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International

Pérou: record d’impopularité pour le président Castillo

AFP

L’impopularité du président péruvien Pedro Castillo atteint un niveau record de 69%, six mois à peine après son arrivée au pouvoir, selon un sondage rendu public lundi.

« 69% des Péruviens désapprouvent la gestion de Pedro Castillo et 25% l’approuvent. C’est le niveau d’approbation le plus bas depuis le début de son mandat », a indiqué l’institut Ipsos sur son compte Twitter, précisant que 6% des personnes interrogées n’avaient pas d’opinion. 

Le chef de l’Etat de la gauche radicale a perdu 9 points de populartié depuis la dernière enquête d’Ipsos réalisée il y a un mois. 

M. Castillo, 52 ans, avait débuté son mandat de cinq ans le 28 juillet avec une impopularité de 45%, dans un contexte de forte polarisation idéologique et de tensions post-électorales. 

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Candidat du petit parti marxiste-léniniste Peru Libre, il l’avait emporté avec 50,12% des voix face la représentante de la droite populiste Keiko Fujimori lors d’un second tour très disputé.

L’opposition n’a cessé dernièrement de demander la démission du chef de l’Etat, ce qu’il a écarté. 

Selon l’enquête d’Ipsos, 56% des personnes interrogées estiment que Pedro Castillo doit démissionner, contre 42% estimant qu’il doit achever son mandat en juillet 2026. Environ 2% n’ont pas d’opinion.

« Le fait que le président ait un haut niveau de désapprobation reflète la précarité de son gouvernement, sans compter qu’il n’a pas la majorité au Parlement », a souligné la politologue Kathy Zegarra, citée par le quotidien El Comercio, qui a publié les résultats du sondage. 

Selon l’enquête, le niveau de rejet contre l’ancien instituteur rural et ex-syndicaliste, est plus élevé à Lima (84%) que dans le reste du pays (62%). 

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Pedro Castillo a nommé le 9 février son quatrième gouvernement en six mois. 

Le sondage a été réalisé auprès de 1.214 personnes de plus de 18 ans entre les 10 et 11 février dans diverses villes du Pérou. La marge d’erreur est de 2,8%.

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International

Chili : le corps du dernier mineur disparu retrouvé après l’éboulement à El Teniente

Le sauvetage des cinq mineurs portés disparus après un éboulement dans l’immense gisement d’El Teniente, appartenant à la société publique chilienne Codelco, s’est achevé dimanche avec la découverte du dernier corps, a annoncé le parquet.

L’accident, survenu jeudi, est l’un des plus graves de ces trois dernières décennies dans cette mine et a fait, le jour même, un mort et neuf blessés.

Avec 4.500 km de galeries souterraines, El Teniente est la plus grande mine de cuivre souterraine au monde. Elle appartient à Codelco, premier producteur mondial de cuivre.

« Aujourd’hui, nous avons finalement retrouvé le corps du dernier travailleur qui était porté disparu », a déclaré à la presse le procureur régional de la région d’O’Higgins, Aquiles Cubillos.

Dans la nuit de samedi à dimanche, les corps de trois autres mineurs avaient déjà été retrouvés, s’ajoutant à celui d’un premier ouvrier découvert samedi après-midi. Tous ont été localisés dans la même zone où l’éboulement, provoqué par un « événement sismique », est survenu jeudi. L’origine de cet événement – naturelle ou liée aux forages – fait toujours l’objet d’une enquête.

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Amérique centrale

Bukele défend la réélection illimitée et dénonce les “préjugés” contre le Salvador

Nayib Bukele entame sa cinquième année de mandat avec un soutien historique

Le président salvadorien Nayib Bukele a rejeté ce dimanche l’idée que l’approbation de la réélection présidentielle indéfinie au Salvador marque « la fin de la démocratie ». Selon lui, les critiques à l’égard de cette décision proviennent du fait qu’elle a été prise par un pays « petit et pauvre ».

Jeudi, le Congrès salvadorien a approuvé une réforme constitutionnelle autorisant la réélection illimitée, prolongeant le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprimant le second tour électoral.

« 90 % des pays développés permettent la réélection illimitée de leur chef de gouvernement et personne ne s’en émeut », a réagi Bukele sur le réseau social X. « Mais lorsque un petit pays pauvre comme le Salvador tente de faire la même chose, soudain, c’est la fin de la démocratie », a-t-il expliqué.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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