en 2025, le total des journées sans assassinats s’élève désormais à 128.

Ces résultats sont attribués aux stratégies de sécurité, notamment le régime d’exception, instauré en mars 2022. Grâce à cette mesure, des milliers de familles salvadoriennes ont pu vivre 926 journées sans homicides depuis le début du mandat du président Nayib Bukele, de juin 2019 au 5 juin 2025. Parmi elles, 812 jours ont été enregistrés pendant la période d’application du régime d’exception.

Les rapports officiels indiquent que ce régime a permis au Salvador de clore l’année 2024 avec une moyenne de 0,3 homicide par jour, consolidant ainsi son statut de pays le plus sûr de l’hémisphère occidental.

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