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Amérique centrale

Salvador: 3.000 détenus dans le cadre de l’offensive contre le crime innocentés et libérés

Photo: Marvin Recinos / AFP

18 janvier | Par AFP |

Au moins 3.000 personnes détenues sous le régime d’exception mis en place par le gouvernement salvadorien pour combattre le crime organisé ont été libérées, a annoncé mardi le président Nayib Bukele. 

Ces détenus ont été innocentés, a déclaré le président lors d’un événement public dans la ville de Mejicanos, dans la banlieue de la capitale San Salvador.

« Il y a 58.000 personnes (toujours) en prison », a-t-il détaillé, assurant que les actions contre les gangs ont permis au pays d’améliorer sa sécurité.

« S’il y a des innocents, ils seront libérés (de prison) (…) s’il n’y a pas suffisamment de preuves », a souligné le président salvadorien.

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Fin mars, le Salvador a lancé une « guerre » contre les gangs qui sévissent dans le pays, instaurant par la même occasion un régime d’exception lui permettant notamment des arrestations sans mandat. 

Cette offensive a permis d’arrêter un peu plus de 61.000 membres présumés de gangs. La plupart sont soupçonnés d’appartenir aux organisations Mara Salvatrucha (MS-13) et Barrio 18.

Cette mesure d’exception est remise en question par différentes organisations humanitaires, qui craignent des violations de droits humains.

Début janvier, le ministre de la Justice et de la Sécurité, Gustavo Villatoro, a indiqué que le Salvador avait enregistré un taux d’homicides de 7,8 pour 100.000 habitants en 2022, soit le taux le plus bas sous l’administration Bukele, arrivé au pouvoir en juin 2019.

A titre de comparaison, le taux d’homicides était de 18,1 pour 100.000 habitants en 2021, selon le gouvernement salvadorien.

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Amérique centrale

Le ministre équatorien de l’Intérieur visite la méga-prison Cecot au Salvador

Le ministre de l’Intérieur de l’Équateur, John Reimberg, accompagné d’autres autorités gouvernementales du pays sud-américain, a visité le Centre de Confinement du Terrorisme (Cecot), une méga-prison devenue symbole de la « guerre » contre les gangs au Salvador, selon un communiqué de la présidence salvadorienne publié ce mercredi.

Le responsable équatorien s’est rendu sur place mardi soir afin de « découvrir de première main le fonctionnement de ce centre de détention de haute sécurité », que le gouvernement salvadorien considère comme « une référence mondiale ».

Le rapport précise que la délégation équatorienne a pu observer les protocoles de sécurité à l’entrée, les salles d’audiences virtuelles, les systèmes de contrôle et les modules où sont détenus les prisonniers.

Par ailleurs, la présidence a affirmé que, malgré les protocoles stricts de sécurité, « les droits humains fondamentaux des détenus sont garantis ».

Le ministre Reimberg rejoint ainsi d’autres hauts responsables ayant visité le Cecot, comme le ministre de la Justice et de la Paix du Costa Rica, Gerald Campos Valverde, en avril dernier, ou encore la secrétaire à la Sécurité nationale des États-Unis, Kristi Noem.

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La délégation équatorienne a également tenu des réunions avec des autorités de la sécurité salvadorienne, notamment le ministre de la Justice, Gustavo Villatoro, pour discuter du Plan de Contrôle Territorial.

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Amérique centrale

Le cardinal Brenes écarte l’idée d’un pape centre-américain et mise sur la prière

Le cardinal nicaraguayen et archevêque de Managua, Leopoldo José Brenes Solórzano, a déclaré ce lundi qu’il préférait qu’un nouveau chef de l’Église catholique soit choisi « ailleurs », en remplacement du pape François récemment décédé, et qu’il se sentait « tranquille » au Nicaragua.

Interrogé par des journalistes à Managua sur la possibilité qu’un pape centre-américain soit élu parmi les deux cardinaux de la région qui participeront au conclave dans la chapelle Sixtine, Brenes a répondu :
« Non, mais mieux vaut chercher ailleurs, je suis tranquille ici au Nicaragua, je travaille avec notre peuple, je vis proche des gens et je suis bien installé dans le quartier d’Altagracia ».

Il a ensuite nuancé : « Il y a un dicton qui dit que tous les ‘papables’ qui entrent au conclave en sortent comme cardinaux ».

Brenes a également exhorté les fidèles à « avoir une grande confiance » quant au successeur de François, car « la décision n’est pas exclusivement humaine, il y a tout un climat de prière ».
« Avant le conclave, il y a quelques jours de retraite, de silence entre les cardinaux, et surtout une grande force dans la prière que tout le peuple catholique offrira pour ce moment », a-t-il souligné.

« On ne peut pas dire que ce sera untel ou untel, car l’Esprit Saint nous surprend toujours », a-t-il ajouté.

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Amérique centrale

Le Salvador salue les réformes durables du pape François

Le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez a exprimé lundi son souhait de voir les réformes initiées par le pape François au sein de l’Église catholique devenir « irréversibles ».

Nommé cardinal par François en 2017, Rosa Chávez n’est pas éligible pour lui succéder en raison de son âge. Il a rappelé qu’au cours d’une rencontre avec les évêques salvadoriens, le pape leur avait affirmé : « Ces réformes sont irréversibles ».

« C’est ce que nous souhaitons, que ce soit le cas. Que ce qu’il nous a offert avec tant de courage, de clarté et d’espérance devienne réalité », a déclaré le cardinal sur les ondes de la radio locale YSKL.

Durant son pontificat, François a lancé des réformes importantes, notamment dans la gestion économique du Vatican, la lutte contre la pédocriminalité au sein de l’Église et l’écoute des victimes. Il a également permis une plus grande inclusion des femmes dans des postes de responsabilité. Sous son impulsion, l’Église a commencé à adopter un discours plus ouvert envers les personnes homosexuelles et les divorcés remariés.

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