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Amérique centrale

Un navire battant pavillon panaméen coulé par des tirs russes en Mer Noire (autorité maritime)

AFP

Un navire marchand battant pavillon panaméen a été coulé par des tirs de missiles russes en Mer Noire, et deux autres ont été endommagés, a annoncé mercredi l’administrateur de l’Autorité maritime du Panama, Noriel Arauz.

Les équipages sont sains et saufs, a-t-il précisé.

« Nous savons que trois embarcations (battant pavillon panaméen) ont été victimes d’attaques par des missiles russes », a déclaré M. Arauz à des journalistes.

L’un de ces navires « a coulé, et deux se maintiennent à flot mais ont subi des dégâts matériels », a-t-il ajouté.

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« La marine de guerre russe » interdit à 200 à 300 navires de différentes nations de « sortir de la Mer Noire », a dénoncé l’administrateur de l’Autorité maritime panaméenne.

Une dizaine de bateaux battant pavillon panaméen dédiés notamment au transport de céréales, et environ 150 hommes d’équipage de ces navires, sont ainsi bloqués en Mer Noire, at-il dit.

Panama revendique le plus grand nombre de navires enregistrés sous son pavillon, avec quelques 8.000 bâtiments représentant 17% de la flotte mondiale de marine marchande.

Le 25 février, après une première attaque contre un navire battant pavillon du Panama, les autorités du pays d’Amérique centrale ont demandé « instamment » d’éviter de naviguer dans les eaux ukrainiennes et russes en Mer Noire et en Mer d’Azov.

« Les navires panaméens dans les ports ukrainiens ou qui transitent dans la zone doivent observer une extrême vigilance et augmenter les conditions de sécurité à bord pour protéger le bâtiment et l’équipage », avait alor mis en garde l’Autorité maritime panaméenne.

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Amérique centrale

Le Honduras reconnaît une “erreur involontaire” sur l’origine d’un conteneur saisi

Le Secrétariat d’État aux Affaires étrangères et à la Coopération internationale de la République du Honduras, par le biais de la note verbale n° 054ASE/SRECI-2025, a présenté ses excuses au gouvernement du Salvador pour une information erronée concernant un chargement de produits chimiques sensibles saisis le 9 juillet dernier, dont la provenance avait été attribuée à tort au Salvador.

Dans cette note, le Secrétariat d’État a indiqué qu’après enquête de ses services opérationnels, il a été conclu qu’« une erreur involontaire a été commise par le service de relations publiques de la Direction nationale des services de police frontaliers ».

« En conséquence, le Secrétariat d’État demande au distingué gouvernement de la République du Salvador d’accepter les excuses du gouvernement de la République du Honduras pour la perception erronée générée par l’information diffusée, en réitérant que la mention du Salvador comme supposé pays d’origine du chargement en question était une erreur involontaire, sans aucune intention malveillante, politique ou diplomatique », précise le document.

La saisie avait eu lieu dans le département frontalier d’Ocotepeque, à l’ouest du Honduras.

Le chargement contenait environ 6 000 gallons de substances chimiques destinées au secteur agricole et était transporté dans un conteneur sans documents d’importation ni licence pour la manipulation de matériaux dangereux.

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Amérique centrale

Guatemala : hausse des meurtres en juin après une tendance à la baisse

Guatemala a connu une recrudescence des homicides au cours du sixième mois de l’année, avec un taux annuel de 17,3 meurtres pour 100 000 habitants. Bien que ce taux soit inférieur à celui de 2016, qui était de 28,1, il est néanmoins supérieur à celui de 2024, qui s’élevait à 16 homicides pour 100 000 habitants, selon le Rapport sur la violence homicide publié par l’organisation Diálogos.

Les projections de l’organisation ont été dépassées à la clôture du mois de juin, ce qui démontre une augmentation des homicides sur le territoire. Le modèle de prévision de Diálogos estimait que les meurtres se maintiendraient entre 160 et 230 cas ; toutefois, les registres officiels de la Police nationale civile (PNC) ont rapporté un total de 254, soit 24 morts de plus que prévu.

Dans 213 cas, les criminels ont utilisé une arme à feu, dans 13 une arme blanche, 11 fois des objets contondants, 15 attaques par strangulation, et il y a eu deux homicides par lynchage.

« Cette augmentation représente un changement dans la tendance à la baisse observée depuis 2009. Cette situation exige une attention urgente et la mise en œuvre de mesures intégrales de prévention pour contenir la violence et renforcer la sécurité citoyenne », a partagé l’organisation.

Bien que juin montre une hausse, mai est devenu le mois du premier semestre 2025 avec le plus d’assassinats, avec 303 victimes, suivi de mars avec 275 et avril avec 260.

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Amérique centrale

Unicef fournit des kits de contrôle de l’eau à 300 écoles isolées au Panama

Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) a fait don de kits pour mesurer la qualité de l’eau à 300 écoles situées dans des zones difficilement accessibles au Panama, au moment où le pays est secoué par une polémique liée à la contamination de ses ressources hydriques, a annoncé lundi le ministère panaméen de la Santé.

« Avec cette initiative, nous cherchons à renforcer les stratégies visant à améliorer l’accès à l’eau potable pour les enfants et les adolescents de notre pays », a déclaré le ministre de la Santé, Fernando Boyd Galindo.

Ces kits sont destinés à quelque 300 écoles des zones « urbaines, rurales et indigènes, situées dans des régions d’accès difficile », selon le communiqué officiel. L’Unicef offrira également une assistance technique aux agents sanitaires afin qu’ils puissent effectuer des tests et assurer le suivi de la qualité de l’eau.

La représentante de l’Unicef au Panama, Sandie Blanchet, a expliqué qu’« il s’agit d’une première étape visant à renforcer le suivi de la qualité de l’eau dans les écoles et à poser les bases d’un système de surveillance continue, qui pourra s’étendre à l’avenir aux centres de santé et aux prestataires de services ».

L’Unicef, dans le cadre de son programme de coopération avec le Panama, « continuera de fournir un appui technique pour renforcer les équipes locales et le système d’information des aqueducs ruraux », précise encore le communiqué.

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Cette initiative intervient plus d’un mois après la découverte de la contamination du fleuve principal de la péninsule d’Azuero (centre du pays), ce qui a entraîné la suspension de l’eau potable destinée à la consommation humaine, en raison d’une mauvaise gestion des déchets des décharges, des exploitations d’élevage et de la déforestation, selon le gouvernement.

Par ailleurs, sur les 4 000 puits d’eau du Panama, seuls 1 300 disposent d’un permis officiel, ce qui « révèle une exploitation non réglementée » et représente « un risque pour les ressources hydriques », d’après une étude récente du ministère de l’Environnement.

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