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International

Kiev toujours menacée mais l’armée russe recule sur plusieurs fronts (Klitschko)

AFP

Kiev reste un objectif de l’armée russe, mais celle-ci est bloquée ces dernières semaines au nord-ouest et à l’est de la capitale ukrainienne, et a dû reculer ces derniers jours sur plusieurs de ces fronts, a affirmé mercredi le maire Vitali Klitschko.

« La cible de l’agresseur est la capitale de l’Ukraine, le coeur de notre pays », a déclaré l’ancien champion du monde de boxe, au cours d’une conférence de presse dans un parc historique du centre-ville dominant le fleuve Dniepr.

« Il y a toujours beaucoup d’attaques venant du nord et de l’est de notre ville », a expliqué M. Klitschko, au pied d’une célèbre statue de l’Archange Saint-Michel. L’édile, s’exprimant tour-à-tour en anglais et en ukrainien, était accompagné de son frère Wladimir, lui aussi champion du monde de boxe anglaise.

« Près de Brovary (périphérie est de Kiev), depuis le nord derrière Liutij se déroule une grande bataille, et selon des informations de sources officielles, la petite localité de Makariv (ouest) et la presque totalité d’Irpin (nord-ouest) sont déjà sous contrôle des soldats ukrainiens », a-t-il affirmé.

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Interrogé sur une contre-offensive ukrainienne en cours, il a assuré n’avoir aucune information précise sur ce sujet, alors qu’une agence de presse ukrainienne a évoqué un possible encerclement des forces russes à Irpin, Boutcha et Gostomel, des localités au nord-ouest de Kiev.

Les zones d’Irpin et de Liutij étaient toutes deux mercredi le théâtre d’intenses échanges d’artillerie, avec notamment une forte activité à l’arrière du front d’Irpin, a constaté l’AFP. Ces lignes de front restent aujourd’hui interdites d’accès à la presse, après la mort de plusieurs journalistes dans cette zone.

« Notre message aux Russes: quittez notre pays, rentrez chez vous. Nous ne savons pas combien de temps il faudra (…), cela peut être long », a prévenu le maire de Kiev.

« Plutôt mourir que de se mettre à genoux devant les forces russes. Nous sommes prêts à défendre chaque immeuble, chaque rue, chaque recoin de notre ville. Toute la ville a désormais des postes de combats », a indiqué M. Klitschko.

« Partout dans le pays l’armée russe détruit toutes les infrastructures civiles, tue les civils (…). Nous estimons que cela peut se passer dans notre ville, que les Russes peuvent lancer des attaques sur les civils et détruire toutes les infrastructures de la capitale de l’Ukraine », a-t-il ajouté.

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Un quartier d’habitations du nord-ouest de la ville a été mercredi matin la cible de bombardements, qui ont endommagé plusieurs habitations et fait quatre blessés.

Depuis le début de l’invasion le 24 février, 73 civils, dont 4 enfants, ont été tués, et 297 blessés à Kiev, selon un dernier bilan communiqué mercredi à l’AFP par la porte-parole du maire.

Interrogé sur les raisons d’un couvre-feu complet de 35 heures ce début de semaine, M. Klitschko a expliqué « avoir reçu des informations des forces armées sur de possibles attaques ». Des « dizaines de saboteurs » ont par ailleurs été arrêtés depuis le début de la guerre, a-t-il indiqué.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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